Par La Rando

Braquage d’un prince saoudien à Paris

Un commando armé de fusils d’assaut a braqué un véhicule de l’ambassade saoudienne dimanche soir, emportant 250 000 euros et des documents diplomatiques.

Le convoi d’un prince saoudien a été attaqué dimanche soir à Paris par un commando d’hommes lourdement armés, munis notamment de kalachnikovs, qui a dérobé 250 000 euros et des documents diplomatiques, avant de prendre la fuite. Composé de treize voitures, le convoi, parti de l’hôtel George-V sur les Champs-Élysées pour se rendre à l’aéroport du Bourget (Seine-Saint-Denis), a été attaqué vers 20 h 30 au niveau de la porte de la Chapelle, dans le 18e arrondissement de Paris. Le monospace Mercedes Viano de location qui contient les affaires du prince – argent, bijoux et documents – a été intercepté par les braqueurs au volant de 2 BMW, un modèle M5 et un modèle X5. Le monospace roulait seul, en avance sur le reste du convoi, qui le suivait de très loin.

Le « préjudice déclaré (est) de 250 000 euros », a affirmé une source policière, selon laquelle il n’y a pas eu de blessé. Les braqueurs ont expulsé du monospace le garde du corps, le chauffeur et l’intendant. À l’intérieur du véhicule, ils se sont emparés d’une valise contenant 250 000 euros, selon la déclaration du prince saoudien à la police. Selon une source proche du dossier, des documents diplomatiques ont également été volés lors de l’attaque. « Mais, pour l’instant, nous n’avons aucun détail sur la nature de ces documents. Il peut tout aussi bien s’agir de documents sensibles que de papiers sans importance », a-t-elle précisé.

Le monospace Mercedes et une des BMW ont été retrouvés abandonnés et brûlés vers 22 heures dimanche dans un village de Seine-et-Marne, à Saint-Mesmes. La X5 est activement recherchée. Deux billets de 500 euros, des documents en langue arabe et des médicaments ont été retrouvés à proximité des deux épaves, selon une source policière. Aucun des auteurs du braquage n’a été interpellé dans l’immédiat, selon la même source. L’ambassade d’Arabie saoudite à Paris n’était pas joignable lundi matin.

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Par La Rando

L’Arabie saoudite et le football

Si l’Arabie saoudite collectionne les premières places dans le domaine de l’énergie, son équipe de football est nettement moins performante. Alors, le roi Abdallah a décidé de se servir de son entreprise-phare, l’Aramco — la plus grande compagnie pétrolière du monde — pour superviser la création de onze stades géants et faire concurrence aux ambitions du Qatar qui organisera la Coupe du monde en 2022.

En juin 2014, alors que les opinions arabes se passionnaient pour les Fennecs (l’équipe de football d’Algérie victorieuse), aux premières épreuves de la Coupe du monde le roi d’Arabie saoudite Abdallah ordonnait contre toute attente de construire onze stades de 45 000 places chacun dans des régions frontalières du royaume ou turbulentes comme l’«  Eastern Province  », l’ex-Hasa où se trouvent concentrées une bonne partie de ses richesses pétrolières ainsi que sa minorité chiite peu en cour dans la monarchie wahhabite.

Officiellement, le King Abdullah Program vise à encourager les jeunes Saoudiens à faire du sport. Sans doute aussi s’agit-il de faire oublier l’échec de l’équipe nationale, incapable de franchir le tour préliminaire de la Coupe, et de ne pas laisser au Qatar voisin et rival qui organise la prochaine coupe du monde en 2022 le monopole du ballon rond, une passion dans la région et au-delà.

Après trois semaines de réflexion, le Palais royal a confié à la Saudi Arabian Oil Company, l’Aramco, la responsabilité du projet. Ce n’est pas la première fois qu’une compagnie pétrolière nationale est chargée de tâches qui n’ont rien à voir avec sa vocation première, à savoir extraire, traiter et transporter l’or noir. Cependant, cette fois ce ne sont pas des raisons financières qui expliquent le choix du roi, mais la qualité de ses dirigeants, dont certains ont déjà été mis à la tête de secteurs importants comme les énergies renouvelables, des universités scientifiques ou la production d’électricité.

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Par La Rando

Une dent a poussé dans le nez de ce jeune homme en Arabie saoudite

Un fait extrêmement rare a été perçu en Arabie Saoudite. Un jeune homme s’est vu pousser une dent… en plein nez.

