Par La Rando

Congrès internationaux à Dubai en 2014

En 2014, le centre des Congrès de Dubaï, le Dubai World Trade Centre (DWTC), n’accueillera pas moins de 11 congrès internationaux. L’émirat attire en effet de nombreux secteurs porteurs tels que les transports, le droit, la technologie, ou encore la santé avec notamment trois congrès médicaux confirmés, dont le Congrès Dentaire Asie-Pacifique avec plus de 5 000 éminents spécialistes attendus à cette occasion. Dans le domaine du droit, le DWTC accueillera 2 conférences : la 19e Conférence de l’association Internationale des Procureurs, ainsi que la Conférence annuelle de l’Association Internationale du droit et des sciences judiciaires. Les retombées économiques générées par ces congrès devraient être de l’ordre de 32 millions de dollars. A noter que ce secteur a été identifié comme l’un des axes clés du plan stratégique pour le tourisme « Vision 2020 » visant à attirer 20 millions de visiteurs à cette échéance, soit le double du visitorat actuel, et à tripler les revenus issus du tourisme.

Source: quotidiendutourisme

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Nouveau directeur d’Emirates en Algérie

La compagnie aérienne Emirates vient de nommer Tariq Obaid comme nouveau Directeur général pour soutenir ses opérations en Algérie.  L’ancien Directeur général au Soudan – sa dernière fonction au sein de la compagnie des Emirats Arabes Unis – va désormais superviser les opérations d’Emirates à Alger.  En somme, ce nouveau poste lui permettra de  superviser les ventes d’Emirates, et toutes les fonctions liées aux services aux passagers, le cargo ainsi que les opérations au sein de l’aéroport.

Tariq Obaid, qui travaille au sein d’Emirates Airlines depuis 2007, a reçu un fort soutien de sa direction. “Il a été un employé loyal et dévoué d’Emirates depuis près de six ans et n’a cessé de démontrer sa capacité à maximiser les revenus de la société et de dépasser les objectifs qui lui avaient été fixés. Je suis convaincu qu’il fera de nos opérations en Algérie un grand succès”, a estimé Adil el Ghaith, le Vice Président Senior pour les opérations commerciales en Afrique du Nord et Ouest, avec lequel Tariq Obaid travaillera.

“C’est un grand honneur pour moi de prendre en charge la gestion des opérations d’Emirates en Algérie, j’ai l’intention de continuer à assurer, le bon fonctionnement de nos vols quotidiens entre Dubaï et à Alger et mettre à profit toute l’expérience acquise au cours de ma période de formation et après mon travail au Soudan et en Arabie Saoudite pour répondre positivement aux demandes de ce marché passionnant par sa diversité et son dynamisme”, estime le nouveau directeur général d’Emirates Algérie.

Emirates Airlines a lancé ses premiers vols en Algérie en mars 2012, avec une première liaison entre Alger et Dubaï. Depuis son lancement la compagnie a transporté plus de 73,000 passagers entre Dubaï et Alger.

Source: Focus Algerie

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Contrat pour Rolls-Royce aux Emirats arabes unis

Rolls-Royce indique avoir remporté un contrat “stratégique” aux Emirats arabes unis via un contrat de fourniture de turbines à gaz à l’ensemblier sud-coréen HDEC. Aucun montant n’a été précisé.

Dans le détail, le motoriste britannique s’est vu attribuer un contrat par le groupe sud-coréen Hyundai Engineering & Construction (HDEC) dans le cadre du développement du gisement d’hydrocarbures offshore de Satah Al- Razboot (SARB), aux Emirats arabes unis.

Un total de 86 puits doit être foré dans la région et la capacité de traitement du site de Zirku sera de 200.000 barils de pétrole par jour et 35 millions de pieds-cube de gaz. Lire la suite sur Zonebourse.com…

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Dubaï prépare son nouvel an

Dubaï a reçu cette année l’assurance d’organiser, en 2020, l’exposition universelle. Une initiative de plus, qui permettra au minuscule mais richissime état pétrolier de se mettre en lumière aux yeux du monde. Mais Dubaï n’attendra pas jusque-là.

Pour achever en beauté cette année riche en «victoires», et bien débuter la suivante, l’émirat célébrera l’an nouveau avec d’impressionnants feux d’artifice. Qui prendront pour décors ses plus célèbres édifices: la tour Burj Khalifa, l’hôtel Burj Al Arab, The Palm Jumeirah et le resort Atlantis the Palm.

