Par La Rando

Le Président français Hollande en Arabie saoudite

François Hollande se rend dimanche et lundi en Arabie Saoudite en compagnie de quatre ministres et de nombreux chefs d’entreprise. Vingt-quatre heures sur place et une flopée de patrons dans sa besace. François Hollande effectue dimanche et lundi un déplacement en Arabie saoudite, le deuxième depuis son arrivée à l’Élysée. Le chef de l’État sera accompagné de quatre ministres – Laurent Fabius (Affaires étrangères), Jean-Yves Le Drian (Défense), Arnaud Montebourg (Redressement productif) et Nicole Bricq (Commerce extérieur) – et d’une trentaine de chefs d’entreprise, dont Jean-Bernard Lévy (Thalès), Pierre Blayau (Areva), Guillaume Pepy (SNCF), Henri Proglio (EDF), Antoine Frérot (Veolia Environnement) et des représentants de Sanofi, GDF Suez, Vinci, la BNP… Au menu du déplacement, un entretien « de plusieurs heures », précise-t-on dans son entourage, avec le roi Abdallah ben Abdelaziz Al-Saoud. L’occasion d’évoquer la question syrienne, la situation au Liban, en Égypte et en Iran, tout en jouant les VRP du savoir-faire français.

Défense, nucléaire et… football

L’Arabie saoudite est le premier partenaire commercial de la France dans le Golfe et le deuxième au Moyen-Orient. En cinq ans, les échanges commerciaux entre les deux pays ont doublé, avec 3,2 milliards d’euros exportés par les entreprises françaises en 2012. Alstom a notamment remporté le projet de métro à Riyad, Total la construction d’une raffinerie à Jubail. Deux gros contrats de défense devraient cette fois-ci être discutés : l’un en matière de défense aérienne porté par Thalès (4 milliards d’euros), l’autre en matière de frégates et de sous-marins (entre 15 et 20 milliards d’euros). Des jalons seront également posés pour la construction de16 centrales nucléaires (EDF et Areva ayant répondu à un appel d’offres) et la réalisation d’un plan de développement en énergie solaire.

Le chef de l’État évoquera aussi, lors de ce dernier voyage officiel de l’année, les investissements saoudiens en France. Dans la délégation, on trouve ainsi le directeur général de l’AJ Auxerre, Fabrice Herrault. Le club de football, qui compte comme conseiller sportif l’ancien joueur vedette saoudien Sami Al-Jaber, est à la recherche de partenaires financiers pour augmenter ses fonds propres…

Source: LeJDD.fr

Par La Rando

Budget record pour l’Arabie saoudite en 2014

L’Arabie saoudite a annoncé lundi un budget d’un montant record de 228 milliards de dollars pour 2014, après 218,8 milliards en 2013, selon la télévision d’Etat El-Ekhbariya. La crise… quelle crise  ? L’Arabie saoudite a annoncé lundi un budget d’un montant record de 228 milliards de dollars pour l’année 2014, contre 218,8 milliards en 2013, selon la télévision d’Etat El-Ekhbariya. Le royaume, premier exportateur de pétrole brut dans le monde.

Le royaume, premier exportateur de brut dans le monde, prévoit un budget à l’équilibre avec des dépenses et des recettes de 855 milliards de riyals (228 milliards de dollars), a précisé la chaîne. El-Ekhbariya a ajouté que l’excédent budgétaire pour l’exercice 2013 avait atteint 54,9 milliards de dollars (pour les données 2012, voir l’infographie ci-dessous).

Grâce à sa nouvelle puissance énergétique, avec l’exploitation et bientôt l’exportation de gaz et de pétrole de schiste, les Etats-Unis ont montré plus d’indépendance vis-à-vis des pays du Golfe . L’an prochain, avec le retour de l’Iran sur le marché pétrolier, les partenaires de l’Arabie saoudite au sein de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep), et plus généralement les marchés en général, scruteront la volonté de Ryad de continuer à tenir son rôle traditionnel  : faire office d’amortisseur (« swing producer ») en modulant sa production pour ajuster l’offre de pétrole à la demande mondiale. Lire la suite sur Lesechos.fr…

