Par La Rando

L’économie d’Abu Dhabi au top !

L’agence de notation Standard & Poor accorde une perspective stable à l’économie d’Abu Dhabi, affirment un rating «AA» à long terme et «A-1 + » pour le court terme.
“Les notes sont soutenues par les fortes positions budgétaires et extérieures d’Abu Dhabi, qui offrent une flexibilité à la politique budgétaire. L’intensité exceptionnelle des postes de l’actif net d’Abu Dhabi propose également une réserve pour contrer l’impact négatif de la volatilité des prix du pétrole sur la croissance économique et les recettes publiques, ainsi que sur le compte externe,’’ affirme l’agence de notation dans un communiqué.
Les estimations par S&P du PIB par habitant à Abou Dhabi sont de $102 000 en 2014. La croissance économique est soutenue par l’augmentation de la production de pétrole, des dépenses publiques élevées, et un élargissement de la base de production de l’économie, y compris les services et le secteur manufacturier.
“Les niveaux de croissance sont robustes avec une moyenne de 11 pour cent par an pour la période 2007-2013.’’
“Nous supposons que les prix du pétrole baisseront à environ 100 $ le baril en 2016 et au-delà, contre environ 105 $ le baril en 2014. En conséquence, nous estimons l’excédent budgétaire en moyenne à environ sept pour cent du PIB en 2014-2017, contribuant ainsi à renforcer la position de l’actif net de l’émirat, que nous projetons à plus de 200 pour cent du PIB. Le gouvernement a renforcé son contrôle sur la dette du secteur public, en visant la durabilité et la prévention du stress financier pour ses entités publiques (GRES).’’

Source: Khaleej Times

Par La Rando

Le commerce extérieur de Dubaï durant l’Aïd

Le commerce extérieur de Dubaï dans les produits largement exigés lors des festivités de l’Aïd, tels que les vêtements de confection, les chaussures et les parfums et cosmétiques, s’élevait à environ Dh28,2 milliards au premier semestre 2014, une augmentation de 12 pour cent par rapport à la même période en 2013.
Les importations représentaient Dh20,6 milliards, les exportations 1,1 milliard de dirhams et les réexportations Dh6,4 milliards.
La saison touristique florissante à Dubaï contribue à la hausse de la demande pour les produits de l’Aïd. Dubaï s’attend à accueillir un grand nombre de touristes pendant l’Aïd Al Adha.
Selon les statistiques, le commerce extérieur du prêt-à-porter a atteint Dh13,3 milliards durant la première moitié de 2014, une augmentation de 12 pour cent par rapport à la même période en 2013 et constitué de Dh10,6 milliards d’importations, Dh166 millions d’exportations et 2,6 milliards de dirhams de réexportations. La valeur des échanges de parfums et de cosmétiques a augmenté de 11 pour cent à Dh10,2 milliards, dont Dh6,5 milliard d’importations, Dh897 millions d’exportations et Dh2,8 milliards de réexportations.
Le commerce extérieur des vêtements de Dubaï est très diversifié. La Chine et le Bangladesh sont les grands fournisseurs, alors qu’en termes d’exportations, le Royaume-Uni, l’Allemagne et les Etats-Unis détiennent les premiers rôles. Les marchés de réexportation concernent principalement les pays du CCG.
En matière de parfums et de cosmétiques, la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni occupent la plus grande part du marché à l’importation, tandis que la plupart des exportations sont destinées à l’Arabie saoudite, le Sultanat d’Oman et l’Egypte.

Source: Khaleej Times

 

Par La Rando

AirAsia bientôt à Dubaï

Les voyageurs d’affaires pourraient voir du nouveau sur le marché aérien de Dubaï. La low-cost malaisienne AirAsia discute avec les autorités de l’Émirat pour lancer des vols vers le Golfe en début d’année prochaine.