100 kilomètres au large des côtes

Depuis son inauguration en janvier 2010, le feu d’artifice de Burj Khalifa, la plus haute tour du monde, est déjà suivi par les spectateurs du monde entier. Mais cette fois, le spectacle pyrotechnique promet d’atteindre des sommets. Programmé peu avant minuit pour une durée de 20 minutes, ce spectacle s’ouvrira sur un premier set de 6 minutes, avec lequel les organisateurs espèrent remporter le record du «plus grand feu d’artifice du monde» au Guinness Book. La mise en scène riche en couleurs, orchestrée au-dessus de Palm Jumeirah et des îles The World, s’étendra jusqu’à 100 kilomètres au large des côtes. Près de 450 000 fusées seront lancées pour produire un show unique, accompagné de musiques spécialement créées pour l’occasion.

C’est à la célèbre société Fireworks by Gruci, de renommée internationale, qu’a été confiée la conception du spectacle pyrotechnique présenté.

Un deuxième spectacle de 15 minutes s’étendra cette fois sur 1 kilomètre, au-dessus de Jumeirah Beach. Les hôtels Burj Al Arab, Madinat Jumeirah s’illumineront aussi pour assurer le spectacle. Cet événement doit permettre de positionner les États du Golfe comme une destination touristique majeure tant pour le tourisme d’affaires que pour le loisir. «L’ouverture des nouveaux hôtels et les nombreuses commandes passées à l’occasion du Dubai AirShow illustrent bien l’engouement et le dynamisme que nous connaîtrons dans les prochaines années», se réjouit déjà le directeur du tourisme.

Source: Lavenir.net

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Fonds d’investissement agricole aux Emirats arabes unis

Khalifa Ahmed Al Ali  directeur général de Centre des services aux agriculteurs d’Abou Dhabi (ADFSC), annonce le lancement du Fonds d’investissement agricole avec un budget estimé à 100 millions de dirhams sur cinq ans pour soutenir et financer l’utilisation de techniques agricoles modernes, y compris la culture hydroponique en serre.
L’objectif du Fonds est de parvenir à la durabilité et de contribuer à la diffusion d’un parapluie de sécurité alimentaire dans l’émirat d’Abou Dhabi. Le Fonds sera mis en œuvre en partenariat avec le Centre de sécurité alimentaire à Abou Dhabi (FSCAD).
L’accent sera mis dans la première phase sur le soutien et le développement de l’agriculture hydroponique dans l’émirat. L’objectif est de contribuer à l’augmentation et à l’amélioration de la sécurité alimentaire et au développement du secteur agricole dans l’émirat.
“Le projet consiste en la création d’un fonds de prêt bonifié pour financer des projets agricoles. Le Fonds couvrira 50 % du coût total d’un projet, tandis que l’agriculteur bénéficiaire couvrira le reste des coûts. ‘’ Lire la suite sur WAM…

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Amélioration des relations entre les Emirats et l’Iran

Le chef de la diplomatie iranienne s’est rendu mercredi aux Émirats arabes unis dans l’espoir d’améliorer les relations entre Téhéran et l’un des principaux alliés des Etats-Unis dans la région, après l’accord conclu avec les grandes puissances sur le nucléaire.

Situés face à l’Iran, de l’autre côté du Golfe arabo-persique, les Émirats hébergent des dizaines de milliers de travailleurs iraniens et pourraient être l’un des premiers pays à profiter d’un allègement des sanctions internationales visant la République islamique depuis 2011.

À Abou Dhabi, puis à Dubaï, dernières étapes d’une tournée régionale, le ministre iranien des Affaires étrangères s’est efforcé de rassurer ses voisins arabes sunnites sur les ambitions régionales de l’Iran chiite.

Mohammad Javad Zarif a invité le dirigeant émirati, Cheikh Khalifa bin Zayed al Nahayan, à se rendre en visite à Téhéran, un chemin déjà emprunté par son chef de la diplomatie quelques jours après l’accord sur le nucléaire, dont les Émirats ont été le premier pays du Golfe à saluer prudemment la signature.