Le cas de ce jeune Saoudien âgé de 22 ans est peu banal. Alors qu’il souffrait de saignements de nez abondants, celui-ci est allé consulter un médecin pour comprendre la raison de ses douleurs. Le choc a été général quand ils avaient découvert qu’une dent avait poussé à l’intérieur de la narine. Cette dent nasale est un fait extrêmement rare et était à l’origine des écoulements de sang du jeune homme.

D’après le diagnostic des dentistes, une excroissance en ivoire a été découverte du côté de la narine gauche du garçon. La dent mesurait environ un centimètre et était confirmée comme une incisive supplémentaire retrouvée dans le nez. Le corps médical a tout de suite procédé à l’extraction de la dent et le saignement s’est tout de suite arrêté.

Un cas similaire avait été enregistré en Chine, Feng Fujia avait subi une opération pour une molaire retrouvée dans sa narine. Il était venu pour une consultation suite à des problèmes respiratoires. Il souffrait de problèmes de nez depuis cinq ans et n’a pu trouver de réponse satisfaisante par rapport à son cas en raison du manque d’infrastructure médicale dans son village.

Selon le docteur de l’Université de l’Iowa, on peut voir plusieurs dents supplémentaires dans une bouche mais très rarement dans le nez. «  C’est un cas inhabituel, a-t-il expliqué au site Livescience. Nous voyons plusieurs cas chaque année, mais que la dent ait poussé dans la cavité nasale est très inhabituel.  »

Source: linfo.re

Par La Rando

La plus vieille inscription en arabe du monde en Arabie saoudite

La nouvelle va faire le tour de la planète. Une inscription en arabe, datée du Ve siècle de l’ère chrétienne et qui pourrait être considérée comme la plus ancienne découverte en alphabet arabe, a été mise au jour par une mission archéologique franco-saoudienne dans l’extrême sud-ouest de l’Arabie saoudite, a annoncé jeudi le Quai d’Orsay qui parle d’une «découverte scientifique majeure».

 «A une centaine de kilomètres au nord de Najran, en Arabie saoudite, à proximité du Yémen, l’épigraphiste du CNRS Frédéric Imbert, également professeur à l’Université Aix-Marseille, a mis au jour dans la zone des puits de Hima ce qui pourrait être considérée comme la plus ancienne inscription en alphabet arabe», a précisé Vincent Floréani, porte-parole adjoint du ministère des Affaires étrangères ors d’un point-presse.

Une découverte majeure pour comprendre l’arabe

Agrégé d’arabe, le professeur Imbert consacre ses recherches aux inscriptions arabes et particulièrement aux graffiti des deux premiers siècles de l’islam au Proche-Orient (VIIe – IXe siècles), indique l’universitaire, sur le site internet de l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman.

Selon le ministère qui finance la mission, le texte est écrit dans une graphie intermédiaire entre le nabatéen et l’arabe, le «nabatéo-arabe» étant le premier stade de l’écriture arabe. Cette écriture n’était attestée jusqu’alors que dans le nord du Hedjaz, dans le Sinaï et au Levant.

Une inscription du Ve siècle

«Le second intérêt de ces inscriptions est qu’elles sont datées. La période indiquée correspondant aux années 469-470 de l’ère chrétienne», a ajouté le ministère. «Il s’agit de la plus ancienne forme d’écriture arabe connue à ce jour, le chaînon manquant entre les écritures nabatéenne et arabe», a précisé le porte-parole.

«La mission archéologique franco-saoudienne de Najran vient de faire une découverte scientifique majeure», a-t-il souligné. Elle est «importante pour l’histoire de la péninsule arabique et de la langue arabe» et constitue «un excellent exemple de coopération entre l’Arabie saoudite et la France». En 2014, le Quai d’Orsay finance 148 projets de missions archéologiques dans le monde, répartis sur plus de 60 pays.

LeParisien.fr

Par La Rando

L’Arabie saoudite crée un nouveau fonds souverain

La création prochaine par l’Arabie saoudite d’un fonds souverain chargé de recycler les excédents budgétaires provenant des exportations d’hydrocarbures ne manquera pas de bouleverser l’univers de ces institutions qui gèrent les avoirs en devises des Etats, producteurs notamment de matières premières.

