Par La Rando

La clinique King’s College Hospital s’installe aux Emirats

King’s College Hospital , l’un des principaux hôpitaux universitaires du Royaume-Uni, apporte son expertise à la capitale des Emirats avec l’ouverture d’une clinique à Khalidiya.
«La clinique à Abu Dhabi est directement gérée par King’s College Hospital de Londres avec implication de cadres de qualité et de gestionnaires expérimentés. En apportant ce niveau d’excellence au secteur des soins de santé à Abu Dhabi, il y aura moins de besoin pour les patients de voyager à l’étranger. Cependant, si nécessaire, nous pouvons fournir un lien continu avec le King’s College Hospital à Londres, » déclare la directrice de la clinique, Eileen Lock.
Situé dans la nouvelle Shining Tower et occupant 2500mètres carrés, King’s Clinics est gérée et dotée de 72 employés accrédités au Royaume-Uni, dont 13 consultants. La clinique offre une combinaison de servicesde soins primaires et des services de consultants spécialisés.
La clinique fournira aussi des services de chirurgie d’un jour et des garderies pour les patients en pédiatrie, obstétrique et gynécologie, la médecine fœtale, la médecine de famille, la médecine interne, la diététique et les soins en gastro-entérologie.
La clinique dispose de trois salles d’endoscopie, de deux salles d’échographie, d’une salle de rayons X, d’un laboratoire de pathologie, de six lits de récupération, de 18 cabinets et salles de soins, de trois bureaux d’accueil distinctes et de zones d’attente. La clinique peut accueillir plus de 1500 consultations ambulatoires par semaine selon Khaleej Times.

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Par La Rando

Dubai, capitale du design et des arts

Tendances déco industrielle

Dans la dynamique de l’Expo 2020, Dubaï ambitionne de devenir une capitale du design et des arts, à l’instar de New York ou Berlin. Et de promouvoir une production locale émergente. On le sait, le design d’intérieur industriel est sans aucun doute l’un des styles les plus demandés de nos jours. En particulier, le décor industriel rustique gagne en popularité. Que ce soit le Lustre qui fait partie des nouvelles tendances ou des tableaux anciens. Vous l’aurez compris, les plafonniers sont d’une importance capitale pour votre décoration intérieure. Ce qui rend ce style si spécial, c’est son caractère apparemment inachevé associé à des éléments plus raffinés. Un mélange magnifique !

Pour résumer, le style industriel rustique est très populaire. A l’origine, c’est un style qui est né d’anciens entrepôts et lofts urbains. Mais vous pouvez le recréer dans n’importe quel intérieur et même en tant que locataire ! De la palette de couleurs généralement neutres à sa préférence pour les matériaux vieillis, un style industriel rustique semble détendu et accueillant. Et comme les imperfections sont une qualité, c’est aussi un style qui peut être facilement recréé, même avec un petit budget ! Alors êtes-vous prêt à l’essayer chez vous ? Faites comme de nombreux expatriés français vivant à Dubai (et même en France) qui l’utilisent.  D’ailleurs, pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter les Tendances déco industrielle de 2021

Design à Dubai

Downtown Dubaï. En marge des anciens quartiers, une ville taillée sur mesure continue d’émerger, pour laquelle les superlatifs se bousculent. Burj Khalifa, le plus haut immeuble du monde, l’hôtel Burj-Al-Arab, le plus luxueux avec sept étoiles autoproclamées, le plus grand mall, le plus vaste aéroport – avec une capacité prévue de 160 millions de passagers… Tandis qu’au sud de la ville, le désert fait place à de gigantesques projets immobiliers comme Palm Islands, presqu’île artificielle en forme de palmier ou The World, archipel artificiel qui reproduit la carte du monde.

De quoi donner le tournis. Plus encore lorsque l’on se rend au sommet de Burj Khalifa, qui offre un panorama de 360 degrés sur la ville et le territoire, à 828 m de hauteur. De là, je peux mieux me rendre compte de l’évolution de ces dernières années. Des étendues désertiques à la côte au nord, et de part et d’autre de l’artère principale de 3,5 km, la Mohammed Bin Rashid, s’étalent des chantiers en cours, notamment dans la foulée de l’Exposition universelle de 2020.

