Par La Rando

L’émir de Dubaï en France ?

L’émir de Dubaï, Mohammed bin Rashid Al Maktoum, a réservé une place dans le port de Granville, la semaine du lundi 25 août. Il viendrait en effet à bord de son yacht de 90 m de long, le Dubawi. L’émir et son fils, le prince héritier Hamdane ben Mohammed Al Maktoum, figurent sur la liste des engagés de l’épreuve d’endurance des Jeux équestres mondiaux, le 28 août, à Sartilly. Le yacht aurait déjà quitté Dubaï et fera plusieurs escales. En revanche, l’accostage définitif à Granville reste subordonné à l’humeur de l’émir. Verdict le 25 août, à l’ouverture du port.

Source : ouest-france.fr

Par La Rando

Emirates possède un tiers des A380

La compagnie des Émirats arabes unis dispose dans sa flotte de plus du tiers des A380 déjà livrés par Airbus dans le monde. Elle aspire à deveni le « premier transporteur aérien international ».

Et de 50. La compagnie Emirates de Dubaï, déjà premier opérateur de l’avion géant A380, a annoncé jeudi avoir réceptionné le 50ème exemplaire de cet appareil du constructeur européen Airbus. À ce jour, 136 A380 ont été livrés

« L’A380 a largement contribué à notre succès, confirmé par le vif intérêt manifesté par nos clients et le coefficient de remplissage élevé dans tous les aéroports accueillant cet appareil », a déclaré Sir Tim Clark, Président d’Emirates Airline, cité dans un communiqué.

Plus gros client de l’A380, Emirates a encore 90 appareils de ce type en commande. À ce jour, 136 ont été livrés dans le monde selon Airbus.

« Premier transporteur aérien international »

La compagnie aérienne des Émirats arabes unis a assuré dans le communiqué que cette nouvelle livraison, qui porte sa flotte d’avions à fuselage large à 224, allait renforcer son ambition de devenir le « premier transporteur aérien international ». Elle vient par ailleurs de finaliser une commande de 150 long-courriers Boeing 777X d’une valeur de 56 milliards de dollars.

Source: La Tribune.fr

Par La Rando

Le programme spatial des Émirats Arabes Unis

Le programme spatial des E.A.U pourrait inspirer l’innovation et stimuler une plus grande diversification de l’économie du pays.

Une mission sur Mars pourrait promouvoir des découvertes capitales dans le développement de nouvelles technologies, qui pourraient être brevetées et vendues à des agences spatiales étrangères.

Cela pourrait également inspirer des milliers d’Emiratis à démarrer une carrière dans l’industrie spatiale, ouvrant la porte à de nouveaux organismes de recherche et des cours universitaires en ingénierie aérospatiale.

Robert Zubrin, Président de Mars Society, a déclaré que le gouvernement encourageait les Emiratis à “devenir un pionnier et un explorateur de nouveaux mondes”.

“Au-delà de ce défi, vous réunirez des millions de jeunes scientifiques et ingénieurs,” a t-il affirmé.

Bien que seulement une minorité finira par participer au programme spatial, des possibilités pour faire toutes autres sortes de choses existent.

“Ils contribueront à l’industrie énergétique, ils participeront à la recherche médicale et ils deviendront des entrepreneurs technologiques. Cela pourrait conduire à l’élaboration d’une Silicon Valley dans les E.A.U.

“La génération d’hommes et de femmes de 40 ans qui a participé à l’industrie informatique aux États-Unis dans les années 1990 était les enfants de 10 – 12 ans qui, dans les années 1960, ont été passionnés par la science grâce à notre programme Apollo.”

Le Dr Zubrin a expliqué qu’il était non seulement souhaitable, mais indispensable pour les E.A.U de poursuivre l’innovation technologique.

“La richesse pétrolière est bien belle, mais en fin de compte, si elle veut réussir au long terme, la richesse d’une nation doit provenir du développement de son talent.”

Les E.A.U ont investi 20 milliards de Dirhams E.A.U dans les technologies spatiales, à travers l’Institut Emirati pour les Sciences Avancées et les Hautes Technologies à Dubaï, le satellite Al Yah et le satellite de télécommunications Al Thuraya à Abu Dhabi.

Strata, filiale de Mubadala Aerospace à Abu Dhabi, fournit des pièces pour les groupes mondiaux Boeing et Airbus.

Abdul Ismail, Directeur général de l’agence de conseil Interplanetary Expeditions, a déclaré que les éléments clés étaient là.

«La technologie de l’engin spatial est une suite logique des technologies liées à l’aviation,” a-t-il dit. “Ils vont tout simplement imiter ce qu’ils ont réussi avec succès pour leurs éléments de l’aviation, et introduire de nouvelles technologies liées à l’espace. Avec les technologies spatiales, vous ferez des découvertes capitales, qui vous donneront accès à une nouvelle propriété intellectuelle “.

