La compagnie aérienne la plus puissante du Golfe organise des journées de recrutement à Paris, Lyon, Bordeaux et Marseille. Emirates, lancé en oct 1985, est actuellement la 3è compagnie mondiale et devrait passer leader en 2014. Visite très ouverte sur les raisons de ce succès et les quelques contreparties que cela impliquent. Emirates est une compagnie aérienne basée à Dubaï, elle est la plus importante compagnie des Émirats arabes unis. Emirates figure parmi les 10 premières compagnies aériennes mondiales par le nombre de passagers internationaux en 2011, avec environ 30 millions de passagers. Découvrez le reportage Complément d’enquête passé sur France 2.
Le pays, qui fait partie des Émirats arabes unis, s’est doté d’un Comité suprême afin de réaliser ses objectifs. La crise immobilière et financière l’avait ébranlé un temps, mais l’émirat de Dubaï, dans le Golfe, s’est bien redressé depuis. Selon un plan ambitieux rendu public samedi, il se donne désormais trois ans pour devenir le centre de l’économie islamique. Le pays, qui fait partie des Émirats arabes unis, s’est doté d’un Comité suprême pour le développement de l’économie islamique afin de réaliser ses objectifs.
Le gouvernement de Dubaï compte bien tirer profit du développement du marché mondial des biens et services conformes à la loi islamique (charia), qui pèserait selon les estimations 5900 milliards d’euros, pour une population de 1,6 milliard de musulmans. «Le taux de croissance annuel de l’économie islamique mondiale est de 10 à 15 %», précise le gouvernement de l’émirat dans un communiqué.Au-delà de la finance islamique, cette économie intègre aussi l’alimentation halal ainsi que le tourisme, la culture, l’éducation ou les assurances conformes à la charia. Après s’être fait une place de choix comme plate-forme de transport aérien et zone de transit commerciale, Dubaï lorgne du côté de Londres et de Kuala Lumpur (Malaisie) considérées comme les principaux marchés actuels pour les obligations islamiques (sukuk).
Après le krach de 2008, le secteur immobilier de Dubaï rebondit avec une forte demande et des prix orientés à la hausse au point d’alimenter des craintes d’une nouvelle bulle. Les maquettes de projets grandioses exposées au salon spécialisé Cityscape sont autant de signes d’une confiance retrouvée des acteurs de ce secteur qui a perdu la moitié de sa valeur en 5 ans. « Dubaï est à nouveau en plein essor », s’est vanté Ali Lootah, président de Nakheel, le promoteur géant de projets phares comme l’île artificielle de Jumeïrah en forme de palmier. Sa société a annoncé le lancement d’un nouveau projet de front de mer sur d’autres îles artificielles en plus de projets résidentiels : « Beaucoup de gens viennent s’installer à Dubaï (…) et je ne suis pas vraiment inquiet au sujet de la spéculation », a-t-il dit, évoquant une pratique qui avait poussé à des hausses records les prix avant leur effondrement durant la crise financière mondiale.
Avant sa chute, l’immobilier de Dubaï avait connu en 5 ans un développement fulgurant, attirant des milliers d’investisseurs étrangers. Avec le tarissement du financement extérieur, le secteur a durement souffert, notamment les entreprises liées au gouvernement qui s’étaient lourdement endettées. Aussi, l’économie s’est contractée en 2009 et 2010, mais s’est toutefois reprise en s’appuyant sur ses piliers traditionnels du commerce, du tourisme et des transports, malgré des dettes de plus de 100 milliards de dollars (74 milliards d’euros). La croissance a été de 3,7 % en 2011 et 4,4 % en 2012 et ce taux devrait atteindre 4,1 % cette année.
Des prix en hausse
« Les prix de certaines unités immobilières ont bondi de 20 % », indique Alan Robertson, directeur général pour la région MENA (Moyen-Orient et Afrique Nord) du groupe de conseil en immobilier Jones Lang LaSalle alors que d’autres parlent de taux plus élevés. Mais la croissance du marché devrait se tasser dans un proche avenir : « Les prix vont continuer à croître très rapidement au cours des 12 prochains mois, mais au cours des 24 prochains mois, cette croissance va se ralentir, estime-t-il, ajoutant que ces prix restaient encore de 20 à 30 % inférieurs au pic de 2008. La situation est différente ». Dubaï a décidé récemment de doubler à 4 % les taxes sur les ventes pour maîtriser les fluctuations. « Cela va calmer un peu le marché », a-t-il souligné, en citant un autre élément stabilisateur qui est la demande, non spéculative, d’investisseurs arabes fuyant les soulèvements dans leurs pays.