Ici, un chantier dépasse rarement trois ou quatre ans, sourit Amina Al Rustamani, cheffe exécutive de Tecom Investments. Casque de Playmobil vissé sur le crâne, elle me guide sur le site du chantier du moment, le Dubaï Design District (d3), dont l’ambition est de positionner la ville comme nouvelle capitale de la mode et du design. Le site devrait héberger des bureaux et studios de la communauté créative internationale (architectes, designers, graphistes…), tout en boostant le design local émergent. Le d3 se dotera d’un front de mer de 1 km, avec boutiques-hôtels, restaurants et bars, une rue du design… d3 représente une grande opportunité pour l’industrie de la mode et du design dubaïote de s’aligner sur des villes comme Londres, Paris et New York. Tout en rencontrant les objectifs touristiques de 2020, assure Amina Al Rustamani.

Autre projet majeur en cours : le Dubai Modern Art Museum & Opera House District, au centre-ville. Le lieu a pour objectif de devenir la plateforme des arts par excellence – avec un musée d’art contemporain et septante galeries d’art – et des performances au sein des Émirats arabes unis. Pour l’instant, je me contente d’admirer la maquette de l’Opéra, future icône culturelle, au très fashion Pavillon Emaar, du nom du groupe immobilier en charge de l’Opera District. Du café-restaurant, on a vue sur le chantier, démarqué par de larges panneaux sur le boulevard. Où l’on se met à imaginer que d’ici à 2016, une structure de deux mille sièges en forme de bateau, inspirée de l’histoire portuaire de Dubaï, y imprimera le paysage urbain de ses contours. Surtout, c’est tout un quartier qui sortira de terre avec des hôtels de luxe, des logements résidentiels, des zones de balade et de loisirs à front de mer.

Design local émergent

Dubaï, qui n’était encore à la moitié du XIXe siècle qu’un petit bourg vivant essentiellement de la pêche aux perles, est aujourd’hui devenue la ville la plus importante et le premier port des Émirats arabes unis (créés en 1971), devant Abu Dhabi. À deux heures de route de Dubaï, la capitale fédérale a de son côté assis son aura touristique sur la culture. Et des projets rutilants tels, récemment, le Guggenheim Abu Dhabi, le Louvre Abu Dhabi et le Sheikh Zayed National Museum (en collaboration avec le British Museum).

Après s’être d’abord positionnée sur le plan mondial comme centre d’affaires et destination de shopping, Dubaï a également saisi toute l’importance, pour son développement, de promouvoir l’art et le design. Le salon Design Days Dubaï, qui se tient en mars, a vu le jour il y a trois ans, à l’initiative de Cyril Zammit, directeur très enthousiaste. Il explique : C’est le bon moment car au niveau éducatif, les gens d’ici sont davantage sensibilisés au design et à l’art. Et le changement de mentalité s’opère : au lieu d’acheter des pièces en Chine ou d’autres copies, le design local est mis en avant. La particularité de ce marché neuf est que les gens achètent ce qu’ils aiment, ce ne sont pas des collectionneurs qui recherchent du Charlotte Perriand. On peut mêler valeurs sûres et émergentes, proposer une grande diversité. De même pour les nombreux expatriés, les choses acquièrent plus de valeur si elles sont faites ou bâties ici.

Lors de la dernière édition, j’ai pu juger sur pièce des créations locales étonnantes, parmi la quarantaine de galeries issues de huit pays (Brésil, Corée, Italie, France, Belgique…). Tels les coussins-tubes Braided, tressés sur une structure en bois par l’artiste protéiforme Latifa Saeed. Ou les sièges surréalistes Victory Chairs d’Omar Nakkash’s, qui évoquent les trois doigts levés en guise de victoire par l’émir de Dubaï, lors de la confirmation de la ville comme hôte de l’Expo 2020. La designer India Mahdavi, basée à Paris, était invitée à exposer sa série Landscape (tables et vasques) en céramique colorée à la galerie libanaise Carwan : Les Émirats arabes sont devenus une place incontournable pour les designers. J’ai conçu ces tables pour Dubaï, à partir de couleurs et matériaux locaux, soulignera-t-elle lors d’un lunch au concept store Comptoir 102.
Au fil des stands du salon Design Days Dubaï, une chose saute aux yeux : la plupart des éditeurs et labels sont représentés par des étudiantes en design, extrêmement documentées sur chaque pièce présentée. Cyril Zammit confirme : Le design est un nouveau créneau pour les femmes des Émirats. Elles sont de plus en plus nombreuses à étudier, à travailler. Et à défendre leur indépendance. Un des facteurs de cette évolution est la baisse des mariages traditionnels. Face à la contrainte de la dot, beaucoup d’hommes préfèrent épouser des étrangères. Par ailleurs, associé à l’univers de la maison et aux tâches domestiques, le secteur du design attire peu la gente masculine locale.

