Par La Rando

Coronavirus: L'Arabie saoudite demande de l'aide

Pays le plus fortement touché, mais pas encore confirmé comme étant le foyer du nouveau coronavirus, l’Arabie saoudite a demandé l’aide de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la guider dans sa lutte contre la menace. Le directeur général adjoint de l’OMS pour les affaires de sécurité sanitaire et d’environnement, Keiji Fukuda, est en mission sur place. Si l’OMS a confirmé comprendre comment fonctionnait ce nouveau virus, elle a aussi reconnu dans un communiqué de presse ce dimanche, qu’il existant encore de nombreuses zones d’ombre. Il lui faudra du temps pour les éclaircir.
Ce que ses spécialistes savent c’est que ce virus appartient à un groupe appelé coronavirus et qu’il est lié au Sras qui avait provoqué une pandémie dix ans plus tôt. Mais l’institution insiste sur le fait que cette nouvelle forme n’est pas le Sras et qu’ils sont bien distincts. Lire la suite sur lanouvellerepublique.fr

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Foot: Vargas en Arabie Saoudite ?

Complètement démoralisé, il préfère participer à la préparation estivale avec Anderlecht avant de trancher en août. ANDERLECHT Ronald Vargas va-t-il bientôt quitter Anderlecht ? Il n’a plus qu’un an de contrat et il ne joue jamais. L’Arabie saoudite pourrait être la solution. Un club saoudien veut offrir quatre millions pour le Vénézuélien. Et à Dubaï, il y a également de l’intérêt depuis un certain temps.
Le joueur attend. Il n’a que 26 ans et vise plus haut que l’Arabie saoudite. Il veut même réussir à Anderlecht, mais est-ce qu’il recevra encore sa chance de John van den Brom ? La famille de Vargas préfère qu’il participe à la prochaine préparation, et qu’une décision soit prise en août. Ronald Vargas veut convaincre ses patrons qu’il mérite d’avoir un nouveau contrat de deux ans. Lire la suite sur dhnet.be

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Des indonésiens libérés en Arabie Saoudite

Le Roi Abdallah ben Abdelaziz al-Saoud a gracié 141 ressortissants indonésiens qui purgent des peines dans différentes prisons du royaume.
Emprisonnés pour diverses infractions, et parfois endettés suite à leur condamnation, le Roi s’est également chargé de régler les sommes dues.
« Certains sont en train d’être rapatriés en Indonésie », d’autres suivront prochainement. C’est ce qu’a fait savoir Rayyanul Muniah Sangadji, responsable diplomatique de l’Ambassade indonésienne à Riyadh. Une note officielle leur est parvenue indiquant la libération des travailleurs expatriés.
La clémence royale a été saluée par le diplomate, qui a exprimé sa gratitude envers le gouvernement saoudien. 
 
Source : Arabnews.com, katibin.fr

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Obama reçoit un collier en or d'Arabie Saoudite

Le roi Abdallah a décoré le président des Etats-Unis, Obama d’une haute distinction saoudienne et lui a placé le collier en or de l’ordre du roi Abdel Aziz autour du cou, tout en rendant un hommage appuyé au nouveau président américain. Les bonnes relations  entre les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite ne sont plus un secret. Découvrez la vidéo ci-dessous.

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Coronavirus en Arabie Saoudite

Deux nouvelles personnes sont décédées en Arabie saoudite, portant à sept les victimes du Coronavirus proche du SRAS en une semaine dans le royaume, a annoncé le ministère de la Santé dans la nuit de dimanche à lundi.
Les deux personnes sont décédées dans la province orientale où une troisième personne atteinte du virus est dans « un état stable » à l’hôpital, a précisé le ministère dans un communiqué reproduit par l’agence officielle SPA.
Leur mort porte à 18 le nombre de personnes décédées dans le monde après avoir contracté ce virus, détecté pour la première fois à la mi-2012, dont 11 en Arabie saoudite.
Le ministère a assuré que les autorités avaient pris « toutes les mesures préventives » pour empêcher la propagation de ce virus et ajouté qu’il n’y avait pas « de raison de s’inquiéter ». Lire la suite sur LeParisien

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Le Premier ministre malien en Arabie Saoudite

