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Bear Grylls vs Mike Horn : le match des aventuriers

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(@christophe_mesmer)
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Intéressant comme débat mais je pense que les deux sont deux styles différents et il n'est pas bon de comparer les deux personnages.

 
Posté : 13 janvier 2019 1 h 26 min
(@jean-claude)
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Mike Horne est de loin le meilleur je trouve

 
Posté : 16 janvier 2019 17 h 09 min
(@oranais)
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mike horn , l'autre se la joue trop moralisateur

 
Posté : 17 janvier 2019 12 h 17 min
(@vagabond)
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Poitiers l'aventurier Mike Horn en tournage dans la Vienne
https://www.youtube.com/watch?v=PGJ3NAGYhs4

 
Posté : 18 janvier 2019 12 h 01 min
(@patrick)
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c'est aussi la gueguerre entre eux et ya toujours des histoires d'argent
https://www.youtube.com/watch?v=mGfQ8iSAgTM

 
Posté : 19 janvier 2019 22 h 21 min
(@salim)
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c'est quand même une sacrée bande de gamins mine de rien

 
Posté : 21 janvier 2019 22 h 28 min
(@hiker)
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c’est quand même une sacrée bande de gamins mine de rien

mdrr tu l'as dit, bienvenue en 2019

 
Posté : 22 janvier 2019 21 h 07 min
(@jean-claude)
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hiker, une bande de gamins en mode businessman, ces deux là se font un paquet de fric avec leurs emissions tv et leur livre vendus

 
Posté : 28 janvier 2019 18 h 19 min
(@nassim)
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ça a commencé ici ===========>

"Cap Horn" sur M6: Mike Horn s'émancipe de Bear Grylls avec ce nouveau format
L'explorateur propose un nouveau programme filmé pendant l'une des étapes de son tour du monde commencé en 2016.

Mike Horn n'est pas un animateur mais un explorateur et il tient à le faire savoir. Le célèbre aventurier sud-africain est de retour pour une nouvelle aventure qui n'a rien à voir avec celles proposées par le passé sur M6. A l'occasion d'une conférence de presse début septembre à laquelle Le HuffPost a assisté, Mike Horn a expliqué les contours de "Cap Horn", diffusé ce jeudi 27 septembre .

Cette fois, il n'est plus question de traîner un aventurier en herbe et ses caprices à l'autre bout du monde. Après six épisodes de "A l'état sauvage", où l'aventurier a guidé des personnalités pour leur enseigner les techniques de survie, Mike Horn prend maintenant les choses beaucoup plus au sérieux.

Tout commence en mai 2016 quand Mike Horn entame son projet "Pole2pole", son aventure folle qui lui fait relier les deux pôles dans un tour du monde inédit. Une aventure à laquelle M6 et la boîte de production EndemolShine ont proposé de faire participer une célébrité, sur l'une des étapes. Et c'est Arnaud Ducret qui a eu le privilège d'accompagner Mike Horn dans une partie de son périple dans l'archipel des Philippines, où l'aventurier n'a rien épargné à l'acteur.

Ce tout nouveau programme permet au Suisse d'adoption de prendre son indépendance vis-à-vis de Bear Grylls, aventurier britannique très médiatique connu pour "Man Vs Wild", et d'autres émissions exportées et adaptées dans le monde entier, notamment par Mike Horn.
"Bear Grylls n'est pas un aventurier"

Comme l'explique l'explorateur, "A l'état sauvage" n'était plus en phase avec ce qu'il est vraiment. "J'ai repris deux des programmes de Bear Grylls, "The Island" et "The Running Wild" ("A l'état sauvage"), mais maintenant je veux participer plus, je veux montrer le vrai côté aventurier", explique celui qui se vante à juste titre d'être le seul à avoir traversé l'Antarctique sans moteur et en solitaire "parmi les 7 milliards de blaireaux sur Terre".

Selon lui, les formats adaptés par le passé ne lui permettaient plus de s'exprimer, et le cadre imposé par le cahier des charges de la production limitait ses volontés d'exploration. "Je faisais comme je voulais, jusqu'à ce que je ne puisse plus, regrette-t-il. Si le projet n'est pas à toi, tu ne peux pas être toi dans la nature", lance-t-il.