Al Quoz, le quartier arty

Direction Al Quoz, la banlieue industrielle où depuis 2007, l’art a pris ses quartiers. On y passe facilement une journée entière. La zone est isolée, relativement calme, tranchant avec l’atmosphère et les buildings clinquants du centre-ville. Un pâté d’anciens hangars restaurés accueille musées privés, galeries d’art, espaces alternatifs, cafés et restaurants dans les environs de l’Alserkal Avenue, désignée comme pôle artistique catalyseur dans la région.
Hahnia Battif, responsable de la communication, me guide sur les lieux. Le quartier doit devenir une place majeure du marché de l’art, au même titre que New York, Londres ou Berlin, assure-t-elle. L’aspect postindustriel et l’authenticité des bâtiments ont été préservés. Par ailleurs, de plus en plus de jeunes studios et ateliers s’implantent ici, ce qui renforce l’aspect éducatif. La jeune femme a étudié l’histoire de l’art et la communication à Londres, avant de revenir à Dubaï, où le marché de l’art naissant offre de nouvelles opportunités d’emploi.

En 2014, le nombre d’espaces investis a doublé pour intégrer d’autres disciplines, comme le design et l’architecture, poursuit-elle. Et de pointer l’espace interdisciplinaire A4. Ouvert en mars pendant Art Dubaï, et accessible au public, le lieu se veut être un incubateur pour les artistes dubaïotes, au sein duquel écrivains, free-lances, chercheurs en réseau et artistes conversent et collaborent. Au rez, le concept store STORiEs propose des pièces uniques ou en série limitée de créateurs d’ici et d’ailleurs, au même niveau que l’attrayant Appetite Cafe et sa bibliothèque géante constituée de dons. Halte obligée après avoir parcouru des kilomètres de galeries.

Parmi les valeurs sûres, nous visitons la Gallery Isabelle van den Eynde, fondée à Dubaï en 2006, qui vaut notamment le coup d’œil pour ses scénographies très travaillées (papiers peints en fond, œuvres très visuelles…), qui plongent le visiteur dans la fiction. Et un peu plus loin, la Galerie Nationale, l’une des premières galeries de design implantée sur l’Alserkal Avenue, début 2012, centrée sur des pièces rares ou classiques du XXe siècle et sur les travaux de designers internationaux émergents.
Le point commun entre les artistes de cette nouvelle génération et ceux du cru, aux approches pourtant très personnelles, c’est de produire des œuvres qui se veulent le reflet d’un pays en transition. Entre amertume et curiosité. Comme dans les photographies de Jessica Mein, qui vit à Dubaï : La ville a changé de façon drastique en peu de temps et, dans la foulée, beaucoup de ce qui faisait le charme de Dubaï a disparu ou est caché derrière le gloss et le glamour. Je veux regarder la ville avec un regard neuf, pour apprécier l’ancien à côté du neuf. Le passé, le présent et le futur selon lesoir.be

 

Par La Rando

Le Premier ministre du Luxembourg aux Émirats Arabes unis

Le 28 octobre 2014, Xavier Bettel, Premier ministre, ministre d’État et Pierre Gramegna, ministre des Finances, ont participé au World Islamic Economic Forum (WIEF) à Dubai, placé sous le thème « Innovative Partnerships for Economic Growth ».

Devant un parterre de plus de 2.500 représentants de haut niveau du monde économique et politique, en particulier des pays musulmans, Xavier Bettel a délivré le discours inaugural. Le Premier ministre a souligné les liens amicaux entre le Grand-Duché et le monde arabe, ainsi que l’expertise bien établie du Luxembourg en matière de finance islamique. Il a évoqué en outre les nouveaux défis pour la paix et la stabilité, dont notamment le changement climatique et la déplétion des ressources naturelles. Il a exhorté les dirigeants de la région à mettre en place des politiques durables, dans le respect de la diversité, de la tolérance et de la non-discrimination.

Le Premier ministre et le ministre des Finances ont eu une entrevue avec L.A. Cheikh Mohammed bin Rashid al Maktoum, vice-président et Premier ministre des Émirats Arabes Unis, Emir de Dubai, cheikh Hamdan bin Mohammed bin Rashid Al Maktoum, prince héritier de Dubaï et cheikh Ahmed bin Saeed Al Maktoum, président du Comité supérieur de l’Expo 2020 et président du département de l’aviation civile pour des discussions sur les relations bilatérales entre les deux pays.

