Le paysage urbain futuriste de Dubaï est le genre d’endroit où le capitaine James T Kirk de Star Trek se serait senti à l’aise, affirme l’homme qui a joué ce rôle célèbre, William Shatner.
Parlant en tant qu’invité de Middle East Film & Comic Con, l’acteur canadien a déclaré que la ville était comme quelque chose créé par un écrivain de science-fiction.
“C’est une ville extraordinaire, reflétant l’imagination de ce que l’avenir nous tréserve,’’ déclare Shatner, un des multiples vedettes participants à des tables rondes lors de la deuxième journée de l’évènement au Dubai World Trade Centre.
La quatrième édition attire des milliers de fans de la culture geek, certains habillés comme leurs personnages préférés de films ou de bandes dessinées. Shatner, qui a joué Kirk dans la série originale Star Trek il y a près de 50 ans, se dit impressionné par la participation massive, une preuve du fait selon l’acteur que la bande dessinée et la science-fiction, autrefois considérés comme geek, font maintenant partie de la culture dominante.
Parmi les autres invités figuraient aussi l’actrice britannique Hayley Atwell, qui joue l’agent Peggy Carter dans les films Marvel, Sam Jones, qui a joué Flash Gordon dans le film éponyme des années 1980, et Angelica Bridges, qui a connu la gloire comme Taylor Walsh sur Baywatch et joue le rôle de Poison Ivy dans les émissions Batgirl Rises.
Gillian Anderson, mieux connu comme agent spécial du Dana Scully dans la série X-Files, sera aussi présente au festival selon The National.
Les Emirats Arabes Unis annoncent un montant supplémentaire de Dh367 millions ($100 millions) en aide pour soutenir l’aide humanitaire en réponse à la crise en Syrie.
L’annonce est intervenue par Cheikha Lubna bint Khalid Al Qasimi, Ministre de la Coopération internationale et du développement et chef du Comité des Emirats Arabes Unis pour la coordination des affaires humanitaires, dans sa déclaration lors de la troisième conférence des donateurs pour la Syrie, ouverte hier à Koweït avec la participation de représentants des pays et des organisations qui soutiennent la situation humanitaire en Syrie.
Cheikha Lubna a souligné l’importance accordée par le leadership émirien à la question humanitaire de la Syrie, ayant honoré les engagements annoncés lors des deux précédentes éditions de la conférence avec un total de 360 millions de dollars à l’appui.
Elle a rappelé le rôle clé joué par les Emirats Arabes Unis en réponse aux défis humanitaires et les réfugiés syriens, s’élevant à plus de Dh1,4 milliards ($365.000.000) entre 2012 et fin 2014 selon l’ Agence de Presse des Emirats, WAM
Le Louvre Abou Dhabi sera un modèle distinctif d’un musée universel, traduisant l’esprit d’ouverture et de dialogue entre les cultures. Conçu par l’architecte lauréat du prix Pritzker Jean Nouvel, le Louvre Abou Dhabi affichera des œuvres d’importance historique, culturelle et sociologique de l’époque ancienne à l’art contemporain. Des thèmes universels et des influences communes seront mis en évidence pour illustrer les similitudes et les échanges résultant de l’expérience humaine commune qui transcende la géographie, la nationalité et l’histoire.
Prévu d’ouvrir plus tard cette année, le Louvre Abou Dhabi créera une présence en ligne afin d’attirer des visiteurs du monde entier et se connecter avec la communauté muséale mondiale.
Hissa Al Dhaheri, Directeur des Programmes chez Abu Dhabi Tourism and Culture Authority, déclare “Le Louvre Abou Dhabi a commencé sa présence en ligne avant l’ouverture anticipant le grand jour et afin d’accroître les interactions avec le public cible, composé de jeunes générations, des résidents des Emirats Arabes Unis et ceux de l’étranger. Cette ambition a porté ses fruits, avec plus de 15 000 adeptes quotidiennement sur #LouvreAbuDhabi.’’
LouvreAbuDhabi va maintenant rejoindre sur Twitter #MuseumWeek, une célébration en ligne des musées et des galeries du monde entier. L’événement se déroule du 23 au 29 mars exclusivement sur Twitter. Plus de 2 000 musées ont déjà signé pour la célébration d’une semaine avec la participation de plus de 44 pays du monde entier selon le quotidien Khaleej Times.
Un pilote émirien d’Etihad Airways est devenu le plus jeune titulaire d’un doctorat en aéronautique et seulement le huitième dans le monde pour obtenir le diplôme. Shareef Al Romaithi, 31 ans, a rejoint la compagnie nationale des Emirats Arabes Unis en 2007 en tant que pilote cadet et est devenu le premier cadet pilote d’Etihad Airways à obtenir le statut de premier officier après avoir terminé le programme de formation des pilotes de la compagnie aérienne.
Suite à ses études en génie aérospatiale, de gestion et de sécurité de l’aviation, M. Al Romaithi mettra ses compétences à profit avec le Boeing 777 de la flotte.