En novembre 2017 dans les colonnes de Society à l'annonce de l'arrêt de l'émission sur M6, Mike Horn avait expliqué qu'il n'avait plus envie de "travailler indirectement" pour Bear Grylls. "Comme c'est son format, il touche plus d'argent que moi", avait-il regretté.

S'il veut voler de ses propres ailes, l'explorateur professionnel explique avoir besoin de se détacher de l'image de celui qui a tout d'un rival. "Bear Grylls est super dans tout ce qu'il fait, sauf qu'il n'est pas un aventurier, lâche-t-il. C'est un bon animateur et il est meilleur que moi dans ce travail. Il ne vit pas au travers de ses expéditions. Oui, il était dans les forces spéciales de l'armée britannique mais il n'a jamais été opérationnel en guerre. Je ne veux plus être lié à Bear Grylls mais plus à moi-même".

sources huffingtonpost.fr

 
Posté : 8 février 2019 13 h 13 min
(@silex)
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Je le comprends tout à fait. Travailler pour quelqu'un dans ce domaine là, réduit son image grandement

 
Posté : 9 février 2019 12 h 27 min
(@salim)
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on a vu que bear grylls etait soupçonné de trucage mais mike horn aussi s'est fait accusé pour l'emission

Un expert de la survie suspecte Mike Horn de trucage dans À l'état sauvage : il rétorque !

Rémi, expert sur Wild, la course de survie, soupçonne certaines séquences de l'émission de Mike Horn, À l'état sauvage, d'être "bidonnées". L'aventurier dément formellement.

Nicolas, Éléonore et Rémi sont tous experts dans l'émission d'aventures Wild, la course de survie, sur M6. Mais avant d'accepter d'y collaborer, ils ont voulu s'assurer que l'authenticité serait bien au rendez-vous, contrairement à des programmes comme Man Vs Wild de Bear Grylls, que Rémi prend pour "de la télé-réalité"… "J’ai eu un gros doute avant de participer à Wild, dit-il. Il était hors de question pour moi d’embellir ou de trafiquer ce que nous allions vivre". Car Rémi cultive le doute…

En effet, selon l' expert de Wild, la course de survie, même Mike Horn aurait aussi succombé aux sirènes du petit écran. "C’est le plus grand aventurier de notre génération mais certaines séquences d’À l’état sauvage n’étaient pas authentiques pour moi. Dans l’émission avec Shy’m, Mike Horn attrape un pigeon à l’aide d’un carcan, et c’est impossible de mon point de vue. Je suis persuadé que le pigeon a été placé là pour faire une séquence." Des accusations que l’intéressé réfute.

"Je ne ferais pas de télévision si c’était truqué s’emporte-t-il. Ce n’est pas la production qui a mis le pigeon. Je n’ai pas placé un piège n’importe où, j’ai repéré les lieux avant. Parfois, on n’attrape rien, bien sûr. Mais dans ces cas-là, ça fait aussi une histoire à raconter..." Un démenti confirmé par la production: "Ce sont nous, les équipes, qui nous adaptons à Mike Horn et aux participants, explique Angélique Sansonnetti directrice des programmes du pôle Factuals chez EndemolShine France. L’aventure, on la filme : on ne la produit pas."

source programme.tv

 
Posté : 12 février 2019 12 h 57 min
(@alizeroual)
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jalousie quand tu nous tiens, tous jaloux de horn. ce rémi, veut juste creer le buzz et se faire connaitre. petit comme methode

 
Posté : 12 février 2019 21 h 19 min
(@nassim)
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De la jalousie et une envie de se faire connaitre. Parfois faut savoir se la fermer.

Ya une belle interview avec Illustré.ca qui date de plusieurs années mais toujours agréable à lire

A 51  ans, tout va bien: une traversée du pôle Sud en solitaire cet hiver, une célébrité qui a explosé grâce à ses émissions sur la chaîne M6. Mike Horn se prépare pourtant à entamer une mystérieuse troisième vie.
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Est-ce que cela a du sens de demander à quelqu’un comme vous si vous allez bien?