Xavier Bettel et Pierre Gramegna ont également rencontré Dr. Ahmed Mohamed Ali Al Madani, président de la Banque islamique de développement. Le président Al Madani a souligné l’importance du Luxembourg comme centre de la finance islamique en Europe, et place idéale pour l’émission de Sukuks.

Par ailleurs, le Premier ministre et le ministre des Finances ont eu une entrevue avec M. Nursultan Nazarbajev, président de la République du Kazakhstan, pour évoquer les relations bilatérales entre les deux pays.

Xavier Bettel a ensuite rencontré S.A. Cheikh Mansour bin Zayed Al Nahyan, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires présidentielles, et S.A. Cheikh Abdullah bin Zayed Al Nahyan, ministre des Affaires étrangères d’Abou Dhabi, pour des discussions relatives à la l’actualité politique et économique.

 

Communiqué par le ministère d’État et le ministère des Finances

Source: gouvernement.lu

Par La Rando

Les transports en commun à Dubai valent de l’or

L’émirat de Dubaï a eu une idée originale pour inciter les gens à prendre les transports en commun, plutôt que leur véhicule personnel : à partir du 26 octobre, et pendant une semaine, ils pourront gagner des prix. Le 1er novembre prochain marquera en effet la 5ème Journée du transport public.

Parmi les prix qui seront offerts, on trouve 4 kg d’or, des smartphones, et d’autres surprises qui pourront être gagnées chaque jour par tirage au sort. Au total, l’équivalent de près de 272 000 dollars de prix seront distribués.

La ville est confrontée à un énorme problème de congestion du trafic. A Dubaï, une famille a en moyenne 2,3 voitures, ce qui en fait l’un des pays du monde où l’on possède le plus de voitures. En outre, chaque semaine, des centaines de milliers de personnes des émirats voisins et d’autres pays entrent dans la ville. La population de 2,2 millions de personnes est ainsi quotidiennement augmentée d’un million de visiteurs, et la moitié d’entre eux arrivent avec leur propre véhicule.

Du coup, seulement 13% de la population utilise les transports en commun, et l’Autorité des Transports de Dubaï souhaiterait porter cette proportion à 30%.

Dubaï fait partie des villes du monde où les citoyens dépensent le moins dans les transports en commun en pourcentage du PIB, seulement 7%. Seuls, Bangkok (4%) et Le Caire (6%), font pire. Les New Yorkais, par comparaison, dépensent l’équivalent de 10% de leur PIB dans les transports en commun, et à Rio de Janeiro, ce taux grimpe même à 63%.

L’autorité des Transports veut porter la part du recours aux transports publics, qui n’atteignait que 6% en 2006, à 20% d’ici 2020.

La journée de célébration des transports publics prévoit plusieurs concours et évènements, dans les stations de métro, les arrêts de bus, et sur les réseaux sociaux, auxquels participera notamment la star du basket américain à la retraite, Kareem Abdul Jabbar. Les usagers titulaires de la carte de transport Nol pourront participer à plusieurs matches de basket avec lui.

Source: Express.be

Par La Rando

Des soldats marocains aux Emirats Arabes Unis

Le Maroc vient d’annoncer l’envoi de soldats aux Emirats Arabes Unis pour « lutter contre le terrorisme et pour la préservation de la paix et de la stabilité régionales et internationales ».

D’après un communiqué publié ce soir par le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, cette décision a été prise conformément aux instructions du Roi Mohammed VI et vise à « renforcer une coopération militaire et sécuritaire multiforme et de longue date avec les Etats du Golfe ».

« Elle accompagne et vient compléter les autres mesures menées sur le territoire marocain pour la préservation de la sécurité et de la quiétude des citoyens marocains face à la menace du terrorisme international », ajoute la même source.

En plus de l’aspect militaire, l’aide marocaine portera également sur le renseignement.