Le patron de AirAsia. Tony Fernandes a confié à Gulf News que son entreprise s’intéressait de près à Dubaï. Il a confirmé qu’il avait rencontré le Department of Tourism and Commerce and Marketing (DTCM) de Dubaï pour discuter de l’ouverture de lignes. Selon lui, la ligne directe Kuala Lumpur – Dubaï est pour bientôt. Persuadé que le low-cost peut se faire une place à Dubaï, il a ajouté qu’AirAsia X pourrait également assurer des vols entre Dubaï et Bangkok ou Bali. Al Maktoum International Airport semble avoir la préférence du dirigeant. Il a confié qu’il avait été impressionné par cette nouvelle plate-forme, également moins onéreux que l’aéroport de Dubaï. La compagnie malaisienne devrait lancer ce développement seule. Si elle a discuté avec Emirates et Etihad, il est peu probable que les échanges aboutissent «Nous n’avons jamais été de grands partenaires avec les autres transporteurs», a reconnu Tony Fernandes. Néanmoins il a de grands projets pour le Golfe «Est-ce qu’un jour je pourrais lancer AirAsia Dubai ? Absolument», a-t-il confié à Reuters.
Par La Rando

TSA, le 1er quotidien électronique algérien parle de BonjourDubai

Fête de l’Aïd : où les Algériens et les Émiratis égorgent leur mouton

À deux jours de l’Aïd-El-Adha, beaucoup de familles algéroises ont acheté leur mouton et n’attendent plus que le jour J pour faire le sacrifice. Mais où vont-elles égorger leur mouton ? « On a une sorte de parking dans lequel on égorge tous les moutons de la cité », nous indique une jeune fille habitant le quartier populaire de Belouizdad (Belcourt). « Mais l’état du quartier après le sacrifice devient catastrophique », reconnaît-elle. « Je suis passée une fois par la rue Victor Hugo pendant l’Aïd, j’ai vu du sang sur les trottoirs et les peaux des moutons accrochées aux arbres. Les rues d’Alger-centre sont devenues affreuses, ce jour-là », raconte une autre jeune fille habitant le quartier du Golf.

Les promoteurs immobiliers ne prévoient pas d’endroits spécifiques pour égorger le mouton. Même les parkings n’existent pas dans certaines cités. Et comme aucune loi n’interdit d’égorger le mouton dans la rue, c’est l’anarchie. La question n’est même pas abordée par les responsables. Mais comment ça se passe dans les autres pays musulmans ?

L’exemple des Émirats Arabes unis

Aux Émirats arabes unis, par exemple, le sacrifice des moutons est très organisé. « Tous les moutons sont égorgés dans les abattoirs », indique une algérienne installée dans l’Émirat de Sharjah.

Bilel Bensalah, fondateur du portail d’informations francophone bonjourdubai.com, affirme qu’aux Émirats, la loi interdit strictement d’égorger les moutons à la maison, même dans les villas. «  Tous les abattoirs sont mis à la disposition des citoyens pour égorger leurs moutons. Ils peuvent le faire eux-mêmes comme ils peuvent confier la tâche à un sacrificateur. Mais la plupart optent pour cette dernière option », indique-t-il.

Par: Lilia Oufella

La source de l’article : www.tsa-algerie.com

Tout Sur l’Algérie (TSA) est le premier quotidien électronique algérien. Lancé en juin 2007, il comptait, début mars 2013, 3,5 millions de visiteurs uniques.

Par La Rando

Fuite des cerveaux dans le monde ! Par Mohammed bin Rashid Al Maktoum

Les pays occidentaux attiraient les plus brillants des diplômés du monde entier. Ce n’est plus le cas. Les Emirats Arabes Unis, par exemple, attirent désormais plus de cerveaux qu’ils n’en perdent. Par Mohammed bin Rashid Al Maktoum, vice-président et Premier Ministre des Emirats Arabes Unis et Gouverneur de Dubaï.

En 1968, alors que j’étudiais à la Mons Officer Cadet School en Grande Bretagne, je dus me rendre dans un l’hôpital. J’y rencontrai un médecin qui à ma grande surprise maîtrisait parfaitement l’arabe. Il me raconta qu’il venait d’arriver dans le pays ; je lui demandais alors s’il avait l’intention d’y rester longtemps ou s’il comptait rentrer dans son pays. En guise de réponse, il me rappela un dicton arabe qui pourrait se traduire ainsi : « Là où je me restaure est ma maison.» Ses mots me sont restés en mémoire des années durant, parce qu’ils traduisaient la contradiction entre notre vision idéalisée du « foyer » et les dures réalités de la vie qui poussent des individus compétents à le quitter.

