Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres !
– Le tee-shirt à manches courtes ou à manches longues : multi-usages – Le marcel : un come-back branché – Le pull col en V : il va à tout le monde – Le Caraco en soie : irrésistible l’été, sous un pull ou une veste l’hiver – La chemise blanche : une mine de possibles – Le twin-set : à porter avec ou sans le gilet
Et si il reste encore de la place dans le placard …
– Le pull col roulé : surtout si je suis plutôt mince – Le cache-cœur : qui réchauffe avec un brin de romantisme – Le gros pull irlandais : pour la touche cosy – Le chemisier à lavallières : so chic – Tous les autres qui me plaisent et vont me permettre de changer de silhouette sans avoir à renouveler tout mon placard : la blouse folklorique, la tunique ethnique, la marinière, le chemisier victorien, le sweat-shirt, le gilet acidulé …
Attention aux pièges
– Le soutien-gorge mal adapté : soit parce qu’il est rembourré et que ça fait complètement artificiel sous un top fin, soit parce qu’il est blanc et qu’on ne voit que ça sous le T-shirt. La solution ? Le naturel, avec un bonnet d’une taille à peu près réaliste et une couleur chair qui se fond sur la peau. – Les T-shirts rétrécis, les brassières ou les mini-gilets ne vont qu’aux filles ultra-menues, et menacent les «normales» de pouffe attitude. J’évite donc de m’habiller au rayon ados ou de vouloir absolument rentrer dans un 36. Et je montre mon nombril avec parcimonie ! – A l’inverse, j’évite de cacher mes rondeurs dans un grand pull informe : ça ne fera qu’accentuer l’effet Bibendum. Dans le même ordre d’idée, les grosses poitrines doivent fuir les cols ras du cou et les cols roulés qui ne font qu’ajouter en volume. Vive les cols en V et les cardigans pour tout le monde ! – Attention au top bouffant (par exemple, une blouse roumaine) porté avec une jupe ample ou un pantalon large. Même la brindille passerait pour une grosse fermière ! Il faut contre-balancer les proportions : un haut ample avec un bas ajusté, ou l’inverse. – Les T-shirts cintrés sont rarement à rentrer dans la jupe ou le pantalon : à moins d’étrangler la taille dans une grosse ceinture, ils risquent d’ajouter de l’épaisseur. En revanche, pas question de laisser pendouiller un chemisier trop long. La chemise blanche est plus facile à manier : dedans, dehors, nouée sur le creux du ventre, elle se prête à toutes les interprétations.
Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …
– Passé 18 ans, non au T-shirts à messages vulgaires ou bébêtes ! Si message il y a, celui-ci doit être un minimum féminin ou glamour. Et au-delà des premières rides, mieux vaut miser sur le fait que c’est mon expérience et ma maturité qui parlent – pas mon T-shirt ! – On n’a pas tous les jours 20 ans : A cet âge, on a droit à toutes les expériences. Même les erreurs peuvent donner des résultats étonnants ! Donc, on oublie les basiques (qui seront de précieux alliés, mais plus tard) et on ose les chemisiers déstructurés, les T-shirts rock n’ roll et autres hauts effilochés. – Les tops sans manches sont à bannir au-delà d’un certain âge : quand le haut de bras devient moins ferme – pas flatteur pour l’égo, mais mieux vaut que ce soit moi qui en prenne conscience plutôt le reste de la planète. Les remèdes sont légion : les manches trois- quart, le twin-set, la veste ou le châle par-dessus … – De même, j’évite le décolleté profond si celui-ci n’est pas parfait ou alors je glisse un joli foulard dedans. Sinon, un col en V pas trop plongeant me suffit.
Placard ou poubelle ?
Poubelle Je l’adore … … mais les tâches de sueur sous les bras ne veulent pas partir. Je l’ai mis plein de fois … … c’est pour ça qu’il bouloche ? Il est confortable … … on pourrait en glisser trois comme moi dedans. La couleur est originale … … c’est sûrement pour ça qu’elle ne me va pas. Il est sexy … … il n’est pas trop petit ? C’est de la pure laine vierge … … aïe, aïe, aïe, qu’est-ce qu’il gratte ! Placard Il est démodé … … toutes les modes reviennent un jour ou l’autre. Il est transparent … … et le débardeur en dessous, j’y ai pensé ? J’en ai plein d’autres … … génial, je vais pouvoir tester des tas de superpositions. Les cols ras du cou, c’est niet … … un coup de ciseaux, et c’est un col en V. Un top à paillettes ? Je ne sors jamais … … et alors ? Pas la peine de passer sa vie en boîte pour briller de mille feux. Ma copine vient d’acheter le même … … c’est elle qu’il faut mettre à la poubelle !
Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres !
– Le pantalon noir : qu’il soit large ou cigarette, incontournable ! – Le treillis : devenu un basique – Le pantalon en tweed : pour changer un peu – Le pantalon large : avec ou sans revers, toujours flatteur – Le jean : essentiel intemporel dont la coupe doit être adaptée à notre morphologie
Et si il reste encore de la place dans le placard …
– Le pantalon à rayures banquier :surtout pétillant l’été, dans un tissu léger – Le pantalon velours milleraies : se porte comme un jean – Le pantalon de smoking : totalement mésestimé – Le pantacourt : à manier avec précaution cependant
Attention aux pièges
– Le plus répandu : les contours de la culotte qui se voit sous un pantalon moulant ! Recours obligatoire : le string qui ne fait pas de marques. Et si j’ai horreur de ça, je me rabats sur des pantalons avec moins de stretch, mais toujours bien ajustés sur le derrière. Ou alors je pars en quête d’une culotte à coutures plates invisibles. – Il y a des pantalons auxquels il faut tout bonnement interdire l’accès à son placard : le caleçon long (ou leggins) qui n’est beau que sur une silhouette de mannequin et fait passer n’importe quelle autre fille pour un petit tonneau ; le fuseau qui a eu son heure de gloire dans les années 1980 alors qu’il transforme la jambe en un cône pas très appétissant ; et le pantalon à pinces qui nous fait des grosses fesses à toutes sans exception. – Pas de soucis pour l’uni. Mais je réfléchis à deux fois quant aux imprimés : Faciles, les rayures banquier, même rouges sur fond écru, elles peuvent être charmantes. Pour les carreaux, j’essaie d’imaginer ma grand-mère avec : si je trouve que ça lui va bien … alors je passe mon chemin. Car même en les associant à un top ultra-glamour, ça me rajoutera toujours dix ans. Il y a un cas pour lequel je n’hésite pas : les inscriptions sur les fesses, c’est in-ter-dit ! – Taille haute ou taille basse ? Vaste débat. La taille haute fait, au mieux, vieillot, et au pire, boudiné, sur la plupart des filles. Seules les très grandes et très minces en réchappent. La taille basse a l’avantage de couper en deux le derrière et de le faire paraître moins volumineux. Mais un petit bourrelet qui dépasse, et c’est raté. La solution ? Le cas par cas. Prévoir du temps en cabine pour essayer tous les modèles ! – Une erreur de jugement ultra-fréquente : acheter un pantalon en prévision des cinq kilos que l’on a prévu de perdre. Non ! Je choisis un pantalon pour être fabuleuse maintenant, pas dans trois mois. Car qui sait si je vais maigrir plutôt du ventre, des hanches ou des cuisses ? Et puis qui sait si je ne suis pas sublime avec mes courbes, à condition de choisir le modèles qui les mettra en valeur ?
Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …
– Une fois soufflé la bougie de mon trentième anniversaire, je renonce définitivement au treillis plein de poches, de zips et de patchs. L’arrêt du baggy ultra-taille basse n’est pas loin non plus, et d’une manière générale de tout ce qui est le privilège des vrais «djeun’s». – Arrivée à la cinquantaine, plus le pantalon est simple, mieux c’est : des lignes fluides pas trop moulantes, des belles matières, des teintes en sourdine, avec en haut une blouse à lavallières ou un chemisier en mousseline. Pour un peu plus de fantaisie, j’essaie le pantalon de marin : sa jambe large est là pour flatter ma silhouette, tandis que ses boutons personnalisent mon style. – Et je n’ai pas de complexe à aller m’acheter … une gaine. Pourquoi seules nos grands-mères auraient-elles le droit de profiter de son effet lifting pour le corps ? Avec, je peux porter des pantalons droits sans avoir à rentrer le ventre ! – Ce qui risque en revanche de me faire passer illico dans le camp «mémère» : le tailleur trop trop strict, genre pied-de-poule des pieds à la tête. La solution ? : Dissocier le bas du haut (par exemple, remplacer la veste par un twin-set ou un chemisier seul) pour un coup de jeune immédiat. – Quelque soit l’âge, le pantacourt peut donner des allures de petite fille attardée. A 20 ans, je peux encore m’amuser à lui associer ballerines et marinière façon Audrey Hepburn : candide, mais pas neuneu. A 50 ans, mieux vaut oser les mules à talons et le haut de chemisier déboutonné, façon Marilyn. Dans tous les cas, j’évite de lui associer le rose layette, les fleufleurs ou les T-shirts Hello Kitty !