Par La Rando

Le coronavirus en Arabie saoudite toujours présent

Le ministère saoudien de la Santé a annoncé samedi la mort à Ryad d’une personne atteinte du coronavirus MERS, portant à 56 le nombre de décès dus à la maladie dans le royaume. Sur son site internet, le ministère précise qu’il s’agit d’un Saoudien de 73 ans, qui souffrait de maladies chroniques.
Le ministère ajoute avoir enregistré trois autres nouveaux cas du coronavirus MERS à Ryad: deux ressortissantes étrangères employées dans le secteur de la santé, qui ont été en contact avec des patients contaminés par le virus, et un Saoudien de 53 ans, souffrant de maladies chroniques, est aux soins intensifs.
Le royaume, premier foyer du coronavirus MERS et pays le plus touché, a enregistré au total 136 cas, dont 56 mortels, depuis l’apparition de la maladie il y a plus d’un an, selon le ministère.
Sur son site internet, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) indique samedi que 165 cas de contamination par le virus avaient été confirmés en laboratoire à travers le monde, dont 71 mortels.
Le coronavirus MERS appartient à la famille du virus responsable du Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), qui avait fait près de 800 morts dans le monde en 2003.

et Leparisien

Par La Rando

Viber disponible en Arabie saoudite

Des utilisateurs de la messagerie Viber ont indiqué samedi que celle-ci était de nouveau disponible sur leurs téléphones en Arabie saoudite où elle reste interdite selon les autorités. Le royaume conservateur, qui impose une censure stricte sur internet, avait coupé l’accès au service Viber, qui permet d’effectuer gratuitement des appels téléphoniques, pour manquement à des règlements non spécifiés.Après une notification du fabricant de son téléphone, un usager, Haïfa Salim a indiqué avoir « mis à jour l’application (Viber) et elle a marché ». »Le service est revenu, sans aucun problème », renchérit Khaled Mohammed, qui a lui aussi installé une mise à jour.

Mais la Commission saoudienne des technologies de l’information et de la communication (CITC) a assuré que l’interdiction restait valable.
« Peut être y-a-t-il des moyens illégaux pour la compagnie Viber de fournir l’application, mais la Commission se charge de cela » a indiqué le porte-parole de la CITC, Sultan al-Malek. « La CITC n’a pas levé l’interdiction car la compagnie ne respecte toujours pas les exigences de la commission ».
Les autorités ont demandé aux fournisseur d’accès de mettre sur pied un mécanisme permettant une censure, avaient indiqué des sources au sein de ces entreprises lorsque l’interdiction a été imposée.
La commission avait prévenu au printemps qu’elle prendrait « les mesures appropriées » si les fournisseurs de messagerie électronique –WhatsApp, Skype ou Viber– ne se conformaient pas à ses demandes. WhatsApp et Skype restent opérationnels en Arabie saoudite.
En 2010, les autorités saoudiennes et les Emirats arabes unis voisins avaient menacé d’interdire la messagerie BlackBerry, réclamant que le fabricant canadien de téléphones installe des serveurs locaux leur permettant d’exercer une censure. BlackBerry a continué à fonctionner, sans que l’on sache à quel point la compagnie s’est soumise aux demandes des autorités.

et LeParisien.fr

Par La Rando

France Solar Industry en Arabie Saoudite

Une délégation de membres de FRANCE SOLAR INDUSTRY, marque créée par le Syndicat des énergies renouvelables qui regroupe les filières solaire photovoltaïque, photovoltaïque à concentration et thermodynamique, a participé au déplacement du Ministre du Redressement Productif, Arnaud MONTEBOURG à Riyad et Damman les 23, 24 et 25 novembre.

Les représentants des entreprises ont  rencontré les dirigeants de la KACARE, Agence en charge du Développement du programme Energies renouvelables, de SAUDI ARAMCO, compagnie nationale pétrolière qui développe des projets solaires, et des entreprises saoudiennes, membres de la Chambre de Commerce.

Le programme solaire saoudien est l’un des plus importants au monde et prévoit 41 000 MW d’énergie solaire à l’horizon 2032, 16 000 MW de solaire thermodynamique et 25 000 MW de photovoltaïque, soit un marché potentiel de 109 milliards de dollars.

France Solar Industry est une initiative export du Syndicat des Energies Renouvelables lancée début 2013 et destinée à regrouper les entreprises françaises. France Solar Industry rassemble une trentaine d’entreprises. A terme, l’objectif est de constituer des offres intégrées permettant, par l’association des expertises, d’offrir des solutions clés en main aux donneurs d’ordres internationaux.