Les investisseurs placent leurs liquidités
Pour répondre à l’appétit des investisseurs, Dubaï a dépoussiéré des plans ambitieux, et lancé de nouveaux projets dont des canaux artificiels, parsemés de ponts de style florentin et une roue plus grande que la London Eye. La banque d’investissement EFG-Hermes a relevé, dans un rapport, des « signes d’une bulle en développement », mais noté que la spéculation a changé de nature. « La spéculation observée de 2006 à 2008 a été fortement encouragée par un crédit pas cher » alors que celle d’aujourd’hui est le fait d’investisseurs disposant de liquidités importantes, selon EFG-Hermes. En juillet, le Fonds monétaire international (FMI) a recommandé au gouvernement de Dubaï d’intervenir pour maîtriser les prix et éviter le risque d’une bulle. « Si les prix continuent à augmenter au rythme actuel, une action doit être entreprise pour empêcher une bulle », a déclaré le chef d’une mission du FMI aux Emirats arabes unis, Harald Finger.
En matière de design haut de gamme, on pense Londres, New York, Milan, Paris, Bâle ou Miami mais pas forcément Dubaï. Lorsqu’on découvre que la ville accueille Downtown Design, salon du design haut de gamme, à l’ombre de la Burj Khalifa, la plus haute tour du monde, on est en droit de s’interroger. Même si conjuguer le design sur le seul mode du cliché dans la plus importante ville des Emirats arabes unis serait une erreur. Lire la suite « Le design Made in Dubaï »
La chanteuse américaine voulait se faire prendre en photo dans l’enceinte d’une mosquée à Abu Dhabi. Si elle était plus vêtue qu’à son habitude, son intention n’a pas plu aux responsables du lieu de culte, qui lui ont demandé de partir.
Une première: Rihanna parvient une nouvelle fois à choquer alors qu’elle n’a jamais été aussi habillée. La chanteuse barbadienne n’est pas avare en idée pour déclencher les polémiques. Le 19 octobre, l’interprète de Diamonds a pénétré dans l’enceinte de la mosquée Cheikh Zayed, dans la capitale des Émirats Arabes Unis, Abu Dhabi. Elle était voilée pour l’occasion et portait un habit traditionnel noir recouvrant la totalité de son corps. Seuls son rouge à lèvre et son vernis à ongle carmin détonait dans cette tenue d’une rare sobriété chez la pop star.
Des détails qui ont rapidement fait virer au rouge les responsables de la mosquée. Mis à part son maquillage jugé provocant dans un lieu de culte, ce sont surtout ses moues lascives ainsi que les poses suggestives dont la chanteuse n’a pas su se déparer, qui ont provoqué l’irre des représentants de l’édifice, désigné comme la huitième plus grande mosquée du monde.
Fermement priée de quitter la mosquée
Rihanna avait prévu de faire une séance de photos dans cette mosquée d’Abu Dhabi sans prendre l’élémentaire précaution de solliciter une autorisation au préalable. Les photographies sont certes autorisées sur le lieu, mais elles sont bannies quand celles-ci offensent le public présent et bafouent le caractère sacré de la mosquée. Or, au bout de quelques minutes, il est devenu clair que la chanteuse n’avait pénétré dans l’enceinte du bâtiment que pour y prendre des clichés qui ne respectaient pas le règlement.
Par conséquent, la direction l’a fermement priée de quitter la mosquée. «La chanteuse a effectué une visite privée, sans se faire connaître et sans coordination préalable avec l’administration», indique un communiqué publié sur le site officiel du lieu, pour justifier son geste. Le communiqué précise néanmoins que la mosquée de Cheikh Zayed reste toujours ouverte aux visiteurs de toutes confessions et origines, pour prier ou apprécier son architecture.
Des avis partagés
En publiant dix photos qu’elle a réussi à prendre sur son compte Instagram, Rihanna a rendu public ce shooting non officiel. Les utilisateurs des réseaux sociaux se sont empressés de donner leur avis sur ces clichés d’un genre nouveau de la chanteuse qui préfère en général être en petite tenue.
Sur Twitter, une polémique est ainsi née. De nombreuses personnes ont reproché le caractère offensant des images de Rihanna, tandis que d’autres ont tenu à défendre à l’artiste et à souligner le caractère esthétique, élégant et respectueux de ses photos.