– Par: Bladi.net

Par La Rando

Ces jeunes ingénieurs en nucléaire aux Emirats

Environ 40 étudiants émiriens sont maintenant prêts à contribuer à la réalisation du programme d’énergie nucléaire pacifique des Emirats, annonce la Emirates Nuclear Energy Corporation (Enec).
Les diplômés sont les premiers ingénieurs qualifiés en énergie nucléaire du pays, chargés de veiller à la première centrale nucléaire du pays selon les plus hauts standards de sécurité à partir de 2017.
“Les ingénieurs de maintenance jouent un rôle déterminant pour assurer que tous les aspects de l’exploitation des centrales sont menés selon les normes les plus élevées de sûreté et de sécurité, et nous sommes très fiers d’accueillir ces jeunes hommes et femmes dans l’équipe Enec après leur entraînement intensif,” déclare Mohammad Al Hammadi, CEO d’ENEC.
Les 40 étudiants émiratis ont obtenu leur diplôme dans le cadre du programme de développement du capital humain d’ENEC, après l’achèvement d’un programme de formation spécialisée de 18 mois, dont 10 mois dans les installations louées de l’Institut de technologie appliquée à Abu Dhabi et huit mois en Corée du Sud.
Les diplômés font maintenant partie de l’équipe qui va gérer la sécurité opérationnelle dans toutes les divisions mécanique, électrique, instrumentales et de contrôle d’ENEC, et chargés de surveiller l’entretien au jour le jour de la première centrale nucléaire de l’organisation.
Les émiriens intéressés à explorer une carrière stimulante et enrichissante dans le cadre du programme d’énergie nucléaire des Emirats Arabes Unis peuvent visiter le site www.enec.gov.ae pour plus d’informations sur les possibilités des programmes et des bourses selon Gulf News.

Par La Rando

Un parc Bollywood à Dubaï

Dubai Parks and Resorts, une société du holding Meraas, a annoncé les détails du futur Bollywood Parcs Dubaï, une première en son genre en matière de destination de divertissement et qui mettra en valeur l’expérience cinématographique indienne authentique dans un format interactif.
Situé à Jebel Ali, Dubaï Parcs Bollywood accueillera 16manèges et attractions dans les cinq domaines thématiques du cinéma indien, développés en partenariat avec les grands studios de cinéma de Bombay: Bollywood Film Studios, Mumbai Chowk, Hall Of Heroes, Regal Plaza et Ravine.
Raed Al Nuaimi, CEO de Parks and Resorts Dubai, déclare : “L’impact culturel et l’attrait de Bollywood est universel avec une base de fans de plus de trois milliards de personnes. Pour les résidents et les touristes, le glamour incomparable et l’extravagance de Bollywood doivent permettre de se plonger dans la charmante fantaisie de cette expérience.’’ Red Piments Entertainments, détenue par Shah Rukh Khan, déclare : “Les Emirats sont LA place culturel et les résidents indiens dans les Emirats, ainsi que les Arabes et les gens d’autres pays d’Asie qui vivent ici sont des fans ardents de Bollywood.’’
Arbaaz Khan de Arbaaz Khan Production affirme : «La connexion entre les Emirats et Bollywood est évidente, et les films en hindis ont très populaires auprès des Arabes. Ce marché  est donc un marché vital pour Bollywood.» selon Khaleej Times.

 

Par La Rando

La police de Dubaï utilise le Quadski

Elle a pourtant le garage le plus fourni au monde mais les Lamborghini Aventador, Ferrari FF et autres Bugatti Veyron ne suffisent pas à la police Dubaï qui s’est achetée un nouveau « jouet » pour renforcer son armada : un Quadski signé Gibbs Sports Amphibians, capable de passer de la terre à la mer en seulement cinq secondes.

On le sait, la police de Dubaï possède le garage le plus fourni au monde en matière d’automobile avec, entre autres, une Lamborghini Aventador, une Ferrari FF ou encore une Bugatti Veyron dans sa collection. Mais les forces de l’ordre dubaïotes ont encore plusieurs surprises en stock, comme le prouve leur dernier jouet : un Quadski capable de passer de la terre à la mer en seulement cinq secondes.

Jusqu’à 75 km/h sur l’eau
Lancé sur le marché en 2013 par la société américaine Gibbs Sports Amphibians, le Quadski est équipé d’un moteur quatre cylindres BMW de 1.300 cm3 et dispose d’une puissance annoncée de 140 chevaux (alors qu’il devrait théoriquement pouvoir atteindre les 170 ch) pour une vitesse de pointe de 75 km/h sur l’eau et un poids de 590 kilos. La transition terre-mer se fait en cinq secondes et le système de rétractation des rouges est enclenché à l’aide d’une simple pression sur un bouton situé sur le guidon.