Cheikh Abdallah bin Zayed y avait plaidé en faveur d’un « partenariat » avec l’Iran. Mohammad Javad Zarif lui a fait écho mercredi en souhaitant une « institutionnalisation » des relations entre la République islamique et les Émirats.

Les deux voisins se disputent la souveraineté sur trois îlots situés dans le détroit d’Ormuz, par lequel transitent 40% des exportations maritimes de pétrole brut dans le monde.

Les Émirats avaient rappelé leur ambassadeur à Téhéran l’an dernière après la visite sur un de ces îlots du président iranien de l’époque, Mahmoud Ahmadinejad, dont le successeur Hassan Rohani entend prendre le contre-pied.

Son ministre des Affaires étrangères s’était auparavant rendu au Koweït, à Oman et au Qatar dans le cadre de sa mini-tournée régionale.

Source: Zaman

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Association des Zoos et Aquariums aux Emirats

Al Ain Zoo était l’hôte de la première conférence de l’Association arabe des Zoos et Aquariums réunissant des experts de toute la région pour discuter de la gestion des animaux et d’autres questions.
Les délégués des Emirats, de l’Arabie Saoudite, du Qatar, de Bahreïn, de Koweït, du Sultanat d’Oman et de la Jordanie ont travaillé en étroite collaboration tout au long de la conférence afin de développer le projet de Constitution de l’Association, son code de conduite et code de pratique.
Ghanim Mubarak Al Hajeri, directeur général d’Al Ain Zoo, déclare : “Cette conférence historique marque une nouvelle ère pour les zoos et aquariums du Moyen-Orient, en fournissant une voix forte et unie dans la cause mondiale de conservation de la faune. Le Zoo d’Al Ain est un acteur actif et engagé dans ce domaine, en ligne avec la vision 2030 d’Abou Dhabi et du rôle de leadership des Emirats, tant au niveau régional et international, dans la conservation.’’ Lire la suite sur WAM…

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Recrutement: Les Emirats arabes unis souhaitent des cadres marocains

Lemag : La visite privée du Roi Mohammed VI à Abou Dhabi, aurait été occasion pour le souverain, de plaider devant ses hôtes émiratis, pour la facilitation de recrutement aux EAU de la main d’œuvre marocaine qualifiée.

C’est ce qu’a affirmé une source diplomatique marocaine ayant requis l’anonymat.Le diplomate marocain a assuré que le souverain s’était fait avocat des cadres marocains qui souhaiteraient gagner des postes d’emploi aux Emirats arabe unis, surtout que le marché émirati est grand recruteur de cadres et mains d’œuvre qualifiées, dans les domaines administratifs, sécuritaires, et dans le secteur privé notamment des services.  Selon un quotidien arabophone de la place, les Émirats auraient sérieusement considéré le plaidoyer royal, en faveur des chômeurs marocains.

Cette richissime fédération du Golfe, serait disposée, selon la même source, à recruter via l’agence marocaine l’ANAPEC, les cadres et les classes de profils dont elle a besoin, selon des critères avantageux dans les deux sens.  Les Emiratis ont fait l’expérience des cadres marocains, y jugés extrêmement compétents, notamment dans les domaines de la banque, finance et assurance, tourisme et hôtellerie et les métiers d’artisanat et de construction.  A ce propos, plusieurs banques et entreprises aux EAU sont pilotées par des cadres marocains, assure la même source.

Source: LeMag
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Grande Bretagne: plus de visa pour les citoyens des Emirats arabes unis

L’ambassade britannique à Abu Dhabi a déclaré lundi que les citoyens des Emirats arabes unis (EAU) n’ont plus besoin de visa pour les séjours de moins de six mois en Grande-Bretagne.

L’ambassade a ajouté que les ressortissants émiratis doivent juste présenter une demande via le site Internet de l’ambassade pour obtenir un laissez-passer leur permettant de se rendre dans ce pays de l’Union européenne.

La Grande-Bretagne et les Emirats arabes unis sont des alliés stratégiques de longue date et ont approfondir leurs relations ces dernières années. La Grande-Bretagne a soutenu la candidature de Dubaï pour l’organisation de l’Exposition universelle de 2020, que l’émirat a remportée le 27 novembre.