Fidèle à son engagement de communiqué avec les partenaires locaux et internationaux dans les domaines relatifs au travail de la police, la Police d’Abu Dhabi a participé au Forum Annuel de la Fondation Européenne pour la Gestion de la Qualité, qui a eu lieu récemment à Viennes en Autriche.
Cette participation souligne l’engagement de la Police d’Abu Dhabi à adopter les meilleures pratiques relatives à l’excellence organisationnelle. Elle s’inscrit également dans le cadre des instructions de la direction de la police à présenter les exploits du Siège Principal de la Police d’Abu Dhabi à la communauté internationale et partager son expérience et son rôle culturel dans le domaine du maintien de la sécurité et de la stabilité.
Le Général Mohammed bin Al Awadhi Al Menhali, directeur général des ressources humaines, responsable de l’équipe de la qualité et de l’excellence, a loué le forum en tant qu’évènement le plus en vue dans le domaine de l’excellence à l’échelle européenne. Il a également souligné l’importance d’informer les 350 participants sur les exploits de la police d’Abu Dhabi.
Le Colonel Thani Butti Al Shamesi, responsable du département de formation à la Police d’Abu Dhabi a souligné que le forum constitue une plateforme pour les institutions, les organismes et les compagnies internationales qui appliquent le modèle de l’excellence de Forum Annuel de la Fondation Européenne pour la Gestion de la Qualité au monde entier. La participation du siège principal de la Police d’Abu Dhabi renforce sa présence sur la scène internationale et lui permet de passer en revue les meilleures pratiques présentées par les participants et les lauréats du prix de l’excellence 2013 offert par la Fondation. Lire la suite sur BFMTV…
La compagnie aérienne Qatar Airways lancera au printemps prochain deux nouvelles liaisons entre Doha et les Emirats Arabes Unis, une vers le nouvel aéroport de Dubaï et l’autre vers Sharjah. Le nouveau terminal passager de l’aéroport World Central – Al Maktoum (DWC) a ouvert ses portes le 27 octobres 2013, ses premiers occupants étant les low cost Wizz Air (depuis Bucarest, Budapest qui a officiellement inauguré les installations, Kiev et Sofia) et Jazeera Airways (Koweït City), en attendant les vols charters de Condor (Düsseldorf et Francfort) en novembre et l’arrivée de Gulf Air en décembre. Qatar Airways y atterrira à partir du 1er mars 2014, déployant deux fois par jour un Airbus A320 pouvant accueillir 12 passagers en classe Affaires et 132 en Economie (départs de Doha à 6h00 et 20h30, retours à 9h10 et 23h40). A la même période, les horaires de la compagnie affichent ce matin 15 vols quotidiens entre Doha et Dubaï International, une liaison sur laquelle elle est en concurrence avec Emirates Airlines, la low cost Flydubai et United Airlines.
Autre nouvelle destination dans les EAU du futur membre de l’alliance Oneworld, Sharjah sera également desservie à raison de deux rotations quotidiennes en A320, avec départs à partir de la même date à 8h15 et 20h35 et retours à 11h15 et 23h35. Une seule concurrente cette fois, la low cost locale Air Arabia.
Pour le PDG de Qatar Airways Akbar al Baker, la demande toujours croissante de vols vers les Emirats Arabes Unis justifie le lancement de ces deux nouvelles routes, qui offriront aux visiteurs un choix encore plus vaste pour se rendre à Dubaï.
Le terminal passagers du nouvel aéroport de Dubaï est devenu opérationnel le 27 octobre. Al Maktoum International est appelé à devenir à terme le plus important aéroport du monde, capable d’ici 12 ans de gérer 160 millions de clients par an.
C’est un pari à 30 milliards de dollars : le tout nouvel aéroport international de Dubaï, baptisé Al Maktoum, doit pouvoir d’ici 2025 gérer un flux de 160 millions de passagers par an. Il deviendrait, ainsi, le plus important aéroport du monde.
Une vidéo de présentation.
Pour l’heure, ce nouveau projet pharaonique ne dispose que d’une capacité de 5 millions de passagers par an qui transiteront par son unique terminal, opérationnel depuis dimanche 27 octobre.
