Le climat d'affaires en Algérie

Le groupe Sim a été formé, certes, très rapidement depuis l’avènement de l’ouverture de l’économie. Aujourd’hui, il est une entité debout qui a pu, d’abord, asseoir sa base et diversifier ses produits en agroalimentaire et, ensuite, étendre ses activités à d’autres domaines aussi stratégiques et porteurs. Cette réussite nous permet d’entrevoir l’avenir avec beaucoup de sérénité et d’optimisme pour contribuer à renforcer la tendance en Algérie pour une économie forte et une industrie prospère. À ce sujet, nous soulignons l’effort que fait l’État pour la promotion de la production nationale. Toutefois, il y a nécessité de renforcer cet élan et d’ouvrir des perspectives pour l’entreprise algérienne, notamment dans le domaine des exportations. Il nous faut une véritable politique d’aide à l’exportation, comme cela se fait chez nos voisins et dans les pays émergents, pour pouvoir se placer sur les marchés extérieurs, préserver notre expansion, garantir nos outils de production, stabiliser et créer de l’emploi et faire profiter notre économie. L’entreprise algérienne peut devenir un partenaire crédible. Il faut dépasser les conceptions étriquées et limitées qui influent sur l’entreprise au lieu de la laisser s’épanouir. Lorsque l’entreprise va, tout va. Elle ne peut vivre en étant coupée de l’environnement extérieur. Elle a atteint un stade où elle a beaucoup de chances à défendre. Il faut encourager les entreprises qui exportent en les dotant de moyens adéquats. L’avenir appartient à ceux qui exportent.
 
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