Par La Rando

Amérique et Arabie saoudite : les raisons du désamour

Le réchauffement des relations entre l’Iran et les Etats-Unis est un défi inquiétant pour Riyad, déjà engagé dans une guerre par procuration avec Téhéran en Syrie. « Des divergences tactiques et non pas stratégiques. » Le roi d’Arabie saoudite, Abdallah, et John Kerry, le secrétaire d’Etat américain, ont tenté récemment de dissiper les impressions d’une rupture entre les deux alliés. Mais est-ce suffisant alors que le récent dégel entre les Etats-Unis et l’Iran apparaît comme un menaçant défi pour le royaume wahhabite ? Entre les deux partenaires, la crise actuelle n’est certes pas comparable au choc pétrolier de 1973, en pleine guerre du Kippour, lorsque le royaume et les autres pays de l’Opep avaient décidé un embargo sur les livraisons de pétrole pour punir les Occidentaux de leur soutien à Israël. On n’ira pas non plus jusqu’à prédire la fin du pacte dit du « Quincy », scellé à bord du croiseur « USS Quincy » par le roi Ibn Séoud et Franklin Roosevelt de retour de Yalta, en 1945. Ce pacte, qui a été renouvelé en 2005 pour soixante ans par le président George W. Bush, prévoit, dans ses grandes lignes, que les Etats-Unis assurent la stabilité du royaume et, en contrepartie, que l’Arabie saoudite garantisse l’approvisionnement énergétique de l’Amérique. Mais, comme le souligne Frederic Wehrey, de la Fondation Carnegie pour la paix internationale , « la diplomatie saoudienne est entrée dans une période d’incertitudes et de difficultés ». Pour manifester son mécontentement vis-à-vis de Washington, Riyad a même refusé de siéger comme membre non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Lire la suite sur LeFigaro…

Par La Rando

L’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole

L’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de brut, juge le marché pétrolier «dans la meilleure situation possible» et ne voit pas de raison d’abaisser le plafond de production de l’OPEP, a déclaré lundi le ministre saoudien du Pétrole Ali Al-Nouaïmi. «Le marché est dans la meilleure situation possible. La demande est excellente, la croissance économique s’améliore», a déclaré à des journalistes M. Nouaïmi à son arrivée à Vienne pour la 164e réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) mercredi.

«Pourquoi voulez-vous que l’Arabie saoudite abaisse quoi que ce soit?», a-t-il demandé, en réponse aux journalistes qui l’interrogeaient sur la possibilité de réduire le plafond collectif de production du cartel, fixé à 30 millions de barils par jour (mbj) depuis décembre 2011.

La possible augmentation des exportations iraniennes de brut n’est pas une raison nécessaire pour baisser le plafond puisque «la demande est là», a-t-il ajouté.

L’Iran et les grandes puissances ont conclu le 24 novembre à Genève un accord temporaire sur le programme nucléaire controversé de Téhéran, qui a permis la suspension de sanctions, mais pas celles sur les exportations pétrolières du pays.

À court terme, les exportations iraniennes pourraient légèrement augmenter vers l’Asie, en raison de la levée de l’interdiction d’assurer les livraisons iraniennes pour les assureurs européens, estiment les experts.

À moyen terme, si l’ensemble des sanctions était levé, l’Iran pourrait fournir rapidement un million de barils par jour supplémentaires, selon des estimations d’analystes.

Les sanctions ont fait chuter les exportations iraniennes de brut de 2,5 mbj en 2011 à 1,1 mbj pendant les neuf premiers mois de l’année 2013, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE).

M. Nouaïmi a également estimé que le prix du brut était actuellement «idéal». «Le prix est décidé par le marché. Nous sommes satisfaits quel que soit (le prix) que le marché détermine», a-t-il ajouté.

L’OPEP prévoit que la demande mondiale de brut progresse légèrement l’année prochaine, pour s’établir à 90,82 mbj, contre 89,78 mbj en 2013.

Mais la demande pour son brut devrait diminuer d’un peu plus de 300 000 barils, estime le cartel.

Plus pessimiste, l’AIE envisage une demande en baisse de 900 000 barils par jour pour le pétrole de l’OPEP en 2014 par rapport à 2013.

Le cartel fondé en 1960, qui compte actuellement douze États du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Amérique latine, pompe environ un tiers de la production mondiale de brut.

Source: Lapresse.ca

Par La Rando

Amélioration des relations entre l’Arabie saoudite et l’Iran?

