Latifa Al Maktoum, fille de l'émir de Dubaï
Princesse de la famille régnante de Dubaï, Latifa Al Maktoum (ici sur New Jimmy’s) est l’une des quatre cavalières internationales engagées dans les épreuves Pro élite du Normandie horse show.Silhouette toute menue, presque frêle sur les grands Selle français qu’elle monte en compétition, Latifa Al Maktoum apporte, depuis vendredi, une touche de féminité aux épreuves professionnelles du Normandie horse show, à Saint-Lô.
Cavalière un peu particulière, puisque flanquée en permanence de deux gardes du corps, la princesse est une fidèle des lieux. « Saint-Lô est mon site de compétition favori, déclare-t-elle en anglais, avec un grand sourire. Il règne ici une atmosphère particulière : le public est respectueux, il vous applaudit toujours à l’issue d’un parcours. Même s’il n’a pas été bon… »
Ce qui n’arrive pas souvent à la fille de l’émir de Dubaï. À 26 ans, Latifa Al Maktoum s’est fait un nom dans la gente cavalière. « Je ne me souviens plus quand j’ai commencé à monter à cheval. J’ai dû débuter en même temps que j’ai appris à marcher ! Ma famille a de nombreux chevaux de courses et d’endurance. Moi, j’ai voulu me démarquer en me spécialisant dans le saut d’obstacles. »
Après des premiers succès en compétition aux Émirats Arabes Unis, la « sheika » a rencontré le cavalier normand Éric Levallois. « C’était en 2003 ou 2004, à Dubaï. Depuis je prépare mes chevaux avec lui. » Notamment sa monture « star », Kalaska de Semilly avec qui elle a participé aux JO de Pékin en 2008.
Rien d’une « people »
Elle partage ainsi son temps entre son pays et l’écurie de l’ancien champion du monde, dans le pays d’Auge (Calvados). « Je m’entraîne en hiver à Dubaï, et l’été, je suis en Normandie. C’est ma deuxième patrie. Éric est formidable. Après son grave accident, il est remonté à cheval. Je suis persuadée qu’il reviendra en compétition l’an prochain. »
Pas people pour un sou, la princesse est aux antipodes de la jet-setteuse : « Les soirées, les clubs, tout ça, ce n’est pas pour moi. Je ne vis que pour le cheval. » Son quotidien ? « C’est l’entraînement, monter, travailler dur ! » Son prochain objectif est de participer aux JO de Londres, l’an prochain. « Mais pour cela, il faut que j’arrive à me qualifier. Les Émirats Arabes Unis n’ont droit qu’à un seul cavalier dans leur délégation olympique. » Latifa Al Maktoum va tout faire pour qu’il s’agisse d’une cavalière.
Ce qui n’arrive pas souvent à la fille de l’émir de Dubaï. À 26 ans, Latifa Al Maktoum s’est fait un nom dans la gente cavalière. « Je ne me souviens plus quand j’ai commencé à monter à cheval. J’ai dû débuter en même temps que j’ai appris à marcher ! Ma famille a de nombreux chevaux de courses et d’endurance. Moi, j’ai voulu me démarquer en me spécialisant dans le saut d’obstacles. »
Après des premiers succès en compétition aux Émirats Arabes Unis, la « sheika » a rencontré le cavalier normand Éric Levallois. « C’était en 2003 ou 2004, à Dubaï. Depuis je prépare mes chevaux avec lui. » Notamment sa monture « star », Kalaska de Semilly avec qui elle a participé aux JO de Pékin en 2008.
Rien d’une « people »
Elle partage ainsi son temps entre son pays et l’écurie de l’ancien champion du monde, dans le pays d’Auge (Calvados). « Je m’entraîne en hiver à Dubaï, et l’été, je suis en Normandie. C’est ma deuxième patrie. Éric est formidable. Après son grave accident, il est remonté à cheval. Je suis persuadée qu’il reviendra en compétition l’an prochain. »
Pas people pour un sou, la princesse est aux antipodes de la jet-setteuse : « Les soirées, les clubs, tout ça, ce n’est pas pour moi. Je ne vis que pour le cheval. » Son quotidien ? « C’est l’entraînement, monter, travailler dur ! » Son prochain objectif est de participer aux JO de Londres, l’an prochain. « Mais pour cela, il faut que j’arrive à me qualifier. Les Émirats Arabes Unis n’ont droit qu’à un seul cavalier dans leur délégation olympique. » Latifa Al Maktoum va tout faire pour qu’il s’agisse d’une cavalière.
Nathalie LECORNU-BAERT.