Placard ou poubelle ?
Poubelle Je si bien dedans … … bonjour le popotin XXL. Celui-là me fait des fesses d’enfer … … dommage qu’il lui manque 5 cm de jambe. J’ai besoin d’un pantalon noir … … pas s’il me boudine les hanches. Un treillis pour le week-end … … en jaune fluo, c’est moche même le dimanche. J’aime les rayures façon banquier … … mais pas des bandes façon Bozo-le-clown ! Placard Je le traine depuis 10 ans … … et alors, s’il me va ? Il fait trop relax … … pas si je le «glamourise» un peu. Il me tombe sur les hanches … … et si je le ceinturais d’une bande de soie ? Il n’a pas de poches, ce n’est pas pratique … … je mets mon mini-sac en bandoulière. La fermeture Éclair est cassée … … hop, chez le couturier !
Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres !
– La jupe trapèze : parce qu’elle va à tout le monde – Le grand jupon : parce qu’il est versatile et très facile à porter – La jupe en soie : parce qu’il n’y a pas plus glamour – La jupe en jean : parce qu’on la met du matin au soir
Et si il reste encore de la place dans le placard …
– La jupe imprimée : pour exprimer sa personnalité – La jupe en tweed : un classique qui a du chic – La jupe en cuir : plus facile à porter qu’on ne croit – La minijupe : si j’ai les jambes qui vont avec
Attention aux pièges
– Le port de la jupe nécessite de se regarder objectivement dans la glace en se disant : «Est-ce que j’ai vraiment envie de montrer mes jambes ?» L’erreur consisterait à répondre : «Ok, je vois bien que mes genoux sont gras et mes chevilles épaisses, mais j’assume et je m’en vais mouler tout ça dans une minijupe stretch.» Assumer consiste plutôt à prendre conscience de mon défaut et à tout faire pour le dissimuler, afin que les autres me prennent pour une déesse ! – Pas question pour autant de m’interdire la jupe. La minijupe et la jupe droite nécessitent d’avoir des jambes parfaites. Mais tous les autres modèles peuvent faire des merveilles avec des bottes ou un collant opaque noir (bannir les couleurs et les imprimés). L’été, une jupe trapèze et des sandales à semelle compensée peuvent avoir suffisamment de volume et de poids pour faire paraître mes jambes plus fines, par contraste. – Il y a une longueur qui ne va à personne : celle qui tombe à mi-mollet, là où celui-ci est le plus épais. Toujours s’arrêter aux alentours du genou, ou alors descendre jusqu’aux chevilles. Point de salut entre les deux ! – Une inquiétude très fréquente chez celles qui rechignent à mettre des jupes : paraître apprêtée. C’est dommage, parce qu’il y a mille et une manières de ne pas avoir l’air en route pour la soirée des Oscars. Exemple : avec des bottes cavalières et un gros pull col roulé, même une jupe en mousseline peut devenir totalement relax ; ou bien avec une chemise blanche qui pend, un caban et une grande écharpe tricotée, même une jupe droite peut paraître week-end. – Les jupes droites ne supportent pas les chaussures plates. A moins d’être très très grande, des ballerines ou des bottes plates risquent de me ratatiner. Tout l’inverse des minis, alliées traditionnelles du plat, mais qui, si la coupe est évasée, supportent aussi les Stilettos. Les grandes jupes fluides peuvent tout admettre – le haut évidemment le plus spectaculaire, mais idéal pour se faire remarquer en soirée !
Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …
– Le mini-kilt court est réservé aux teens. C’est sans appel pour les autres ! Et le kilt long ? A part pour se déguiser en caricature bécebège le jour du carnaval, ou se faire un trip ado rebelle en le portant sur un pantalon, on ne voit pas. – A 20 ans, la jupe droite en lainage risque fort de me transformer en secrétaire rabougrie. C’est le moment ou jamais d’expérimenter et d’être fun, donc je choisis des modèles plus rigolos ! Trente ans plus tard, ladite jupe droite en lainage devient au contraire un de mes basiques. Alors que je peux mettre au feu tout ce qui ne sera pas suffisamment construit et me fera passer pour une belle des champs périmée – les jupes de gitane, par exemple. – La minijupe n’est pas une question de décennie, mais bel et bien de morphologie. La règle est simple : si il reste un espace entre mes deux jambes lorsque je les serre l’une contre l’autre, alors à moi les bouts de tissus extra-small ! Quel que soit mon âge. En revanche, la manière de porter la minijupe diffère un peu selon que je suis plus proche des 20 ans (pas de problème pour y associer tongs et top à bretelles) ou des 40 (mieux vaut faire une croix sur la mini en plein été, et la ressortir l’hiver avec des collants opaques et des bottes). – La jupe en tweed n’est pas réservée à nos grand-mères. Loin de là. Les plus jeunes peuvent lui associer une veste en jean et une casquette gavroche, par exemple. Les autres doivent miser sur deux mots clés qui évitent de se vieillir de dix ans : séduction et féminité ! C’est à dire qu’on ne va pas y accoler un gros pull en laine, mais qu’on va sortir notre plus joli top en soie, ou notre maille la plus proche du corps. – Pareil pour les imprimés qui pourraient a priori nous rendre prêtes pour la maison de retraite : grosses pivoines, rayures orange-marron. Je n’associe jamais ces pièces avec des basiques ; au contraire, je fais tout pour leur donner du style : 20 ans et des brouettes, j’opte pour des détails rock n’ roll; 40 ans et des poussières, je joue la carte du glamour.