Le parfait exemple de la fuite des cerveaux

Ce médecin était le parfait exemple de ce que l’on appelle la fuite des cerveaux, un phénomène qui afflige les pays en développement depuis des décennies. Ces pays investissent leurs maigres ressources dans l’éducation et la formation de médecins, d’ingénieurs et de scientifiques dans l’espoir qu’ils deviendront les moteurs de la prospérité. Mais ils observent ahuris leur migration vers l’Ouest qui anéantit la promesse de leurs talents.

Chacun a bien sûr le droit de désirer une vie meilleure. Nous comprenons les raisons de leur départ. Les opportunités attirent, tel un aimant, les compétences.

Un interminable cercle vicieux

Pour les pays qu’ils laissent derrière eux, cependant, il semble que ce soit un interminable cercle vicieux : ils ont besoin de compétences pour créer des opportunités ; mais sans opportunités, les compétences n’ont d’yeux que pour les lumières qui scintillent en Occident. Les Etats-Unis et l’OCDE ont constaté que les migrations professionnelles ont augmenté d’un tiers depuis 2000. Un diplômé d’université sur neuf en Afrique vit et travaille aujourd’hui en Occident. Beaucoup ne reviendront pas : les professionnels qualifiés ont six fois plus de probabilité de ne pas rentrer.

Une inversion de tendance ?

Mais quelque chose de remarquable est en train de s’opérer. Dans certains pays, la fuite des cerveaux connaît une inversion de tendance. Les causes fascinent, et il y a de bonnes raisons d’être optimiste quant à une sortie de ce cercle vicieux dans un mouvement qui réajustera l’équilibre entre espoir et opportunités entre les pays en développement et les économies développées.

Une nouvelle étude réalisée par LinkedIn, le plus grand réseau professionnel du monde et une plateforme majeure de recrutement en ligne, a mesuré les flux internationaux nets de compétences de ses membres. La première destination de ces cerveaux est mon pays, les Emirats Arabes Unis (EAU), qui ont récupéré 1,3% (en net) de ces talents en 2013. Parmi les autres « aimants de compétences, » on retrouve l’Arabie Saoudite, le Nigéria, l’Afrique du Sud, l’Inde, et le Brésil.

Les pays européens subissent la fuite des cerveaux

Plus intéressant, moins d’un tiers des importateurs nets de cerveaux sont des pays développés : les premiers exportateurs nets de cerveaux dans cette étude sont effectivement l’Espagne, la Grande Bretagne, la France, l’Italie, et l’Irlande. Les pays riches, qui il y a encore peu de temps dissuadaient nos esprits les plus brillants, sont aujourd’hui en train de nous envoyer les leurs. Bien sûr, ces chiffres proviennent d’une seule étude, et nombre de pays pauvres subissent encore un exode de leurs cerveaux. Les données de l’OCDE montrent que de nombreux pays en Afrique et en Amérique Latine ont des taux d’émigration de leurs diplômés supérieurs de l’ordre de 50%.

Nous savons que la fuite des cerveaux relève souvent autant de la sécurité et de la sûreté que d’opportunités économiques. Une partie de la tragédie qui se joue dans les pays du Moyen-Orient enferrés dans les conflits et l’instabilité est que, si seulement leurs fils et filles les plus compétents pouvaient mettre leur connaissances au service de leur pays, ils constitueraient une partie de la solution: ils seraient des agents de paix par le développement. Il est donc de la plus grande importance d’analyser comment certains pays en développement sont parvenus à inverser la tendance de ces flux.

Des opportunités de plus en plus rares en occident

L’ingrédient de base est l’opportunité. Les cerveaux affluent naturellement vers les pays qui créent un environnement favorable à la croissance économique ; voilà qui facilite la vie des entreprises, attire et accueille les investissements, et nourrit une culture de la réussite. Les compétences sont attirées par les défis et les possibilités. Les opportunités à cette échelle deviennent de plus en plus rares en Occident. Mais ce n’est pas le cas dans le monde en développement – du moins dans les pays qui ont l’envie et la détermination de déployer une gouvernance forte et qui continuellement augmentent leur compétitivité.