Lorsque le programme spatial du Canada a été lancé, une entreprise appelée Spar Aerospace a développé un bras robotisé capable d’étendre l’antenne d’un satellite de télécommunications.

La technologie a été brevetée et a depuis été mise à niveau pour intervenir comme un élément clé sur la navette de la NASA, ainsi que sur la Station Spatiale Internationale, le tout pour un bénéfice de milliards de dollars en faveur de l’économie canadienne. De plus, une version modifiée du bras est utilisée dans le cadre de la neuro-chirurgie.

L’ancien commandant Chris Hadfield, astronaute canadien en visite aux E.A.U la semaine dernière, a déclaré qu’il y avait encore beaucoup de place pour l’innovation.

“Chacune de ces pièces de matériel actuellement utilisées est nouvelle et pourrait être améliorée”, a-t-il expliqué. « Il n’existe pas de chaine de montage pour les véhicules destinés à aller sur Mars. » S’il s’agissait de l’industrie automobile, nous en serions au stade de 1904.

“Quand il s’agit de parler de lancer un satellite en orbite autour de la Terre, tout va très bien. Mais aller sur Mars ? Nous sommes très en retard sur ce projet. La personne qui débarquera avec les plans de conception contrôlera toute l’industrie. Il est inévitable que les E.A.U participent à ce processus et mettent au point un outil que le reste du monde pourra utiliser. »

Source: The National

Par La Rando

Mall of the World à Dubai

La ville-émirat Dubaï a dévoilé les détails du Mall of the World, son projet pharaonique de plus grand centre commercial du monde.L’émirat a dévoilé, samedi 5 juillet, les détails de son “Mall of the World”, un projet pharaonique de plus grand centre commercial au monde et première “cité à température contrôlée” du globe.

Ce projet, piloté par le fonds public d’investissement Dubaï Holding, vise à implanter sur 4,5 km² en plein cœur de la capitale un complexe entièrement dédié au shopping et activités connexes. Le centre commercial, véritable poumon de cet ensemble, couvrira à lui seul 743 000 m². Le reste sera dévolu aux hôtels, aux rues commerçantes, à un quartier artistique, un parc d’attraction et aussi un ensemble de cliniques de soins et de bien-être en tout genre.

La principale particularité de ce temple consumériste réside dans la volonté des autorités à contrôler la température qui y règnera. Un système de dômes et de toits en verre, ouvrables en hiver, doit permettre de garantir que la chaleur ne devienne jamais insupportable. “Nous voulons faire des Émirats une destination touristique tout au long de l’année”, a expliqué le souverain cheikh Mohammed ben Rached Al Maktoum, qui contrôle Dubaï Holding. Le but de ce rêve climatisé est d’attirer 180 millions de touristes par an.

 

Mall of the World, Burj Khalifa, même combat ?

Reste que d’importantes zones d’ombre subsistent. Dubaï Holding n’a pas révélé quand les travaux sont censés démarrer, combien de temps ils dureront, ni quel doit en être le prix. Le Mall of the World a, aussi, des relents de Burj Khalifa, du nom de la plus haute tour du monde qui avait failli ne jamais voir le jour. Elle avait pu être inaugurée en 2010 uniquement grâce au soutien financier d’Abou Dhabi, qui avait volé au secours du géant immobilier Dubaï World, maître d’œuvre du chantier. Les révélations sur la montagne de dettes accumulées par cette société avaient entraîné un effondrement de la bourse à Dubaï et une quasi-paralysie du secteur immobilier pendant plusieurs années.