Placard ou poubelle ?
Poubelle La coupe évasée me va à ravir … … mais si je respire le bouton saute ! La jupe droite, c’est élégant … … mais je fais du 40, et j’ai cru que ce serait plus sexy en 36. La matière est à tomber … … elle le serait encore plus si cette tâche voulait bien partir. Cette mini est sexy … … mais on voit ma culotte dès que je m’assois. Mes enfants adorent cet imprimé … … c’est pas eux qui se coltinent ces éléphants et ces girafes ! Placard La longueur me fait mamie … … et si on coupait 5 cm d’ourlet ? Elle est transparente … … je vais illico m’acheter un jupon. Je l’ai trouvé chez ma grand-mère … … formidable, du vintage ! L’effet porte-feuille s’ouvre au vent … … une épingle fantaisie ou une jolie broche, et c’est réglé. Je n’ai pas les chaussures qui vont avec … … ça tombe bien, c’est bientôt mon anniversaire.
Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres !
– La robe portefeuille : qui rend si sensuel – La robe à manches longues en matière souple : confortable comme un T-shirt – La petite robe noire : indispensable
Et si il reste encore de la place dans le placard …
– La robe en mousseline : quand je veux être vaporeuse – La robe à bretelles : que je porte été comme hiver – La robe à fleurs : qui me met de bonne humeur – La robe de princesse : car il y aura bien un jour où …
Attention aux pièges
– La robe droite (parfois appelée «robe trois trous» : un rectangle de tissu ouvert aux bras et au cou) nécessite un ventre plat. Le moindre petit bidon se remarque aussitôt et me fait passer pour enceinte de 5 mois. – Une faute qui ressort chaque été : le soutien-gorge apparent, porté au vu et au su de tous, et qui tue la beauté d’une robe dos-nu ou une robe bustier. S’en passer ? Impensable pour les filles à grosse poitrine – ou alors bonjour les seins qui pendent et qui balancent. Pour les robes bustier, la solution consiste à investir dans un soutien-gorge sans bretelles. Pour les robes dos-nu, rien à faire … sauf se souvenir que la prochaine fois, il faudra choisir avec soutien-gorge intégré. L’erreur à ne surtout pas faire est de croire que je peux m’en tirer avec un soutif couleur chair, et que personne ne remarquera cette bande de tissu beigeasse qui me traverse le dos d’un bout à l’autre. – La microrobe qui m’arrive à peine en dessous des fesses et révèle la moitié de mon buste est à proscrire, définitivement. En revanche, dénicher une robe courte à manches longues se révélera une aubaine. Elle n’a même pas besoin d’être moulante, elle peut être en jersey ou en coton souple. Quoiqu’il en soit, elle me suivra partout, pour cocounner à la maison ou pour sortir le soir. J’ai un faible pour les robes bustier ? Ok, mais la jupe doit descendre au moins au genou. Et avant de quitter mon chez moi, je lève les bras dans tous les sens pour vérifier qu’elle ne me trahira pas lorsque je lèverai mon verre pour un toast ou que je m’éclaterai sur la piste de danse. – Attention aux trips historiques. La robe ligne Empire (resserrée sous la poitrine, l’effet en dessous étant celui d’une très longue jupe droite) est plus compliquée que l’on ne croit : elle peut être totalement déplacée sur une fille un peu voluptueuse, et elle risque aussi de noyer les plus minces. Une robe années 1920, fluide, à bretelles, ne soulignant aucune forme ? Je ressemble à un sac. Et une robe fifties, avec sa grosse jupe ballon ? Je suis une montgolfière prête à décoller ! – Une astuce pour permettre aux jambes lourdes de porter quand même une robe : la mettre par-dessus un pantalon. Enfin, plus facile à dire qu’a faire. Car la robe doit être fluide (pas question qu’elle me moule et révèle les détails du pantalon), mais structurée (sous peine de passer pour une pauvresse qui porte tous ses vêtements sur elle). Et moi, je ne dois pas être ni trop maigre (on ne verra que mes deux couches de fringues) ni trop grosse (l’accumulation ne fera qu’ajouter en épaisseur).
Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …
– Les plus jeunes peuvent se permettre beaucoup de choses. Comme les petites robes au crochet avec leurs trous-trous partout : irrésistibles, pour peu que j’affiche une silhouette à peu près longiligne. Surtout, c’est le moment d’user et d’abuser du style romantique, avec son cortège de dentelles froissées, de mousselines et de tissus Liberty, sur les coupes pas trop près du corps. Dans quelques décennies, tout cela me fera passer pour une «vieille jeune fille». – Les seniors ne sont pas à leur avantage dans des robes floues. Le vêtement doit pallier le relâchement du corps. Donc, j’accueille à bras ouverts les robes hyper-structurées. C’est le moment de faire perdurer le mythe de la «petite robe noire». Ou bien de m’offrir une robe en mousseline de très bonne qualité. – A l’évidence, la robe baby-doll est réservée aux plus jeunes – et aux plus audacieuses ! Mais les plus âgées ne sont pas interdites de glamour : une nuisette pas trop étroite, longueur genou, dans une soie irréprochable, fera des ravages sous un cardigan ou une veste d’homme ! – L’âge rendant le haut du bras un peu flagada, je ne porte mes robes sans manches qu’avec un gilet ou une veste. Le thermomètre frise les quarante degrés ? Une robe à petites manches flottantes est l’idéal ! J’évite les manches ballon, qui accentuent le volume «à l’entrée» et compriment la chair «à la sortie». – Je suis quinquagénaire … mais certains imprimés risquent de me faire passer pour une septuagénaire. Lesquels ? Ceux qui sont justement l’apanage des très vieilles dames : pot-pourri de petites fleurs, gros carreaux rouges et gris, tweed marronnasse … Il n’y a que sur une toute jeune fille qu’une robe dans un de ces tissus peut paraître drôle et décalée.
Placard ou poubelle ?
Poubelle Elle est idéale pour un cocktail … … c’était sûrement vrai avant cette tâche de moutarde. Je l’ai payée une fortune … … la couleur me donne mauvaise mine. Le décolleté est original … … mais il m’écrase les seins. J’adore ces grosses fleurs … … on ne voit plus qu’elles : où-qu’elle-est la jolie fille ? Une robe dos-nu, c’est troublant … … mon dos est un peu gras, je passe mon tour ! Placard Robe noire sans rien de spécial … … à réveiller d’urgence par une ceinture originale. Fleurs façon David Hamilton, pas pour moi … … avec une veste militaire, ça change tout. Cette robe-chemisier est trop courte … … et si je la portais sur un jupon en tulle ? Cette robe à bretelles m’arrive au ras des fesses … … elle sera super par-dessus un jean. Elle montre trop ma peau de zombie … … une robe à bretelles sur un T-shirt manches longues, j’adore !
Avant d’écumer les soldes ou d’arpenter les galeries marchandes, un petit tour d’horizon de notre dressing s’impose … Qu’est-ce qui me manque ? Que dois-je remplacer ? Quels sont les incontournables ? Les erreurs à ne pas faire ? Réponse en 6 chapitres !