Mais oui, pourquoi pas? Je ne suis pas si différent de la moyenne des gens, vous savez. Alors oui, je vais très bien. Parce que j’ai réalisé ce très vieux rêve d’une traversée en solitaire de l’Antarctique par le chemin le plus long. C’est un poids que je n’ai plus à porter, ce défi réussi. Car cela faisait douze ans que j’avais imaginé cette expédition, que je lisais les récits de Scott et des autres explorateurs de ce sixième continent. C’était devenu presque obsessionnel.

Vous étiez déjà en plein Antarctique, en 2008, quand votre épouse Cathy vous a annoncé, par téléphone satellite, qu’on lui avait diagnostiqué un cancer du sein. Cela a-t-il contribué à vous motiver?

Oui, il y avait peut-être aussi ce très mauvais souvenir à conjurer. Mais c’est surtout le fait que j’avais préparé une bonne partie de ce projet avec elle qui me donnait une motivation supplémentaire. Après sa mort, il y a bientôt deux ans, j’ai mis une année avant de me décider à y aller. Ce sont mes filles qui m’ont dit «on veut que tu partes au lieu de traîner par ici».

BLAISE KORMANN
"Cette fois je suis sans doute arrivé au sommet de ma courbe de performance".
Cette expédition était-elle donc une manière de vous aider à faire le deuil de votre épouse?

Oui, je pense que c’est en effet quelque chose comme ça. Je suis d’ailleurs allé juste après en Nouvelle-Zélande, dans l’île du Sud, avec ma fille Annika, pour voir le pays où Cathy avait grandi. Nous avons passé un mois et demi dans les montagnes, sur les glaciers. C’était merveilleux de voir de la vie, des arbres, des fjords, après cet Antarctique qui est une gigantesque étendue désolée, presque morte. Et ensuite j’ai traversé le désert de Simpson, en Australie, avec mon autre fille, Jessica. Puis j’ai sauté sur mon bateau pour remonter vers la Papouasie. Je l’ai laissé en Nouvelle-Calédonie pour rentrer quelques jours en Suisse donner les conférences que mes filles ont organisées. Elles ont vraiment pris le relais de leur mère.

Un triomphe, ces conférences… Vos filles Annika et Jessica craignaient d’avoir vu trop grand en louant la Salle Métropole à Lausanne, avec ses 1200 places. Mais les 2400 billets prévus initialement se sont arrachés en quelques minutes. Finalement, vous l’avez remplie six fois au lieu de deux!

Oui, c’est nouveau un tel engouement. Certains spectateurs sont même venus d’Espagne et du Maroc. Et ce sont en majorité des jeunes. Certains n’étaient même pas nés quand j’ai descendu l’Amazone à la nage. Du temps de Cathy, on remplissait des salles de 200 ou 300 personnes avec un public local.

Est-ce l’effet télévision, selon vous?

Oui bien sûr. C’est ma participation aux émissions sur M6, surtout la dernière, A l’état sauvage, qui explique en bonne partie ce saut quantitatif. Et je reconnais que ça tombe bien, car il faut que je gagne ma vie! Le monde du sponsoring évolue en effet profondément depuis quelques années. Les sponsors répartissent de manière beaucoup plus large leurs soutiens, plutôt que de se concentrer sur quelques projets importants. Alors je dois donner des conférences, écrire des bouquins et continuer de faire de la télévision si je veux financer de nouvelles expéditions. Et dans le fond, c’est très bien comme ça.

Une bonne affaire donc la télévision, même si vous avez longtemps refusé de prêter votre image au petit écran?

Je ne me vois toujours pas comme un animateur. Et je ne le serai jamais. Je suis et je reste un explorateur. Mais dans cette dernière émission, je crois qu’on a réussi à proposer quelque chose d’authentique. Et c’est ce qui a plu à tant de gens, en particulier aux jeunes. Ce n’est vraiment pas du chiqué. Sinon j’aurais très vite arrêté. Or là, l’audience est si bonne que les responsables de la chaîne veulent continuer notre collaboration.

Passer de cette folle épopée solitaire de deux mois dans l’Antarctique à une conférence devant 1200 personnes, cela vous demande un temps d’adaptation?

Non, parce que je suis toujours le même. Je crois que c’est justement quelque chose que les gens apprécient chez moi, cette authenticité. Je ne mets pas des masques en fonction du contexte. Que ce soit à la télévision ou en conférence, en interview, dans mes livres ou dans ma vie privée, je reste le même, je suis toujours moi-même. Je ne me force jamais.