Les premiers passagers à fouler du pied cet aéroport, situé en plein milieu du désert, sont arrivés de Budapest à bord d’un avion de la compagnie low-cost Wizz air. À partir du 31 octobre, la compagnie koweïtienne Jazeera Airways assurera une desserte quotidienne avec le Koweït. Mais ce n’est que le 8 décembre qu’un transporteur national classique – Gulf Air – utilisera le site d’Al Maktoum, plutôt que l’autre aéroport international de Dubaï, du moins pour une partie de sa flotte. « Nous sommes en contact avec beaucoup plus de compagnies encore », a assuré Paul Griffiths, PDG de Dubaï Airports.
Situé à une cinquantaine de kilomètres au sud du centre de la ville de Dubaï, l’aéroport fait partie, selon ses promoteurs, d’une immense structure baptisée « Dubai World Central », qui s’étend sur 140 km2 et inclut une cité logistique, une cité de l’aviation, une zone commerciale et résidentielle et une cité du golf.
Reste que la distance qui le sépare de la ville de Dubaï représente, pour l’instant, le principal handicap de l’aéoroport d’Al Maktoum. L’aéroport Dubaï International n’est, quant à lui, qu’à 20 km du centre ville.
Dr. Mohammed Al Zarooni, vice-président et directeur général de Dubai Silicon Oasis Authority (DSOA) et directeur général de Dubai Airport Free Zone, a donné un aperçu sur le concept fondamental et le développement futur des zones franches de Dubaï aux délégués participant à la 15e Conférence Amérique latine à Ponce, Porto Rico, qui s’est déroulée du 23-25 oOctobre.
S’adressant à un auditoire d’élite dont les membres de l’Association nationale des zones franches et l’Association des zones franches des Amériques, Dr Al Zarooni a souligné le succès du concept de la zone franche de Dubaï et sa contribution au PIB de Dubaï.
Dr. Al Zarooni a déclaré : «Les 22 zones franches de Dubaï ont joué un rôle important au cours des trois dernières décennies dans la stimulation de trafic portuaire, contribuant 75 pour cent au total des exportations de l’émirat de Dubaï. Ces zones franches ont également permis d’attirer plus de 19.000 entreprises qui offrent des emplois à plus de 226.000 employés. » Il a souligné que les zones franches globalement jouent un grand rôle dans la croissance économique mondiale pour soutenir et faciliter l’investissement étranger, la promotion du commerce international et les exportations, la création d’emplois et l’économie nationale.
«Selon les statistiques, il y avait en 1975 un total de 665 zones franches dans le monde entier, et aujourd’hui, le monde compte plus de 3.500 zones franches qui offrent près de 60 millions d’emplois. L’augmentation du nombre reflète le succès des zones franches dans le monde, » affirme Dr Al Zarooni.
Dr Zarooni a en outre parlé de l’ascension fulgurante de l’émirat en tant que puissance économique du 21ème siècle et de plaque tournante commerciale de premier plan au Moyen-Orient. « Dubaï a beaucoup à offrir à l’économie mondiale grâce à son infrastructure stratégique et une offre de services de haute qualité pour les investisseurs à travers l’adoption de la technologie à haut débit et des procédures propice aux affaires.»
La Conférence latino-américaine a permis d’examiner les tendances du marché et les pratiques commerciales internationales des zones franches, réitérant l’importance de développer des outils concrets à la croissance et de la nécessité d’établir des relations commerciales durables pour favoriser la croissance économique des pays qui cherchent à mettre en place des zones franches. – Agence de Presse des Emirats, WAM
Le Ministre de l’Economie des Emirats, Sultan Saeed Al Mansouri, et le Ministre du Commerce de la Nouvelle-Zélande, Tim Groser, ont coprésidé la 4e réunion de la commission économique conjointe.
Dans son allocution d’ouverture, le Ministre émirien soulignait la nécessité d’élaborer des mécanismes de coopération, en particulier dans la technologie, l’innovation, l’économie de la connaissance, les PME, les énergies renouvelables, la pétrochimie, la santé, l’alimentation et le tourisme.
Il a aussi insisté sur la nécessité d’assurer un équilibre entre les exportations et les importations, avant de rappeler que « Les Emirats progressent avec confiance vers l’édification d’une économie basée sur la connaissance, l’innovation et le capital humain. »
Il a également énuméré les réalisations des Emirats Arabes Unis dans une série d’indices internationaux comme le Rapport mondial sur la compétitivité, les investissements étrangers et le transfert de technologie.
En 2012, les échanges commerciaux entre les deux pays représentaient, hors pétrole, un montant de 563 millions de dollars US. Lire la suite sur WAM…