– Le blazer noir : le basique des basiques – La veste en tweed : idéale pour l’hiver – La veste en coton : que j’enfile l’été comme un gilet – La veste en jean : pour tous les âges
Et si il reste encore de la place dans le placard …
– La saharienne : indémodable – La veste militaire : devenue un classique – La veste chinoise : pour changer – La veste en velours frappée fermée par un nœud en soie : si sophistiquée
Attention aux pièges
– Bizarrement, de nombreux modèles hérités des années 1980 ont échappé à la sanction du vide-ordures. Les épaulettes, les tissus mous, les coupes loin du corps, le bleu marine avec des boutons dorés, toutes ces affreuses reliques courent encore les rues. Stop ! Et évidemment, on ne retrousse plus les manches de sa veste comme au temps de Deux Flics à Miami … – Les longueurs de vestes peuvent être un vrai casse-tête. Premier cas : je porte un pantalon, et j’ai envie d’une petite veste qui m’arrive à la taille … hélas, à moins que mon derrière ne soit XXS, on risque de ne plus voir que lui. Mieux vaut se reporter sur un modèle plus long. Deuxième cas : puisque ma veste longue est sortie du placard, je décide de l’enfiler sur une jupe trapèze … mais, non ! Tout cela risque de créer trop de volume au niveau des hanches. Mieux vaut choisir cette fois le modèle court. Avec une jupe «crayon», c’est l’inverse : la veste longue glissera harmonieusement le long des courbes. – La veste à col Mao est chic et pratique … mais, à vrai dire, surtout sur les cous de cygne. Car le col montant comprime les cous épais. Et celles qui n’ont pas de cou risquent de se retrouver avec la tête liée au reste du corps. – Les grosses poitrines doivent éviter la veste courte qui se boutonne jusqu’au cou, sous peine de ressembler à un carré. Un blaser porté déboutonné fera le même effet qu’un décolleté en V : dangereusement sensuel ! – L’hiver, la veste constitue une alternative au manteau. Mais, j’évite l’accumulation de gros pulls en dessous : sinon, bonjour l’effet Bibendum. Un tricot de corps et une petite chose fine en mohair me mettront plus à mon avantage. Il m’est tout à fait autorisé en revanche de sortir mon écharpe en grosse laine et de la tourner autour de mon cou autant de fois que j’en ai envie.
Parce qu’on n’a pas toujours 20 ans …
– C’est dommage, à 20 printemps, d’associer mon air de jeune fille fraîche à des vestes de tailleur sévères. A moins de les rendre vraiment rock n’ roll avec un jean déchiré et une chemise de créateur ! Car à cet âge, la veste gagne à être l’objet de tous les décalages. Par exemple, un blazer classique peut s’intégrer à un total-look ethnique avec une jupe en patchwork qui m’arrive aux chevilles et une multitude de colliers venus des quatre coins du globe. – Trente ans plus tard, c’est autre chose : la veste est devenue ma plus fidèle amie. Elle a le don de camoufler mes défauts (comme une poitrine un peu tombante), de fluidifier ma silhouette (surtout si elle est longue) et de me donner une élégance innée. – Mais, attention, une allure trop sage peut vite devenir ennuyeuse. Pour plus de peps, je mise sur des détails avec un poil de fantaisie. Comme une veste à manches trois-quarts, desquelles je laisse dépasser mon chemisier, une accumulation de gros bracelets, ou rien du tout. Ou comme une veste portée sous une grosse ceinture en cuir : ça restructure la silhouette en un battement de cil. – Les matières irisées créent un effet lifting immédiat et prêtent très bien aux vestes. Pas besoin d’attendre le soir pour en porter une noire sur un T-shirt blanc, avec un joli pendentif. Ou pour explorer toutes les gammes de couleurs : ivoire, anthracite, taupoe, bordeaux … – Et le boléro, c’est pour qui ? Pour toutes ! Cette veste ultra-courte est adorable en version paillettes sur une toute jeune fille, qui la portera molle, presque avachie, comme un gilet. Mais elle est aussi parfaite sur une femme plus mature, qui la choisira plus structurée, genre veste de torero. A redécouvrir le soir.
Placard ou poubelle ?
Poubelle Elle me suit partout … … c’était pour ça que le col est tout râpé. Au moins, elle me couvre les fesses … … les basques ont un effet culotte de cheval. J’aime bien le côté confort … … elle est trois tailles trop grande. Ma veste en jean, c’est ma seconde peau … … je peux à peine lever les bras tellement elle est serrée La couleur est d’enfer … … le blazer rouge est réservé aux hôtesses d’accueil. Placard Elle est râpée aux coudes … … des pièces en cuir sur du tweed, c’est chic. C’est la veste de mon chéri … … une veste d’homme sur des épaules de fille : troublant ! Cette veste est un peu guindée … … pas avec un marcel et une longue écharpe en sequins. Les manches trois-quarts, moi qui suis frileuse … … je m’offre de longs gants qui remontent jusqu’au coude. Deux mots : trop vue !!! … … même serrée à la taille avec un gros ruban de soie ?