 

Le Parlement du royaume wahhabite doit examiner prochainement le projet de loi créant un nouveau Sovereign Wealth Fund (SWF) dont la mission est d’investir 30 % de l’énorme surplus des finances publiques créé par la rente pétrolière. Dans un souci de diversification de l’économie, le premier producteur de pétrole au monde entend confier à ce fonds une partie des avoirs en devises de la banque centrale.

Les actifs de l’institut d’émission s’élèveraient à 700 milliards de dollars, soit autant que la cagnotte du fonds de réserve norvégien, le plus important au monde. Le cours du rial est étroitement lié à celui du dollar, la monnaie de référence du commerce pétrolier. Pour les experts, la création d’un nouveau fonds est également destinée à protéger la devise locale contre la volatilité du billet vert.

 

Selon les estimations de la City, la nouvelle entité disposerait au départ d’actifs totalisant au moins 70 milliards de dollars. Ce montant placerait l’institution saoudienne au 17e rang mondial, au niveau des SWF libyen, australien ou kazakh, à lire le classement 2013 du bureau d’études londonien Preqin qui fait autorité en la matière.

MONTANT INCONNU

Actuellement, outre la banque centrale, l’Arabie saoudite dispose d’un petit fonds souverain dont les ressources s’élèvent à 5,3 milliards de dollars, essentiellement placés dans les actions et l’immobilier.

En raison de ses liens privilégiés avec Riyad, la City est en pole position pour tirer profit des richesses de la future entité. « Le fonds souverain saoudien poursuit une stratégie prudente de diversification du portefeuille, en investissant dans des actions de compagnies cotéesou dans des projets d’infrastructure régionaux liés à l’eau et à l’électricité », souligne Amy Bensted, analyste auprès de Preqin.

 

Les Saoudiens passent pour des investisseurs pragmatiques qui privilégient les placements à long terme, à l’instar de l’Abu Dhabi Investment Authority, le fonds souverain des Emirats Arabes unis.

La performance du nouveau SWF saoudien risque toutefois d’être pénalisée par l’interdiction de la spéculation stipulée par la charia qui guide le secteur financier saoudien. Par ailleurs, malgré les engagements à la transparence qu’illustre la mise en place de règles de gouvernance internationales, il est toujours impossible de séparer les avoirs de l’Etat de ceux de la famille royale régnante. La gestion demeure opaque. Le montant exact des avoirs reste inconnu.

Malgré ces points noirs, cette initiative souligne que les fonds souverains sont plus que jamais des acteurs incontournables du paysage financier mondial.

 

Source : Lemonde.fr

Par La Rando

L’Arabie saoudite en tête du classement de l’IED au Moyen-Orient

L’Arabie saoudite s’est classée au premier rang des pays du Moyen-Orient en terme d’investissement étranger direct (IED), en attirant 141 milliards de dollars au cours des cinq dernières années, a rapporté samedi Arab News.

L’IED et les dépenses gouvernementales de 718 milliards de dollars ont contribué à stimuler la croissance économique du pays, a fait savoir le ministre du Commerce et de l’Industrie, Tawfiq Al-Rabiah.

L’augmentation des recettes pétrolières a réussi à soutenir la croissance dans les secteurs non pétroliers, a précisé le ministre.

Le pays riche en pétrole a renforcé ses secteurs privés pour satisfaire les demandes d’emplois chez les jeunes et réduire sa dépendance vis-à-vis des exportations de pétrole.

Selon les dernières statistiques de l’Agence monétaire d’Arabie saoudite, les actifs étrangers nets du pays ont atteint un niveau record de 716,7 milliards de dollars en décembre dernier, soit une hausse de 10,7% par rapport à la même période de l’année précédente.

 Source Xinhua
Par La Rando

Le président Obama, bientôt en Arabie saoudite

Barack Obama se rendra en mars en Arabie saoudite pour un sommet avec le roi Abdallah, avec l’objectif d’apaiser les tensions entre Washington et Ryad au sujet de la politique des Etats-Unis sur l’Iran et la Syrie, rapporte le Wall Street Journal.

« Le sujet, ce sont des relations qui se détériorent », relève un haut responsable saoudien cité par le quotidien pour justifier la nécessité de cette réunion, qui a été organisée ces derniers jours.

La Maison blanche n’a pas souhaité commenter l’information.