Deuxièmement, la qualité de la vie est très importante. Dans la génération précédente, de nombreux individus compétents auraient considéré le fait de travailler en dehors de l’Occident comme une « épreuve ». Aujourd’hui, les standards de vie aux EAU, par exemple, sont parmi les plus élevés du monde. Nous avons démontré que faire en sorte d’enrayer la fuite des cerveaux, c’est aussi faire en sorte de créer une vie meilleure pour les citoyens et les résidents. Finalement, l’une des principales activités de tout gouvernement est de créer du bonheur.

Bâtir un îlot d’opportunités

Notre histoire est faite de grands espoirs pour le Moyen-Orient en particulier, où des générations de conflits et de désespoir ont entraîné d’importants mouvements migratoires. J’ai toujours défendu l’idée qu’au delà de la bonne gouvernance, les meilleures solutions aux désaccords et aux conflits du monde arabe reposent sur le développement par la base et les opportunité économiques. Nous avons désormais démontré qu’il est possible d’inverser les forces qui avaient attiré nos plus talentueux jeunes gens.

Une autre source d’espoir : cette transformation peut être remarquablement rapide. Les études montrent que les petits pays sont proportionnellement particulièrement touchés par cette fuite des cerveaux. Mais nous avons aussi démontré que même pour un petit pays comme les EAU, et même dans une région divisée par les conflits, cela vaut la peine de bâtir un îlot d’opportunités.

Un indice du degré de développement

Mais permettez-moi d’être clair : inverser la fuite des cerveaux demande bien plus que de simplement reboucher la fuite. Cela signifie de faire d’un cercle vicieux un cercle vertueux. En attirant les meilleures compétences d’où qu’elles proviennent, nous pouvons créer une société dynamique et diversifiée qui génère l’innovation et la prospérité – et qui donc ne cesse d’attirer toujours plus de compétences.

Pour que cela fonctionne, nous devons avoir foi dans les individus. Les hommes – leurs idées, leurs innovations, leurs rêves et leurs relations – sont le capital de l’avenir. Dans ce sens, « la récupération des cerveaux » n’est pas tant une prouesse en soi : elle n’est que le principal indice du degré de développement, parce là où se retrouvent de grands esprits, de grandes choses se réaliseront demain.

Traduit de l’anglais par Frédérique Destribats

Mohammed bin Rashid Al Maktoum est vice-président et Premier Ministre des Emirats Arabes Unis et Gouverneur de Dubaï.

Copyright: Project Syndicate, 2014. www.project-syndicate.org

Par La Rando

Expo 2020 : Dubai annonce ses projets

Des projets d’une valeur de Dh 30milliards seront construits à travers Dubaï afin de renforcer l’infrastructure de l’émirat à temps pour accueillir l’Expo 2020, selon un haut fonctionnaire.
Organisé par Routes et Transports Authority (RTA), en association avec DEWA et Emaar, une réunion a vu des experts internationaux expliquer les projets de l’émirat, dont près de 35 projets d’une valeur Dh 30milliards à finaliser dans les prochaines années, y compris une extension de 15 km du métro.
“Les travaux sur l’extension de la Red Line doivent être terminés d’ici 2019 et les opérations doivent commercer un an avant l’Expo. Nous travaillons sur des plans qui nous permettront d’accueillir 25 millions de visiteurs sur le site de l’expo et autour de la ville. Nous allons développer les routes et d’autres infrastructures qui permettront non seulement de faciliter la mobilité pour l’expo 2020, mais aussi pour les générations à venir,’’ déclare Al Tayer.
Les principaux projets prévus au cours des prochaines années comprennent également l’extension du métro de Dubaï Green Line, la deuxième étape du projet Etihad Rail et la phase deux de Dubaï Tram.

Source traduite de Gulf News

Par La Rando

Maroc-Émirats arabes unis : transport et logistique

Examen à Abu Dhabi des moyens de développer le partenariat maroco-émirati dans les domaines du transport et de la logistique. Le ministre de l’Équipement, du transport et de la logistique, Aziz Rabbah, a examiné lors de sa visite de travail aux Émirats arabes unis les moyens de développer le partenariat maroco-émirati dans les domaines du transport et de la logistique. Dans une déclaration à la MAP, le ministre a indiqué que cette visite de trois jours est une occasion pour mettre en avant le potentiel dont dispose le Royaume dans les différents secteurs, notamment le transport et la logistique et réitérer la volonté du Maroc de renforcer davantage sa coopération stratégique avec les Émirats arabes unis. M. Rebbah a également souligné que ses entretiens avec les responsables et les opérateurs émiratis ont notamment porté sur le renforcement de la coopération bilatérale dans le domaine du développement des compétences à travers la consolidation des partenariats en matière de stages et de formations techniques.