– 1 Le jean qui me fait une silhouette d’enfer Pour le reconnaître, ce n’est pas difficile : il ne me boudine pas à la taille, ne révèle pas la moitié de mon postérieur quand je me baisse, sublime mes défauts et s’accommode aussi bien de mes tennis plates que de mes escarpins. Aucune fille ne devrait vivre sans lui. – 2 Le pantalon noir dans lequel j’oublie tous mes complexes Rien de mieux que le chic troublant de ce basique volé aux vestimentaire masculin, que je peux à ma guise rendre sensuel (avec une blouse un rien transparente), sérieux (avec une veste à rayures), branché (avec un T-shirt imprimé ou un débardeur); A choisir de préférence taille basse et dans une matière de qualité (exit l’acrylique qui brille ou le 100 % stretch qui souligne le moindre défaut). – 3 Une jupe en denim Une coupe trapèze, un denim ni trop mou ni trop rigide, une toile brute plutôt que délavée : les trois astuces pour être sûre que la jupe en jean flatte n’importe quelle morphologie et s’adapte au look le plus décontracté ou le plus pointu. – 4 Une petite robe noire Un achat encore plus rentable qu’une SICAV. Avec un simple changement d’accessoire (hop ! Un sac à main vernis ! Hop ! Une besace en vachette ! Hop ! Un collier de perles !), elle s’adapte à toutes les occasions et peut être recyclée mille fois. – 5 Une robe à bretelles que je porte été comme hiver L’idéal, c’est une coupe un peu nuisette et une matière fluide. Les possibilités, elles sont infinies, puisque je peux la porter avec des tongs ou des bottes, sur un jean ou sur un collant opaque, sous une veste ou sous un cardigan, voire enfilée sur un débardeur ou glissée sous un trench. – 6 Une chemise blanche A éviter les jours où je risque les tâches (on oublie de l’enfiler pour aller au jardin avec son bout de chou). Sinon, elle va avec tout, s’adapte à toutes les situations, va à tout le monde – bref, une armoire sans chemise blanche, c’est comme une tartine sans confiture : absurde. – 7 Un haut à bretelles en soie A essayer d’urgence pour révéler la Catherine Zeta-Jones torride qui sommeille en chacune. Il est très mignon avec une jupe ou un pantalon cigarette, mais la meilleure tactique reste encore de se la jouer mine de rien, en l’associant à un jean et un grand pull V qui viendra négligemment glisser le long de l’épaule et révéler les bretelles de mon caraco. – 8 Des T-shirts ajustés à manches courtes et longues pour enfiler sur une jupe ou sur un jean sans y penser Toute femme a le droit, un matin, de refuser de réfléchir à son look. Ce n’est pas de la paresse, mais plutôt un droit constitutionnel fashion. C’est ce matin-là qu’il est bon d’avoir, en haut de sa pile de tops, le bon T-shirt, celui qui tombe bien, qui n’est pas décoré du logo d’une marque d’alcool et qui ne remonte pas au-dessus du nombril. Ce T-shirt peut sauver la vie tant de fois qu’il faudrait l’épouser. – 9 Une pile de marcels pour l’été, que je recycle l’hiver sous un gilet Encore un vêtement que les filles ont bien fait de piquer aux hommes. Avec une jupe gitane, il faut des merveilles, tout comme un pantalon smoking ou un tailleur jupe. Ce qui fait tout son charme, c’est cet air garçon manqué qu’il ne manque pas d’ajouter à ma tenue, un peu comme si, soudain, j’étais la réincarnation de Greta Garbo. Ce serait franchement idiot de se passer de lui … – 10 Un pull en V cintré qui me fait un super-décolleté Parce que le col roulé, ça peut gratter les plus sensibles ou accentuer des épaules de déménageur. Parce que tout le monde n’est pas à son avantage avec le col rond, ce faux ami fashion. Et parce que tout simplement, il n’y arien de mieux pour valoriser une poitrine (si elle est petite, à moi le chic androgyne ; si elle est plantureuse, j’en aurai l’air que plus sensuelle). Et puis c’est tout. – 11 Un twin-set dans une couleur acidulée pour me donner une touche de peps A la manière du shampoing 2-en-1, le twin-set peut me faire gagner dix minutes de prise de tête chaque matin. Je porte le cardigan + le gilet = je suis prête pour le boulot, il suffit d’ajouter un pantalon noir et des talons. C’est le week-end = je porte le gilet seul à même la peau, un peu déboutonné en haut, avec un jean et des ballerines. Et surtout, j’oublie le noir passe-partout ou le gris bécébégé et je craque pour une teinte de sorbet estival. – 12 Une veste d’homme à porter sur un top le jour (et sans rien d’autre le soir) S’il n’y en a pas déjà une dans mon placard, il est temps d’appeler les urgences de la mode et de remédier à cet oubli, là, maintenant, tout de suite. Parce que le jour où j’ai l’entretien d’embauche de ma vie, ou le soir où je voudrai être renversante sans me fouler, je me mordrai les doigts qu’elle ne m’attende pas bien gentiment sur un cintre. – 13 Une veste en denim Non, pas la veste de mon adolescence que j’avais décorée au tipex. Ni celle oubliée par mon ex dans le panier de linge sale. Mais plutôt celle qui copinera sans problème avec ma jupe trapèze en tweed ou mon pantalon évasé à revers. Compris ? – 14 Un trench-coat Parce que se draper dans un sac poubelle les jours de pluie est nettement moins glamour que de se glisser négligemment dans ce classique des classiques, dont l’aura indémodable évoque irrésistiblement les séductrices des films noirs. Et cela, même si je choisis de l’associer avec mon vieux jean et mes baskets pour aller chercher les croissants du dimanche matin.