«Je suis reconnaissant à Etihad Airways de m’avoir donné la possibilité d’obtenir ce diplôme unique. Nous bénéficions de toutes les opportunités et c’est à nous d’accepter les responsabilités. » selon le quotidien d’information The National.
SA Général Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, Prince héritier d’Abou Dhabi et Commandant en Chef adjoint des Forces armées des Emirats, a assisté ce samedi à une réunion du CCG dans la capitale saoudienne Riyad.
Les responsables du CCG ont fait le point des derniers développements dans la région, notamment la situation au Yémen, exprimant leur préoccupation face aux évènements et mettant en garde contre une évolution du Yémen qui peut entraîner des conséquences dangereuses pour le Yémen, pour la sécurité et la stabilité de la région et pour la paix internationale.
Les dirigeants ont également réitéré les positions du CCG soutenant la légitimité au Yémen, représentée par le président Abd Rabo Mansour Hadi, et exprimant leur volonté de déployer tous les efforts pour soutenir la sécurité et la stabilité du Yémen.
Ils ont souligné la nécessité d’une réponse rapide à l’appel lancé par le président yéménite de convoquer une conférence globale à Riyad sous l’égide du CCG et regroupant l’ensemble du spectre politique au Yémen selon l’Agence de Presse des Emirats, WAM.
Entraîné par un fauconnier français, l’aigle s’est élancé de la plus haute tour de Dubai, offrant ainsi un panorama unique. Cet aigle, baptisé Darshan, a battu un record. Muni d’une minuscule caméra, il s’est envolé samedi du sommet de la plus grande tour construite par l’homme, le Burj Khalifa à Dubai. Parti de 829 mètres de haut, le rapace est venu se poser après quelques minutes de vol au pied de l’édifice, sur la main de son dresseur. Ces images permettent ainsi de découvrir cette grande ville des Émirats arabes unis du point de vue et de la hauteur d’un aigle. Ce vol extraordinaire a été organisé par une équipe de défenseurs de l’environnement. L’objectif est de sensibiliser la population au sort de ces oiseaux, autrefois espèce menacée. Entraîné par le fauconnier français Jacques-Olivier Travers, Darshan a parfaitement réussi son vol.
L’émirat ne cesse de s’inventer. Un site Web, un aménagement du centre commercial, le nouvel hôtel qui le jouxte et une plateforme d’observation aménagée dans la plus haute tour du monde en attestent.
Plus haut, plus grand, plus étonnant. En moins de trente années, là où il n’y avait que désert, ont surgi des golfs, une piste de ski, une île en forme de palmier, une autre reproduisant le planisphère, une marina, un des plus grands aéroports de la planète, hub d’Emirates (la compagnie nationale), plus de 600 hôtels, un gigantesque centre commercial et même une ville, un bouquet de gratte-ciel. Bref, une création ex nihilo à quelques grains de sable près. Et ça marche. L’an passé, plus de 11 millions de visiteurs sont venus. Parmi eux, 187.000 Français. Les progressions sont constantes. Les autorités locales visent 20 millions de touristes en 2020.
Alors, direction le nouveau centre de la ville dont le point zéro, signe des temps, est le Dubai Mall, le plus grand centre commercial du monde, forcément, dominé par Burj Khalifa, 828 m de hauteur, la plus haute tour du monde, évidemment. Un tout nouvel hôtel Sofitel vient de se greffer à l’ensemble, manière d’offrir aux tenants de l’enseigne française une immersion 100 % Dubaï, le temps d’une escale par exemple.
Aquarium pour 30.000 poissons
Le centre commercial focalise toutes les attentions. On connaissait son gigantisme, 1 million de mètres carrés, 1200 boutiques, un aquarium derrière une paroi vitrée de 32 m de long sur 8 de hauteur, encore un record, derrière laquelle s’ébattent plus de 30.000 poissons – des raies, des requins, etc. -, des dizaines de restaurants (sans alcool), une patinoire olympique…
On découvre désormais un quartier chicissime entier dédiée aux griffes de la mode et un autre, source de possible malaise chez certaines, qui réunit toutes les grandes marques de souliers. Cette bulle climatisée sous lumière artificielle ne promet pas la moindre bonne affaire, ses étiquettes sont les mêmes qu’à Paris, Londres ou Manhattan. Elle suggère juste le plaisir d’une balade au pays des envies. Cartes de crédit partout acceptées sans retenue.
La décoration acidulée des chambres du Sofitel affichent son inspiration Op Art.
Pour en faciliter l’accès, une promenade couverte d’environ 500 m a été construite. Elle conduit jusqu’à la station de métro aérien la plus proche et dessert au passage le tout nouvel hôtel Sofitel. La touche française 5 étoiles de l’émirat, inaugurée en novembre dernier. Une architecture et une décoration acidulée affichent l’inspiration Op Art de la maison. Immenses baies vitrées dans les 350 chambres dont 76 suites, vaste piscine de 60 m en terrasse, trois restaurants, un spa et un bar au 31e étage histoire d’admirer l’océan de lumières qui ruisselle dès la nuit tombée, strié d’artères à six voies et d’immeubles qui jouent leur propre partition à coups de néons multicolores. Cela mérite bien de trinquer.