Le programme de la visite du ministre a été également ponctué par des entretiens avec le ministre émirati des travaux publics, Abdulla Bilhaif Al-Nuaimi, portant notamment sur le renforcement de la coopération entre les deux pays frères dans le domaine du transport. M. Rabbah s’est entretenu avec de hauts responsables au sein de la société émiratie Abu Dhabi Ports Company avec lesquels il a examiné les moyens de renforcer la coopération entre les deux pays dans les domaines des ports. Lors de cette visite, M. Rabbah s’est également rendu au port El Khalifa.

À Dubaï, le ministre s’est entretenu, samedi et dimanche, avec des investisseurs et des opérateurs privés et institutionnels des moyens de renforcer la coopération dans les domaines d’intérêt commun. M. Rabbah a indiqué que ces réunions permettront d’ouvrir de nouveaux horizons pour le renforcement de la coopération bilatérale dans les domaines du transport et de la logistique.

Source: Lematin.ma

Par La Rando

Energies renouvelables aux Emirats arabes unis

Selon Khaleej Times, les Emirats réitèrent le soutien aux initiatives d’énergies renouvelables, l’amélioration de l’efficacité énergétique et les mesures volontaires pour atténuer le changement climatique lors du Sommet des Nations Unies sur le climat à New York.
Le sommet fait partie des réunions de l’Assemblée générale des Nations Unies, auxquelles assistait une délégation des Emirats conduite par le Ministre des Affaires étrangères SA Cheikh Abdullah bin Zayed Al Nahyan.
Le sommet, organisé par le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon, avait pour but de créer une dynamique politique en faveur d’un nouvel accord sur le changement climatique mondial, qui doit être négocié d’ici décembre 2015.
Plus de 120 chefs d’Etat et de gouvernement assistaient au sommet, annonçant de nouvelles mesures et des partenariats pour lutter contre le défi mondial du changement climatique. Le sommet fait suite à l’Abu Dhabi Ascent, organisée en mai de cette année et une étape cruciale dans le façonnement et le développement des initiatives et des engagements dans cette matière.
Prononçant un discours lors du sommet, Dr Sultan bin Sultan Ahmed Al Jaber, ministre d’État et envoyé spécial pour l’énergie et le changement climatique, déclare : “En accueillant Abu Dhabi Ascent, les Emirats Arabes Unis ont joué un rôle crucial dans l’élaboration des initiatives et des actions volontaires qui ont été annoncés cette semaine au Sommet sur le climat. Ces annonces sont une indication claire de la volonté des leaders mondiaux de relever le défi mondial du changement climatique.”
Les Emirats développent un vaste programme d’aide pour les énergies renouvelables, qui a permis de mobiliser au cours des 12 derniers mois des subventions et des prêts à faible taux d’intérêt pour soutenir les efforts des pays en développement.
«Aujourd’hui, nous réaffirment notre conviction que les énergies renouvelables et l’efficacité accrues ont la solution aux défis climatiques. L’énergie renouvelable est maintenant la source d’énergie la plus efficace pour de nombreux pays en développement et offre des opportunités socio-économiques considérables,» ajoute Dr Sultan Al Jaber.
Les plus grands émetteurs de gaz à effet de serre dans le monde, les Etats-Unis et la Chine, se sont également engagés à atténuer leurs émissions.
Dans son allocution, le président américain Barack Obama a déclaré que les Etats-Unis et la Chine ont la responsabilité de conduire les autres nations.
«Aujourd’hui, les dirigeants mondiaux ont convenu que le changement climatique est un problème fondamental de notre temps et que des mesures énergiques sont nécessaires pour réduire les émissions, » affirme Ban Ki-moon.
“Ensemble, nous devons capitaliser sur l’élan de ce sommet,” déclare Dr Sultan Al Jaber. « Les Emirats s’engagent à continuer à contribuer au lancement et à la mise en œuvre de projets et d’initiatives orientées vers l’action pratique avec un impact tangible. »