Il y a vingt-sept ans, vous atterrissiez à l’aéroport de Zurich et vous avez traversé la Suisse à pied, comme un vagabond, presque sans un sou en poche. En quoi êtes-vous différent aujourd’hui de ce jeune Sud-Africain de 24 ans?

En fait, j’ai l’impression que j’ai des dettes aujourd’hui par rapport à cette époque. Je veux dire par là que ma notoriété m’a enlevé une partie de cette liberté qui était la mienne quand je suis arrivé ici, après avoir volontairement renoncé à ce que j’avais gagné en Afrique du Sud. C’est ça le grand changement entre ma jeunesse et maintenant.

Vous n’êtes donc pas un homme libre, contrairement à l’image que vous donnez?

En fait, ma liberté, je ne la récupère que quand je suis en expédition. C’est paradoxal, car le temps libre, les vacances, ce n’est normalement pas fait pour prendre des risques, mais au contraire pour se reposer. Or moi, ma liberté, mon temps libre, c’est quand je mets ma vie en danger.

Et ce sera toujours ainsi? Vous vous infligerez toujours ces prises de risque?

En fait, je pensais que j’avais assez d’expérience et que j’étais assez fort pour réaliser cette traversée record du pôle Sud. J’ai bel et bien réussi, mais j’ai aussi réalisé à la fin de l’expédition que je serais incapable de le refaire. Parce que je dois avouer que, cette fois, ça a été vraiment limite… J’ai compris que je devais commencer à faire gaffe. Quand tu fais 5800 kilomètres en deux mois, tu dois te surpasser tous les jours. C’est très différent, par exemple, de l’ascension d’une montagne qui ne prend que quelques jours. J’ai frôlé plusieurs fois la catastrophe durant cette dernière expédition. Et dans un environnement où se faire secourir est très difficile. Cette fois, je suis sans doute arrivé au sommet de ma courbe de performance.

Vous allez donc changer de vie, ralentir la cadence?

J’ai le sentiment que j’arrive en effet à la troisième période de ma vie. Je ne sais pas encore vraiment de quoi sera fait ce nouvel acte. Mais j’ai envie de tout quitter, et de tout recommencer. Quand Cathy est décédée, j’ai d’ailleurs légué mes biens de manière anticipée à mes filles. C’était le début de ce processus de changement. Je n’ai plus de maison. Quand je viens en Suisse, je dors sur leur canapé, je squatte chez elles en fait. Ce n’est plus moi qui prends soin de mes enfants, c’est l’inverse.

Mike Horn a-t-il vraiment besoin qu’on prenne soin de lui?

Tout le monde a besoin de se faire soutenir, surtout moi! La famille, notamment, c’est central pour trouver une motivation.

Chacun peut-il changer de vie de manière radicale comme vous semblez vouloir le faire à nouveau?

Je ne sais pas. C’est une question d’envie. Si le besoin de vivre une vie en accord avec soi-même, une vie avec plus de sens, est plus grand que la peur de perdre son confort et ses habitudes, je pense que tout le monde peut repartir de zéro.

Y a-t-il un point commun entre l’époque où vous étiez soldat dans les forces spéciales d’Afrique du Sud et combattiez les rebelles de l’ANC et ces heures passées à traverser l’Antarctique à skis, tiré à toute allure par votre kitesurf et traînant derrière vous une luge de plus de 200 kilos?

En fait, c’est presque exactement la même chose. J’étais, dans les deux cas, à la base de la pyramide des besoins théorisée par le psychologue Abraham Maslow: il s’agissait de tout faire pour rester en vie. C’est cette sensation, vouloir rester en vie, que je recherche à travers mes expéditions. Il y a une sorte de dépendance à cette sensation forte. Quand elle n’est pas là, j’ai l’impression que je ne vis pas. Quand j’avais 18 ans et que j’étais dans les forces spéciales en Angola, je ne voulais surtout pas mourir. C’était mon seul but: rester vivant. Durant ces deux années passées dans le bush, à voir mourir des gens autour de moi, je me suis répété: «Reste en vie.» Comme explorateur, j’ai pu ajouter la notion de but, comme faire le tour du monde par l’équateur. Et ce but ajoute du plaisir. Heureusement.