Source: France 24

Par La Rando

Dubai et l’indice des destinations MasterCard

Dubaï reçoit plus de visiteurs par habitant que n’importe autre ville dans le monde, et monte à la 5e place du classement mondial des villes destinataires de MasterCard, reprenant un total de 132 villes. Avec4,8visiteurspour chaque résident, Dubaï devance Amsterdam avec 2,6visiteurspar habitant et se prépare à recevoir cette année plus de touristes que New York et Istanbul.
Londres en tête du sondage, devant Bangkok, Paris et Singapour. La capitale thaïlandaise recule dans le classement en raison de l’instabilité politique.
Dubaï s’attend à recevoir11,95 millions de visiteurs internationaux, soit une augmentation de 7,5pour cent, selon l’enquête.
L’émirat est susceptible de dépasser Paris et Singapour d’ici cinq ans en termes de visiteurs internationaux d’une nuitée, selon MasterCard.
Les visiteurs internationaux constituent l’essentiel des arrivées dans l’émirat, principalement venant de Londres, Riyad, Koweït, Djeddah et Paris. Près de 62pour cent du total des arrivées proviennent de l’extérieur du pays.
“La croissance des arrivées de visiteurs en provenance d’Arabie saoudite et du Koweït est en baisse, mais les arrivées de Londres et de Paris sont en forte croissance,’’ déclare Yuwa HedrickWong, conseiller économique mondial basé à Singapour pour MasterCardet co-auteur du rapport, avec l’analyste de recherche indépendant Desmond Choong.
Ceci est cohérent avec la tendance que les visiteurs internationaux provenant de l’extérieur de la régions ont de plus en plus important pour Dubaï.”
Grâce à son emplacement stratégique, la ville reste une destination à court terme pour la plupart des grands marchés comme l’Arabie Saoudite et l’Inde.
Les gens vont continuer à venir pour trois à cinq jours, peu importe la situation ailleurs dans le Moyen-Orient,’’ déclare Kulwant Singh, le directeur général de Tours Lama, basée à Dubaï.
Parmi les nouveaux marchés qui s’ouvrent sont la Norvège, l’Albanie, l’Espagne, la Grèce, le Soudan et l’Algérie.
Cette année, Dubaï devrait émerger comme la première ville à l’échelle mondiale pour les dépenses par visiteur le plus élevées à3,863$, selon MasterCard.
Les visiteurs ont dépensé10,9milliards de dollars à Dubaï, ce qui en fait le cinquième marché le plus important en termes de dépenses des visiteurs.
Dubaï est aussi le quatrième plus grand centre de transport aérien dans le monde en termes de connectivité internationale et la seule destination du Moyen-Orient et de l’Afrique dans le top 10.

Source: The National

Par La Rando

La banque Syz ouvre aux Emirats Arabes Unis

La banque Syz a annoncé fin juin l’ouverture d’un bureau de représentation à Dubaï. L’établissement genevois compte ainsi proposer ses services à des investisseurs institutionnels et privés d’Arabie Saoudite, d’Oman, du Koweït, de Bahreïn, des Emirats arabes unis et du Qatar.

L’établissement a reçu le 9 juin le feu vert des autorités de surveillance. Le bureau est actif dans le cadre du Dubaï International Financial Centre (DIFC), une zone franche financière sise à Dubaï et destinée aux entreprises étrangères. George Azar sera responsable du bureau à Dubaï. Il a été notamment directeur général du bureau d’UBP au Qatar pendant 11 ans.

Par La Rando

Diversification économique des Emirats Arabes Unis

Les Emirats arrivent en tête des pays du Golfe dans les tentatives de diversification économique, bien que le pays reste encore dépendant du secteur de l’énergie, selon les analystes de l’agence de notation Standard & Poors.
“L’économie émirienne est plus diversifiée que les autres pays du CCG,” déclare le rapport, ‘’tout en restant tributaire des recettes des hydrocarbures.”
La nécessité de diversifier est une priorité pour les dirigeants du pays, qui utilisent les fonds souverains pour soutenir les nouvelles industries.
À Abou Dhabi, Mubadala Development Company est un investisseur clé pour développer les industries non pétrolières, y compris l’industrie et les activités de l’aérospatiale, tandis que la Société d’investissement de Dubaï investit dans l’immobilier, le transport et la vente au détail.
Les dirigeants des Emirats ont affirmé leur intention de s’orienter vers une «économie de la connaissance » dans le cadre de la «Vision 2020», cherchant à construire des grandes entreprises nationales dans des secteurs clés, telles qu’Arabtec dans le secteur de la construction et Etihad Airways dans l’aviation.
Selon le rapport, le prix du baril de 80 $ représente un équilibre pour les Emirats, le pays pouvant afficher un déficit si le prix du pétrole tombe en dessous de ce niveau. Ce point d’équilibre est plus élevé que celui de l’Arabie Saoudite, le Qatar, Oman, Koweït et Bahreïn.
Cependant, le pays dispose de 81 années de réserves d’hydrocarbures connues, ce qui signifie aux niveaux actuels de la production que la diversification est moins urgente que dans d’autres pays du Golfe. Bahreïn et Oman ont 11 et 21 ans de réserves restantes aux niveaux actuels de production.
Seulement 5 pour cent de l’économie de Dubaï est représenté par le pétrole et le gaz, ce qui a encouragé les dirigeants de l’émirat de développer d’autres secteurs clés – en grande partie le tourisme, de l’immobilier,  la logistique et l’aviation – dans le but de maintenir des taux de croissance élevés.
Les analystes de S & P font remarquer, cependant, qu’une partie importante de la diversification dans le Golfe se situe dans les segments en aval de l’industrie de l’énergie : raffinage, marketing et distribution des produits énergétiques. Ces industries en aval seront toujours affectées par des changements dans la demande de pétrole. –

Source: The National

Par La Rando

Coupe du monde 2014: La France championne du monde ?