En visite au Qatar, le ministre des Affaires étrangères iranien appelle l’Arabie saoudite à travailler avec son pays pour promouvoir la paix et la stabilité dans la région. « Nous pensons que l’Iran et l’Arabie saoudite devront travailler ensemble pour promouvoir la paix et la stabilité dans la région », a déclaré Mohammad Javad Zarif depuis Mascate, dans le sultanat d’Oman.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, après sa visite à Oman, est arrivé lundi à Doha dans le cadre d’une tournée régionale destinée à rassurer les pays arabes voisins de l’Iran. Mohammad Javad Zarif doit être reçu à Doha par l’émir du Qatar, cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, et s’entretenir avec son homologue qatari, Khaled al-Attiya.

Zari est prêt à visiter l’Arabie saoudite

Il a répété qu’il était prêt à visiter l’Arabie saoudite, qui n’est pas prévue au programme de sa tournée. Il s’est rendu dimanche au Koweït. « Je visiterai bientôt » le royaume saoudien, a-t-il déclaré, ajoutant que les relations irano-saoudiennes « devraient être élargies car nous considérons l’Arabie saoudite comme un pays très important dans la région et dans le monde islamique ».

Le ministre iranien tente de convaincre les monarchies du Golfe que l’accord conclu le 24 novembre à Genève par l’Iran avec les grandes puissances sur son programme nucléaire est dans l’intérêt de la stabilité régionale.

Lire la suite sur Lexpress.fr…

Par La Rando

[insolite] Une saoudienne exige de son futur mari qu’il l’épouse avec ses deux meilleures amies

Cette demande de mariage qui sonnait comme un ultimatum n’a guère laissé de choix au futur époux qui en fut tout ébaubi, une Saoudienne a consenti à s’unir à son prétendant à la condition sine qua non que ce dernier épouse également ses deux meilleures amies d’école.

Rêve ou cauchemar, la requête non négociable de sa dulcinée a laissé sans voix le soupirant saoudien qui s’imaginait déjà dans un nid douillet à deux, et au lieu de cela s’est vu soudainement contraint de pousser les murs… Stupéfait et choqué à la fois, le marié n’a cependant pas eu voix au chapitre, puisqu’à l’exigence de sa promise a succédé la forte pression familiale et amicale du couple qui a fini par le convaincre de sceller cette union groupée… Il faut dire que la polygamie est autorisée en Arabie saoudite, aussi longtemps qu’elle se limite à quatre épouses et qu’elle garantit un traitement équitable de chacune.

Selon le quotidien national Al Youm, le Saoudien a fait contre mauvaise fortune bon cœur et a loué trois appartements dans le même immeuble pour installer celles qui vont certainement y régner en maîtresses de maison.

source: Oumma.com

Par La Rando

Entretien entre Obama et le roi d’Arabie Saoudite

Une fois l’accord sur le nucléaire iranien entériné, le roi Abdallah a reçu un appel téléphonique du président Obama au  cours duquel les deux dirigeants ont passé en revue «les relations entre les deux pays amis, la situation dans la région et les questions d’intérêt commun», a indiqué SPA dans la nuit de mercredi à jeudi.

Selon l’agence, c’est le deuxième entretien téléphonique entre M. Obama et le roi Abdallah en un mois. Cet entretien n’est pas sans rapport avec les avancées diplomatiques engagées par le nouvel accord nucléaire fixé dimanche dernier entre l’Iran et les puissances du groupe des 5+1. Un accord auquel se sont opposés l’Arabie Saoudite et Israël, les deux principaux pays rivaux de la République chiite dans la région moyen-orientale, redoutant que l’Iran se dote de l’arme nucléaire sous couvert d’un programme nucléaire à usage civil. Cet accord intérimaire de six mois engage la République islamique à limiter son programme en échange d’un allègrement des sanctions économiques, dont le dégel de 12 milliards de dollars d’avoirs.

Le Conseil des ministres saoudiens avait estimé lundi dernier que l’Iran devait prouver sa «bonne volonté» pour rassurer ses voisins arabes, selon l’AFP. L’Iran ne recule néanmoins pas devant l’objectif de renforcer son arsenal militaire ; il avait d’ailleurs dévoilé, la veille, ses nouveaux équipements militaires à l’occasion de sa Journée nationale de la Marine. L’Iran a par ailleurs invité l’Agence internationale de l’énergie atomique à inspecter, le 8 décembre prochain, le site sensible de production d’eau lourde d’Arak, selon son directeur général, Yukiya Amano, et remplit ainsi un des engagements pris dans un accord mi-novembre avec l’AIEA, privée d’accès au site depuis août 2011.

Source: ElWatan