Les membres de la dynastie au pouvoir en Arabie saoudite déplorent ce qu’ils considèrent comme l’inaction de Washington face à la guerre civile en Syrie et la politique de rapprochement avec l’Iran amorcée par l’administration Obama.

La république chiite, alliée de Damas, est la grande rivale régionale du royaume sunnite.

Le roi Abdallah compte notamment interroger Barack Obama sur sa décision de ne pas mener de frappes aériennes contre la Syrie après l’attaque au gaz sarin du 21 août dernier dans les faubourgs de Damas.

Source: Reuters et Lorientlejour

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Vueling en Arabie saoudite

La compagnie aérienne low cost Vueling s’est vue attribuer deux vols par semaine entre l’Espagne et l’Arabie Saoudite, mais n’a pour l’instant annoncé aucune nouvelle route.

La DGAC espagnole (Dirección General de Aviación Civil) a attribué à la spacialiste du vol pas cher deux des cinq fréquences hebdomadaires nouvellement ajoutées entre les deux pays, spécifiant comme destinations les aéroports de Djeddah et/ou Dammam. Ces deux villes seraient a priori desservies au départ de la base de Vueling à Barcelone – El Prat, sans concurrence puisque les seules liaisons à ce jour sont opérées par Saudia vers Madrid au départ de Djeddah, avec trois rotations par semaine en Airbus A320 – appareil opéré également par Vueling. Lire la suite sur air-journal.fr…

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Découverte de dinosaures en Arabie saoudite

Pour la première fois, des restes fossiles de dinosaures ont été retrouvés et identifiés en Arabie Saoudite, au nord-ouest de la péninsule arabique. Les vertèbres caudales appartenaient à un herbivore, mais les dents sont bien celles d’un carnivore. Voilà qui en dit plus sur la répartition des titanosaures et des parents des abélisaures durant le Crétacé supérieur.

Au sud-ouest de l’Asie, la péninsule arabique est connue pour ses étendues désertiques, où les puits de pétrole foisonnent. En revanche, on ne peut pas en dire autant des fossiles, notamment de ceux de dinosaures. Des fragments d’os y ont certes déjà été trouvés, mais sans que leurs propriétaires ne puissent être formellement identifiés. C’est pourquoi la découverte fraîchement présentée dans la revue Plos One par Benjamin Kear est importante.

Ce chercheur de l’université d’Uppsala (Suède) et ses collaborateurs y décrivent des ossements et des dents extraits de la formation géologique d’Adaffa. Ce site se trouve au nord-ouest de la péninsule arabique, sur les côtes de la mer Rouge, et se compose de roches qui datent du Campanien et du début du Maastrichtien. Sur la zone prospectée (environ 10 m2), elles auraient environ 75 millions d’années, ce qui est donc aussi l’âge des fossiles. Leurs propriétaires ont cette fois été identifiés avec une relativement bonne précision. Il s’agit de dinosaures, les premiers mis en jour en Arabie Saoudite.

Les restes fossiles se composent entre autres de sept vertèbres caudales identifiables, et de deux fragments non définissables. Elles forment une série complète et appartiendraient à un titanosaure. Leur propriétaire était ainsi un sauropode, donc un dinosaure quadrupède et herbivore. Il pourrait avoir mesuré jusqu’à 20 m de long, sachant que l’une des vertèbres fait 10,5 cm de long. Lire la suite sur futura-sciences.com…

Par La Rando

Rezidor Hotel Group en Arabie saoudite

La filiale EMOA du groupe Carlson Rezidor a signé deux contrats pour l’exploitation d’établissements spectaculaires au niveau architectural, le premier à Ryadh sous enseigne Park Inn et le second à Jeddah sous enseigne Radisson Blu. Le Park Inn by Radisson Riyad de 170 chambres est situé au coeur du quartier des affaires de Riyad, avec  une cafétéria de 300 m², un restaurant de spécialités de 200 m², un lobby  » lounge « , des salles de réunions sur 500 m², ainsi qu’un centre de remise en forme de 400 m², avec piscine extérieure. Son design est tout à fait original, conçu par le cabinet MZ Architects dirigé par Marwan Zgheib. Il ouvrira courant 2016

Le futur Radisson Blu Hôtel Jeddah Al Salamah est situé sur la route de Quraysh, à seulement 9 km au nord de l’aéroport international King Abdulaziz. Lire la suite sur hospitality-on.com…