Créer sa boîte aux Emirats arabes unis

Zones franches, infrastructures internationales… Les Emirats arabes unis attirent les entreprises européennes. Mais ce mouvement stratégique à un coût : 70.000 euros minimum pour une entreprise située hors zone franche. Avec une nouvelle zone franche industrielle adossée à un port de conteneurs en eau profonde flambant neuf, un terminal aéroportuaire en construction qui devrait tripler la capacité actuelle à 30 millions de passagers en 2017, des chantiers immobiliers alimentés dans 4 ans en énergie nucléaire, et bientôt le deuxième plus grand mall du Moyen-Orient, Abu Dhabi a engagé sa diversification. Nouvelle zone franche financière d’ici fin 2013! Capitale d’une fédération de sept Emirats, dont celui de Dubaï, cet ville émirat, qui couvre 87 % du territoire et vit de son pétrole, ouvre d’ici à la fin de l’année une autre zone franche, financière cette fois. « Toutes les zones franches de Dubaï – il y en a une trentaine – ont eu du succès, même pendant la crise », affirme Sébastien Henin, gestionnaire de portefeuille à la banque The National Investor d’Abu Dhabi. « Abu Dhabi veut se lancer sur ce créneau et s’ouvrir aux PME mais la différence, c’est que beaucoup de choses sont encore à l’état de projet ». Lire la suite sur LesEchos.fr