Source: http://french.cri.cn

Par La Rando

L’Algérie au festival du film de Dubaï

Avec une obstination sans faille, le cinéma algérien se montre dans les grands festivals, comme au 10e Festival de Dubaï, avec les longs métrages de Hakkar Zahzah et d’autres courts métrages. Un bataillon de cinéastes arabes est de retour au Festival du film de Dubaï pour relever le défi face à la machine de la fiction américaine. Le Festival de Dubaï est avant tout organisé cette année pour fêter son dixième anniversaire, une affaire arabe, avec des valeurs sûres comme  Amor Hakkar, Abdenour Zahzah, Mohamed Malas, le cinéaste et écrivain syrien, Hany Abu Assad, le réalisateur palestinien qui a ouvert le festival avec son film Omar, déjà primé à Cannes. Et aussi Rachid Masharaoui, autre talentueux auteur palestinien, Jilali Farhati, cinéaste marocain essentiel qui ne quitte jamais Tanger où il tourne tous ses films, Laïla Marrakchi, jeune Marocaine, qui a fait courir des milliers de spectateurs avec son précédent film Marock qui sentait l’odeur du soufre, et bien d’autres cinéastes arabes du Liban et de la Jordanie…
Rythme très dense de projections, débats, conférences, stars sur le red carpet, le Festival de Dubaï s’annonçait dès le départ comme un grand moment de découvertes, un brillant feu d’artifice d’images.

Avec La Preuve, une délicate histoire sur le thème de la virilité, le fait d’avouer publiquement ou non son impuissance, Amor Hakkar est sur la ligne de départ pour le grand prix (Muhr Award) du Festival de Dubaï. Amor Hakkar s’adonne seul à un travail d’écriture et de mise en scène d’une grande exigence et finit par être sélectionné dans les grands festivals, Locarno, Sundance, Dubaï. Zahzah, de son côté, est en concours dans la section documentaires. Mohamed Malas s’investit beat, comme beaucoup et à tous les stades de la réalisation de ses films. Après le singulier plaisir laissé sur les traces de ses précédents opus, Passion et surtout Ahlam Al Madina (les rêves de la ville), Malas a réussi à concilier fiction et écriture poétique dans son nouveau film intitulé Soullam Ila Dimashq (échelle pour Damas) tourné dans le rude contexte actuel de la situation en Syrie. Soullam Ila Dimashq est un docu-fiction avec des moments de cinéma fantastique et imaginaire.

Dans une belle et vieille demeure du centre-ville de Damas, douze jeunes gens venus de toute la Syrie louent des chambres, comme étudiants ou jeunes employés, quand soudain l’insurrection éclate. C’est un huis clos, un regard sur le passé syrien, sur les années de dictature. C’est une œuvre très réussie, habilement mise en scène. Fortes images à l’appui, Rachid Masharawi revient à Dubaï, après le succès de Laïla Birthday (2007) avec Palestine Stéréo, une chronique décapante de la vie palestinienne, avec de bons acteurs et de grandes envolées d’humour. Désirant émigrer au Canada, deux frères, Sami et Milad (Stéréo), la trentaine, essayent de gagner l’argent du voyage. Ils louent du matériel stéréo et vont jouer dans les mariages. Sans clichés, c’est la vie quotidienne en Palestine avec ses perspectives multiples, complexes, drôles et difficiles à la fois.

Dans Les Secrets de l’oreiller, Jilali Farhati filme le portrait d’une jeune Marocaine qui découvre à la mort de sa mère que celle-ci était une prostituée. Une dure révélation qui lui tombe sur la tête. Toute une vie inavouable, cachée soigneusement et soudain révélée au grand jour. Film noir, particulièrement dramatique dans la lignée d’orgueil et de désespoir qui marque le quotidien de la vie au Maghreb. Cherien Dabis, jeune cinéaste jordano-américaine, est aussi en compétition avec son nouveau film May in the summer. L’héroine retourne chaque été de New York à Amman dans sa famille. Cette fois-ci, c’est la veille de son mariage. Drôle et parfois pathétique chronique urbaine dans la haute société jordanienne, un monde entre deux : la Jordanie et l’Amérique. Il faut encore signaler dans ce bon bouquet de fictions arabes les films du Libanais Mahmoud Hojeij, une première tentative dans le long métrage fiction : Stable, Instable qui se passe à Beyrouth, durant la dernière année de la guerre civile, sept personnages au total à la recherche d’eux-mêmes…

Source: El Watan