Pour la quatrième fois en Coupe du monde et pour la première fois depuis vingt-huit ans en compétition officielle, la France va retrouver l’Allemagne vendredi, en quarts de finale, au Maracana. Une affiche qui fait saliver, entre les souvenirs du passé et les promesses du week-end.

Il y a des affiches, comme ça, qui vous titillent plus que d’autres. Pour ce qu’elles promettent. Ou pour ce qu’elles charrient de souvenirs et d’émotions. Ou les deux à la fois. France – Allemagne entre, à n’en pas douter, dans cette catégorie. Les succès poussifs, lundi, des deux voisins européens face aux deux derniers représentants africains, ont permis de composter officiellement le retour de ce classique de la Coupe du monde. Il était dans un coin des têtes bleues depuis le tirage au sort du mois de décembre. Mais il y avait tant de pièges à surmonter d’ici là que personne n’osait le rêver trop fort. Cette fois, c’est sûr, le voilà. Qui s’en plaindra ? Honnêtement, pas nous.

Equipe de France : les temps forts de la qualification !

 

France-Allemagne, au plan purement comptable, ce n’est pas un duel si récurrent. Ce n’est « que » la quatrième fois en vingt éditions et quatre-vingt-quatre ans d’existence que la vénérable coupe nous ressert ce plat. France-Italie a déjà sa manita dans ce domaine. Mais plus que leur fréquence, c’est l’intensité des rapports franco-allemands qui donne toute sa saveur à ce corps-à-corps. Trois matches oui, dont deux demi-finales, dont le match le plus dramatiquement intense de l’histoire de la Coupe du monde. Ce 8 juillet 1982, cette nuit de Séville, que tous ceux qui ont eu la chance d’être assez grand pour la vivre, emmèneront aussi loin que leur mémoire le leur permettra. Tellement plus qu’un match. S’il n’y avait que celui-ci, il suffirait à lui seul à donner envie de retrouver les cousins germains.

Source: Eurosport

Par La Rando

Campagne humanitaire des Emirats sur l’eau

Tous les 21 secondes, un enfant meurt d’une maladie liée à l’eau, alors qu’à peine Dh25 suffisent pour éviter de tels drames. Les Emirats visent maintenant à prévenir les décès causés par l’eau non potable à travers une campagne nationale appelée United Arab Emirates Water Aid (U.A.E. Suquia), lancée ce samedi.
Son Altesse Cheikh Mohammad Bin Rashid Al Maktoum, Vice-président et Premier ministre des Emirats et Souverain de Dubaï, a lancé la campagne coïncidant avec le début du Ramadan et visant à fournir un accès à l’eau potable pour plus de cinqmillions de personnes dans le monde entier.
Le Croissant-Rouge des Emirats mettra en œuvre le projet dans les zones dans le besoin avec l’aménagement de puits et la fourniture de pompes à eau et de matériel depurification.
Nous sommes déterminés à planter une graine de bonté en tout lieu dans le monde attestant de l’héritage humanitaire des Emirats Arabes Unis,’’ affirme SA Cheikh Mohammad dans un tweet à propos dela campagne. “Les initiatives de bienfaisance pendant le Ramadan nous rappellent que les  Emirats Arabes Unis sont construits sur le principe éternel de faire le bien dans le monde,” affirme-il dans son tweet.
Les travaux préparatoires pour le creusement de puits ont commencés dans 10 pays, à savoir l’Afghanistan, le Pakistan, l’Inde, le Niger, la Somalie, le Ghana, le Soudan, l’Indonésie, le Togo, et en Irak, selon Mohammad Abdullah AlHajAlZarouni, chef de la branche de Dubaï du Croissant-Rouge des Emirats.
Ce n’est qu’une partie de la phase initiale de la campagne. Le travail devrait être complété dans les 15 jours,” déclare AlZarouni.
«Nous avons également commencé à creuser quatre grands puits à Erbil au Kurdistan, dans le nord de l’Irak, qui fournira de l’eauà100 000personnes.Ceci est très important pour aider les réfugiés qui arrivent dans la région.
AlZarouni a refusé de donner un montant cible total pour la campagne puisque les coûts des puits et de la fourniture d’eau potable varient d’un pays à l’autre, allant deDh5.000 àDh130.000 selon les cas.Mais il estime qu’un puits moyen pourrait aider4000 personnes pour un coût d‘environDh25.000.
De nombreux organismes gouvernementaux et le secteur privé travailleront ensemble pour assurer le succès de la campagne.
Les géants de télécommunications EtisalatetDu offrent respectivement Dh2,5millions pour fournir de l’eau potable à un total de200.000 personnes

Source: Gulf News