Y a-t-il des choses que vous ne direz jamais?

Dans la vie, il ne faut rien cacher. Car un jour ou l’autre, tout finit par se savoir. Surtout quand on est un petit peu connu. C’est un autre désavantage de la notoriété. Je ne peux plus aller boire des verres et faire l’imbécile. Cela détruirait mon image. Donc oui, je dis tout, mais je fais attention à mon comportement.

DMITRY SHAROMOV
Annika et Jessica ont monté leur boîte de communication et gèrent désormais la carrière de leur père.
Alors puisque vous ne cachez rien, je me permets de vous poser une question totalement indiscrète: avez-vous une nouvelle compagne?

C’est la question qui fera justement exception à ma règle de transparence. Parce qu’il s’agit de vie privée d’abord. Mais aussi parce que nous formions un quatuor familial extrêmement soudé avec Cathy et nos deux filles. Et mon épouse est décédée il y a moins de deux ans seulement. Mais il est en effet normal qu’un homme, ou une femme, qui se retrouve veuf ressente, après quelque temps, le besoin d’avoir quelqu’un à ses côtés. Mes filles et moi préférons cependant rester très pudiques sur nos vies affectives. Même d’ailleurs entre nous.

Votre plus grand succès?

Je ne fais rien de bien, mais je reste vivant. C’est ça mon plus grand succès.

Votre plus grand échec?

C’est le décès des gens que j’aime. Je ne peux pas m’empêcher de prendre ces disparitions comme des échecs personnels dans la mesure où j’avais toujours pensé mourir en premier, avec les risques que je prends.

Votre plus grand regret?

J’ai compris trop tard comment la vie fonctionne vraiment. Mais en fait, je pense qu’il ne faut pas avoir de regrets. C’est stérile.

Le plus beau moment de votre vie?

C’est le jour où j’ai dit à mon père, à l’âge de 8 ans, que je voulais devenir comme lui. C’était après un match où il avait marqué un essai décisif pour l’équipe nationale d’Afrique du Sud. Et il m’avait répondu que je pouvais être mieux que lui. Cela a été fondateur de tout ce que j’ai fait ensuite. Quand on a un modèle absolu, comme c’était le cas pour moi avec mon père, et qu’il vous dit que vous pouvez faire encore mieux, c’est une véritable révélation.

 
Posté : 13 février 2019 10 h 50 min
(@alizeroual)
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j'aimais bien bear grylls, il a bercé ma jeunesse et fait aimer l'aventure, faut pas qu'on crache totalement dans la soupe non plus

 
Posté : 22 février 2019 13 h 17 min
(@salim)
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Bear Grylls risque des poursuites après avoir tué et fait bouillir une grenouille

Les autorités bulgares accusent l'aventurier d'avoir violé les règles en vigueur dans les zones protégées de leur pays.

Les autorités environnementales de Bulgarie envisagent de condamner l'aventurier britannique Bear Grylls pour avoir tué une grenouille dans une zone protégée. Dans un épisode filmé en 2017 dans les montagnes de Rila, en Bulgarie, on peut en effet voir l'aventurier tuer et faire bouillir l'animal sur un réchaud de camping avant d'aller nager dans un lac interdit à la baignade.

"D'après les images, il est évident qu'il y a eu plusieurs violations du règlement en vigueur dans les zones protégées lors du tournage comme nager dans le bassin du lac Karakashevo, allumer un feu, et attraper et tuer un animal", a déclaré le ministère de l'environnement dans un communiqué.

La société de production de l'émission encourt une amende pouvant aller de 500 à 5.000 €, tandis que Bear Grylls pourrait être condamné à payer une amende de 250 à 2.500 €.

Le parc national de Rila, dans le sud-ouest de la Bulgarie, est le plus vaste du pays. D'après le ministère, l'équipe de tournage avait été informée de ce qu'elle pouvait et ne pouvait pas faire dans cette zone protégée.

Les autorités ont ajouté qu'elles enquêtaient également sur les éventuelles défaillances des responsables de l'administration du parc qui accompagnaient l'équipe de production.

source 7sur7.be

 
Posté : 4 mars 2019 12 h 06 min
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