Diango Cissoko rencontrera à Jeddah les responsables de la Banque islamique de développement qui apporte un appui constant aux politiques et stratégies de développement de notre pays
Le Premier ministre Diango Cissoko est en Arabie Saoudite pour une visite de deux jours. Le chef du gouvernement devait arriver hier soir à Jeddah  où il doit rencontrer les hauts responsables de la Banque islamique de développement (BID). Ce voyage de deux jours fait suite à une visite effectuée début avril à Bamako par le vice-président de l’institution financière, notre compatriote Birama Sidibé, que Diango Cissoko avait d’ailleurs reçu en audience. Une rencontre au cours de laquelle les deux personnalités  avaient fait le tour d’horizon de la coopération entre les deux parties, le point des échéances futures en matière de développement économique.
« Nous avons pris des dispositions pour appuyer les programmes prioritaires du pays en matière de développement. La BID a déjà engagé entre 700 et 800 millions de dollars (Ndlr : entre 350 et 400 milliards de Fcfa) depuis le début de nos interventions et actuellement, en dépit de la crise, nous avons 20 projets actifs totalisant un financement d’environ 400 millions  dollars (200 milliards de Fcfa) essentiellement dans les domaines de l’énergie, des infrastructures, de l’agriculture », avait indiqué Birama Sidibé, jugeant très positif le bilan de la coopération entre les deux parties. Lire la suite sur Maliactu.net

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Les filles saoudiennes pourront pratiquer des sports à l'école

Les filles vivant en Arabie saoudite pourront, pour la première fois, pratiquer des sports dans des écoles privées, selon une décision annoncée samedi.Il s’agit du plus récent geste à être posé dans le cadre d’une série de réformes croissantes visant à lentement accroître les droits des femmes dans ce royaume ultraconservateur.
Selon l’agence de presse officielle SPA, les écoles privées pour filles peuvent désormais organiser des activités sportives en respect de la charia, la loi islamique. Les élèves doivent respecter les codes vestimentaires «de décence» et les enseignantes auront la priorité pour superviser les activités, selon les exigences du ministère de l’Éducation. Cette décision fait de nouveau du sport une plateforme pour l’amélioration des droits des femmes, près d’un an après que deux athlètes saoudiennes ont eu la permission de participer aux Jeux olympiques, un événement sans précédent dans ce pays. Lire la suite sur lapresse.ca

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Al Walid prochain roi d'Arabie Saoudite

Il semblerait que le prince Al Walid Ibn Talal, l’un des outsiders les plus sérieux à la succession du trône en Arabie Saoudite, trépigne d’impatience. Après avoir effectué il y a quelques semaines une sortie médiatique très remarquée sur plus d’une quinzaine de chaînes de télévision arabes, où il a expliqué sa vision d’avenir pour son pays et tressé des louanges au roi Abdallah, il remet ça par le biais d’un twitt percutant. En effet, mercredi, le prince a mis en garde sur son compte twitter les autorités de son pays contre les « 5 bombes à retardement » qui menacent son pays. Il a cité notamment la non diversification des sources de revenus, l’utilisation abusive de l’énergie, l’explosion démographique et, plus étonnant, le taux élevé du chômage et de la pauvreté. Lire la suite sur maghreb-intelligence

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Destruction d’un patrimoine historique en Arabie Saoudite

Les autorités saoudiennes ont décidé de démolir la demeure d’Abou Bakr Al-Siddîq, dit « le véridique», premier converti et calife de l’Islam en un hôtel de luxe et transformer la maison de Khadija, première épouse du prophète Mohamed en des toilettes publiques. Une pétition de Avaaz.org a été lancée pour arrêter la destruction d’un patrimoine historique relative à la civilisation musulmane.
Prochaine sur la liste, d’après un plan récemment publié : la maison de naissance du prophète Mohamed qui se transformera peut-être en un building avec centre commercial de luxe au grand dam des millions de pèlerins de La Mecque.
Le gouvernement saoudien se livre ainsi depuis plus d’une vingtaine d’années à une campagne de destruction irréversible d’édifices historiques et religieux « pour les remplacer par des hôtels haut de gamme et des centres commerciaux accessibles aux plus riches » dans l’indifférence du monde musulman.
Loin de s’en cacher, il légitime ces destructions d’un patrimoine inestimable par la volonté d’étendre la ville et de maximiser le nombre de pèlerins potentiels, particulièrement les plus aisés. Une position décriée, mais également décrédibilisée par de nombreux experts qui soutiennent que l’extension de la ville peut tout à fait aller de pair avec la préservation de ces sites. D’après de nombreuses voix dissonantes, la véritable raison de ces ravages serait tout autre :ces démolitions seraient mûrement réfléchies, les wahhabites saoudiens, qui ont conquis La Mecque en 1924, voudraient imposer leur marque sur ces lieux saints et empêcher que ces sites ne fassent l’objet de vénération, ceci tout en dopant leur économie de luxe.
Le patrimoine historique de l’islam, trésor tout aussi historique et universel que religieux, est en piteux état : 95 % des bâtiments millénaires de La Mecque et de Médine ont été démolis dans les vingt dernières années.Selon le Président de la Fondation du patrimoine islamique, Irfan Ahmed Al-Alawi, moins de vingt édifices historiques datant de l’époque du Prophète subsisteraient.

