Le top 20 des villes d’avenir en Afrique
La capitale Alger est la cinquième ville d’avenir du continent africain après Tunis (Tunisie) et Casablanca (Maroc), selon la première édition du rapport « Cities of opportunity » du cabinet géant américain PricewaterhouseCoo (PWC), publié sur son site Internet. Pour en savoir plus, il existe de nombreux documentaires et film africain concernant l’évolution des villes d’Afrique. D’ailleurs, nous vous invitons à vous rendre sur le site : www.afrowoodtv.com pour cela, vous y trouverez des articles, des vidéos, de la musique africaine et bien entendu des films.
Lancée à l’occasion de l’Africa CEO Forum 2015, le rapport « Cities of opportunity » établit un classement sur le potentiel actuel des villes africaines en se référant à quatre indicateurs : l’économie, les infrastructures, le capital humain – notamment la santé et l’éducation – ainsi que la démographie. Ces quatre critères englobent eux-mêmes 29 variables, explique PricewaterhouseCoo.
Le potentiel de la ville Alger serait ainsi le 5e plus prometteur dans les années à venir, notamment pour les investisseurs. Elle se situe derrière Le Caire (Egypte), forte de par son infrastructure, Tunis (Tunisie), attirante grâce à ses ressources humaines, Johannesburg (Afrique du Sud) et Casablanca (Maroc), prometteuse par son économie, selon le rapport.
La capitale algérienne enregistre un score de 95 quant à son infrastructure grâce à ses projets de réalisation de lignes de métro et tramway, selon « Cities of opportunity ». Ses ressources humaines et son économie cumulent 77 points, tandis que sa démographie atteint 87 points. La ville réunit donc un score total de 336 point.
En matière de ressources humaines, Alger est à la 4e place du classement trôné par Tunis.
Ses indicateurs économiques la placent au 9e rang, loin derrière Casablanca (1e). Il s’agit principalement du produit intérieur brut par habitant, le taux de croissance et « la facilité de faire des affaires », note PCW dans ce document.
Alger arrive 12e au classement des indicateurs sociaux et démographiques, bien derrière Kampala (Ouganda), 1e au classement et Le Caire (Egypte), deuxième. Les indicateurs de ce critère sont le pouvoir d’achat de la classe moyenne, son développement, le taux de criminalité et la situation politique du pays.
Pour rappel, la capitale algérienne demeure au bas du classement Mercer 2015 sur la qualité de vie. Elle est 187e sur 230 villes répertoriées. Alger se positionne derrière ses voisines maghrébines Tunis (113e) et Rabat (116e). Elle fait un peu mieux que Tripoli en Libye (216e) et Nouakchott en Mauritanie (221e).
Source: huffpostmaghreb.com