Parmi tous ces vertiges, celui qui s’en va piquer le ciel bien au-delà des nuages et du raisonnable, Burj Khalifa, 164 étages. On ne connaît pas plus haut. Bonne nouvelle, il est possible d’en faire l’escalade. Non pas en s’agrippant sur les parois vitrées comme Tom Cruise à la manière de Spider-Man le fait dans le dernier Mission: Impossible, mais en prenant place dans un ascenseur fusée.
Plus sage mais pas moins impressionnant. Une vingtaine de secondes plus tard, les portes s’ouvrent au 124e étage (environ 30 € par personne), à moins de préférer le 148e étage, c’est plus chic, moquette et verre de bienvenue, mais 110 € par visiteur quand même. Ici et là, vision majestueuse qui porte loin, de la mer d’Arabie aux portes du désert, plus de 500 mètres au-dessus du monde ordinaire et des mille chantiers qui floutent l’horizon d’un voile de poussière.
Ce n’est pas demain que le ballet des grues et des camions-bennes cessera. Dubaï met le cap sur Expo 2020, la première Exposition universelle organisée dans la région. Des milliers de chambres en plus, des parcs d’attraction, des autoroutes, le tourbillon continue. Parmi les projets, une promenade piétonne de bord de mer, façon Miami. On y trouvera des bancs pour faire enfin une pause, c’est promis.
MUSCAT: L’avion Solar Impulse 2 (Si2) a atterri à l’aéroport international de Mascate après une première étape du vol autour du monde ayant démarré d’Abou Dhabi
L’atterrissage marque la fin de la première étape de la circumnavigation mondiale pour l’avion solaire. Piloté à tour de rôle par Bertrand Piccard et André Borschberg, le Solar Impulse est conçu pour voler en continu jour et nuit, propulsé uniquement par la lumière solaire captée par les cellules solaires et stocké sous forme d’électricité dans des batteries au lithium à bord. L’avion révolutionnaire se rendra dans 12 pays dans une tentative historique de voler autour du monde sans utiliser une goutte de carburant.
Le projet Solar Impulse est le fruit de 13 années de recherches et d’essais par les co-fondateurs Bertrand Piccard et André Borschberg.
La prochaine étape de l’aventure Solar Impulse verra l’avion traverser le golfe d’Oman pour Ahmedabad en Inde et Varanasi au Myanmar. De Myanmar, le Si2 volera parallèle à l’Himalaya et au nord de la Chine. Après la traversée de l’océan Pacifique via Hawaii sur un voyage de cinq jours, Si2 volera à travers le continent américain, s’arrêtant à Phoenix, en Arizona, et à New York. Après avoir traversé l’Atlantique, la dernière étape comprendra une escale en Europe du Sud ou en Afrique du Nord avant d’arriver à Abou Dhabi fin juillet ou début août.
Les visiteurs du pavillon émirien à l’Expo de Milan peuvent se préparer à y découvrir un festin visuel et culturel lors de l’Exposition universelle dans la ville italienne à partir du 1er mai.
Salem Al Ameri, Commissaire général des Emirats pour Expo 2015, rappelle que le pavillon retracera l’histoire du pays et la façon dont ses habitants luttaient contre les défis de la vie et avec des ressources limitées.
Le directeur du projet Pavillon des Emirats à Milan, Peter Vine, estime qu’il s’agit du “pavillon le plus impressionnant créé par les Emirats au cours des sept expositions dans lesquelles j’ai été impliqué. Le pavillon racontera une histoire incroyable et créera une impression durable.”
L’architecture du bâtiment, des films et des installations holographiques sont conçus pour illustrer le thème de l’Expo : Nourrir la planète, Une énergie pour la vie.
Le pavillon comprendra également un centre d’affaires, créé par Dubai World Trade Centre, qui permettra aux entreprises locales de s’engager directement avec des clients et des partenaires européens. Alors que les arts, la culture et l’histoire s’entremêlent, le pavillon sera ainsi une occasion en or pour les entreprises.
Le Musée du Futur, prévu d’ici 2017 à Dubaï, sera non seulement un somptueux monument architectural mais réunira aussi tous les talents du monde arabe, affirme le quotidien Gulf News.
“En effet, pour le gouvernement, l’innovation est le mot-clé dans la construction d’une nation,’’ déclare le journal. “Le Musée du Futur sera un incubateur de l’innovation et un projet plein de promesses tout en étant un défi pour tous,’’ ajoute le quotidien en citant le Vice-président et Premier ministre des Emirats et Souverain de Dubaï, Son Altesse Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, qui a annoncé les plans de ce projet futuriste.