Par La Rando

Les Emirats iront à la conférence nucléaire à Vienne

Les Emirats participeront à une grande conférence annuelle nucléaire à Vienne la semaine prochaine pour discuter des activités et des plans nucléaires du pays.
Les Etats arabes sont prévus d’utiliser l’événement pour exhorter Israël à adhérer au traité de non-prolifération nucléaire et de placer toutes ses installations sous les garanties de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
“La délégation émirienne présentera la progression du programme nucléaire des Emirats ainsi que des informations sur la coopération étroite avec l’agence,” déclare Hamad Alkaabi, le représentant permanent des Emirats à l’AIEA.
“La délégation émirienne se réjouit de la conférence et prévoit de nombreuses réunions parallèles avec des représentants de l’Agence et d’autres délégations pour discuter de la coopération et des questions d’intérêt commun.”
La semaine dernière, Abu Dhabi a délivré des licences pour le troisième et quatrième réacteur nucléaire de Barakah.
“La 58e Conférence générale est l’organe suprême de prise de décision de l’AIEA,” affirme John Bernhard, ancien ambassadeur du Danemark à l’AIEA.
“Elle est organisée une fois par an et examine le travail accompli au cours de l’année précédente et les projets futurs. La réunion a une influence décisive sur les priorités et les questions politiques et techniques traitées par l’AIEA.”
“C’est l’occasion de mettre l’accent sur tout un éventail de questions et d’entendre les pays et leurs représentants,” déclare Elena Sokova, directeur exécutif du Centre de Vienne pour le désarmement et la non-prolifération. «C’est aussi l’occasion pour les pays de promouvoir leur travail dans le domaine de l’énergie nucléaire et de ses applications pacifiques. À cet égard, les Emirats Arabes Unis apportent une expérience très importante à partager avec les collectivités et les grands Etats membres internationaux de l’AIEA. ».
Pour Dr Peter Bode, professeur agrégé en sciences et techniques nucléaires de l’Université de Delft aux Pays-Bas, la conférence est aussi “un moment pour la mise en réseau au niveau politique, pour construire des alliances et d’obtenir des informations sur les développements et les technologies.”
Lady Barbara Judge, ancienne chef de l’Agence britannique de l’énergie atomique, déclare qu’il était vital pour les pays de réaffirmer l’importance de l’énergie nucléaire en tant que source de production propre.
“En ce moment, avec le changement dans l’esprit de tout le monde, l’une des plus importants [questions] est que c’est la seule source [propre] de production,’’ affirme Lady Judge, également vice-présidente du comité de suivi de la Tokyo Electric Power Company.
“L’éolien et le solaire peuvent être très dignes mais, pour le moment, ils ne peuvent pas être parmi la production de base, car dépendant des conditions météo.’’

Source: The National

Par La Rando

Partenariat commercial entre Dubaï et le Royaume-Uni

Le Royaume-Uni était le neuvième partenaire commercial de Dubaï durant la première moitié de l’année 2014 avec un montant total de Dh 19,4 milliards, dont Dh 12,1milliards d’importations, Dh2,8milliards d’exportations et Dh 4,4milliards de réexportations. Le Président de DP World et Président de Ports, Customs and Free Zone Corporation (PCFC), Sultan Ahmed Bin Sulayem, a rencontré le nouvel ambassadeur du Royaume-Uni aux Emirats Arabes Unis, Philip Parham, pour discuter du commerce, des affaires et de questions maritimes. Lors d’une visite de Jebel Ali, le port principal de DP World et l’un des dix plus grands ports à conteneurs au niveau mondial, Bin Sulayema souligné les progrès de DP World London Gateway, l’un des plus grands projets privés d’infrastructure au Royaume-Uni de ce siècle. Sultan Ahmed Bin Sulayem déclare : “Nous sommes ravis d’accueillir l’ambassadeur du Royaume-Uni à JebelAli, le modèle de Gateway Londres et une initiative permettant de créer un centre de classe mondiale du commerce et un grand nombre d’emplois au Royaume-Uni.’’

Source: The Gulf Today