La mosquée historique d’Abou Qubais et le fort ottoman d’al-Ajyad ont par exemple cédé la place à un palais et à complexe résidentiel et commercial. Un responsable saoudien sous couvert d’anonymat avait ainsi admis, en 2002, que « La forteresse [d’al-Ajyad] devait être démolie, car c’est le seul moyen d’exploiter la colline [Boulboul] » sur laquelle elle était érigée.La Turquie avait condamné ce saccage, la comparant à la destruction par les talibans, en mars 2001, des bouddhas géants de Bamiyan, et avait saisi également l’UNESCO bien que ce site ainsi que nombreux autres monuments musulmans ne figurent toujours pas sur la liste du patrimoine mondial.
Les nouvelles constructions, buildings et tours futuristes construits sans aucun respect d’une harmonie architecturale ou culturelle, défigurent les sites où elles sont implantées. Il en est ainsi de la Royal Mecca Clock Tower complex, deuxième tour la plus haute du monde doublée d’un centre commercial où les sacs Prada côtoient les tapis de prière, et construite côte à côte avec la Kaaba et la Grande Mosquée, qu’elle écrase de ses 600 mètres de haut.
Une construction qui n’apparaissait pourtant pas dans La grande exposition au British Museum de Londres sur le pèlerinage à La Mecque (de janvier à avril 2012) ;une exhibition, organisée en partenariat avec la Bibliothèque Publique du Roi Abdulaziz à Riyad, qui a également passé sous silence les controversés travaux et projets immobiliers.
Des photos, obtenues par le journal britannique The Independent et datant de mars 2013, montrent également des travaux de destructions sur les dernières colonnes Abbasides et Ottomanes vieilles de plusieurs siècles de la Grande Mosquée. Une de ces colonnes est supposée marquer le lieu où le prophète Mohamed a débuté l’Isrâ’ et le Mi`râj, son « voyage nocturne à Jérusalem» et son « ascension aux cieux » sur une monture appelée Bouraq.
Ce saccage est condamné par AVAAZ, mouvement citoyen mondial, qui appelle à une forte mobilisation par le biais d’une pétition ; 50000 signatures sont nécessaires pour éviter ce vandalisme sous couvert de développement urbain. Grâce à cette pétition, des encarts publicitaires pourront être placés dans les publications destinées aux pèlerins du hajj afin de faire pression sur le roi.
Des protestations de ce type se sont avérées efficaces par le passé, intercédant auprès du roi Abdallah qui a ainsi changé certains de ses plans de démolitions, notamment concernant trois des plus anciennes mosquées du monde, situées à Médine dans le Masjid an-Nabawi (Mosquée du Prophète).
Pour Sami Angawi, spécialiste de l’architecture islamique, il n’y a pas de doute ; si rien n’est fait, nous assisterons aux « derniers jours de la Mecque et de Médine. »
Source: Nawaat.org

Par La Rando

Un virus meurtrier en Arabie Saoudite

Sur les sept personnes infectées à l’est du pays, cinq sont décédées, ce qui porte à seize le nombre total de morts dues à ce virus dans le monde. Que sait-on pour l’heure de ce nouveau virus, que l’on dit proche de celui du syndrome respiratoire aigu sévére (SRAS) qui avait frappé la Chine en 2002 ?

Les spécialistes ont bien identifié le virus, et disposent même de sa carte génétique, puisqu’il a été complètement séquencé. Mais à l’heure actuelle, on ne sait pas grand-chose de ce nouveau virus, comme l’indique le docteur Jean-Claude Manuguera, virologue à l’Institut Pasteur de Paris.
« On ne connaît pas quel est le réservoir de ce virus. Il vient très probablement d’un animal, mais lequel ? On ne connaît pas le moment du passage de l’animal à l’homme, et donc ça en fait un virus un peu difficile à surveiller, et en tous les cas, contre lequel se protéger. » Lire la suite sur RFI