Une acquisition supplémentaire pour la police de Dubaï qui ne laisse décidemment rien passer et continue à s’équiper en véhicules et technologiques… même si c’est souvent controversé. Dernier exemple en date : les Google Glass, des lunettes connectées permettant aux forces de polices de mettre la main sur des personnes les plus recherchées. Reliée à une base de données spécifique, la caméra des lunettes doit analyser les visages des passants pour reconnaître les individus fichés. Une technologie interdite dans certains lieux publics et désapprouvée officiellement par Google.

Alors, si vous souhaitez faire un tour à Dubaï pour les vacances, prudence… La police locale aura visiblement toujours un œil sur vous.

Le Quadski de Gibbs Sports Amphibians : présentation officielle en vidéo 

Source : MYTF1
Par La Rando

Nomination pour Dubai Duty Free (DDF)

Dubai Duty Free (DDF) a été nommée la plus grande opération de la distribution aéroportuaire dans le monde, en raison des ventes de 1,8 milliard de dollars (Dh6,6 milliards) en 2013.
Il s’agit de la quatrième nomination de DDF à la première place dans ce secteur, devançant Séoul Incheon, Singapour Changi et l’aéroport de Londres Heathrow.
«Nous sommes évidemment très heureux de retrouver la place n °1 pour la quatrième fois et de noter que notre entreprise,ainsi que l’entreprise en franchise de droits à travers le Moyen-Orient, continue de croître de manière significative,» déclare Colm Mc Loughlin, vice-président exécutif de DDF.
L’année dernière, les ventes au détail dans le monde entier ont atteint60 milliards de dollars soit une augmentation de 7,5 pour cent par rapport à 2012.
Au Moyen-Orient, les ventes hors taxes ont atteint 3,9 milliards de dollars, marquant une augmentation de 10 pour cent sur l’année précédente. DDF représente 45,73 pour cent du chiffre d’affaires des aéroports de la région.
Les Emirats se situent au 7e rang, avec une hausse de 4,1 pour cent de part de marché selon Gulf News.

Par La Rando

Les Emirats ont levé l’interdiction de visas aux Algériens de moins de 40 ans

Les services de l’immigration des Emirats Arabes Unis ont décidé de lever la décision de geler l’octroi de visas aux algériens de moins de 40 ans. La mesure n’avait donné lieu à aucune explication lors de sa mise en œuvre. Le même mutisme officiel accompagne la levée de l’interdit.

C’est, une fois de plus, par le biais de la compagnie aérienne Emirates que les agences de voyages algériennes ont été avisées de la levée de « l’interdit au moins de 40 ans » et du retour aux règles qui étaient en vigueur auparavant.

Selon le chargé de la communication du Syndicat national des agences de tourisme (SNAT=, Elias Sennouci, cité par le journal El Khabar, une nouvelle correspondance lettre est venue annoncer l’annulation de la mesure. L’interdiction de visa aux Algériens moins de 40 ans et aux algériennes de moins 25 ans avait été notifiée par une correspondance en date du 25 septembre. La même mesure avait été appliquée pour la Tunisie, l’Egypte et la Mauritanie.

La lettre d’annulation de la mesure qui a fait grand bruit sur les réseaux sociaux est datée du 29 septembre mais elle n’a été reçue que récemment par les agences touristiques.

La compagnie Emirates, grand perdant

Selon le chargé de la communication, les agences touristiques et leurs clients n’ont pas été affectés financièrement par la mesure d’interdiction qui n’a pas duré longtemps, la réservation des billets se faisant sans versement.

Ce n’est pas le cas de la compagnie Emirates, qui a dû annuler quatre vols à destination des Emirats programmés pour les 5, 7, 18 et 21 octobre 2014 en raison du nombre réduit de voyageurs. L’octroi des visas qui coûte l’équivalent de 12.000 dinars relève des services de l’immigration aux Emirats et non des services consulaires.

Le 10 octobre dernier, le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Benali Cherif, a déclaré au journal Echourouk que l’ambassadeur des Emirats Arabes Unis avait été convoqué au siège du ministère des affaires étrangères et que des explications lui ont été demandées sur la décision de son pays de geler l’octroi des visas aux Algériens de moins de quarante ans. Il avait également indiqué que l’ambassadeur algérien aux Emirats avait été instruit de demander des « explications sur la décision prise ». L’Algérie, avait-t-il ajouté, envisage d’appliquer le principe de réciprocité au cas où l’interdit n’est pas levé.

Source : maghrebemergent.com