Les sous-vêtements
– 15 Des collants opaques pour faire passer une jupe de l’été à l’hiver en un clin d’oeil Et opaque, ça veut dire opaque. Donc du 50 deniers au minimum. Et du mat ou légèrement satiné, parce que sinon, il y a fort danger de ressembler à une patineuse artistique qui a enfilé sa combinaison sous une jupe de tailleur. – 16 Un ensemble soutien-gorge/culotte couleur chair, qui ne se voit pas, même sous un T-shirt blanc Toutes les enseignes, même les moins chères, proposent désormais ces merveilles. Il n’y a donc vraiment plus d’excuse valable au soutien-gorge bleu marine qui fait coucou sous mon chemisier ivoire ou à la ligne de culotte qui vient ruiner l’effet de mon sublime pantalon coupe droite.
Les accessoires
– 17 Une étole à nouer autour du cou ou à jeter nonchalamment sur les épaules … ou à transformer en couverture dans le train/l’avion … ou à recycler en paréo glamour si je n’ai rien d’autre sous la main … ou à laisser pendre sous ma veste comme si j’étais une rock star qui est vraiment trop cool pour prendre la peine de nouer quoi que ce soit … ou à entortiller vingt fois autour de mon cou quand il fait froid … ou … – 18 Un foulard en soie que je porte autour du cou, dans les cheveux ou en ceinture Evidemment, pas n’importe quel foulard : plus il est long, fin et avec un joli motif (le noir tout simple marche aussi très bien), mieux c’est. Avec le carré de soie de ma grand-mère, j’aurai plus de mal à faire mon effet quand je veux le nouer à la taille de ma tunique made in India. Mais je peux toujours essayer, on ne sait jamais. – 19 Une ceinture un peu funky pour donner une touche rock n’ roll à n’importe quelle tenue Là, c’est le moment de se lâcher. Donc d’oser ce qui en total-look serait dur à digérer, mais qui sur un petit accessoire de rien peut devenir irrésistible. Alors, pourquoi pas le lamé argent, le faux croco, le cuir vernis clouté, la vachette vieillie tressée, les chaînons dorés ethniques ? Voire, si je n’aime vraiment que les bons vieux classiques, le ceinturon «pirate» en cuir noir ? – 20 Des lunettes de soleil de star, façon Jackie O Plus la monture sera noire et me mangera le visage, mieux ce sera. C’est à ce prix que j’aurai l’air d’une vraie star, même quand je ferai du pédalo en Bretagne. – 21 Une paire de gants colorés Oui, oui, c’est sûr, une paire de gants en laine noire, ça passe partout. Mais ai-je vraiment envie de passer de partout ? Ne préfère-je pas créer une micro émeute quand j’arriverai le lundi matin au bureau avec mes gants cerise qui tranchent sur le gris de mon caban ? – 22 Un sac cabas pour tout fourrer quand je suis pressée Dans l’absolu, c’est fantastique d’être une fashionista qui change de sac matin, midi et soir. Dans la vraie vie, c’est surtout super d’avoir trouvé le bon sac, suffisamment grand et léger pour pouvoir y glisser vingt agendas, quatre magazines, six dossiers, une bouteille d’eau, un collant de rechange … et qui cohabite pourtant très bien avec mes stilletos et ma veste à rayures. – 23 Un mini-sac pour le soir A glisser dans le grand cabas sus-mentionné, pour le soir où je dois enchaîner journée remplie et dîner glamour.
Les bijoux
– 24 Un collier toc grâce auquel on ne remarque que moi, moi, moi Plus il est toc, mieux c’est. Son message : j’ai suffisamment confiance en moi (et en mon style) pour oser le second degré d’un faux sautoir de perles longs comme deux fois le pâté de maison. – 25 Une paire de boucles d’oreilles extravagantes qui «glamourisent» ma tenue en cinq secondes Là aussi, le toc marche très bien. Mais ça peut aussi valoir le coup d’écumer les brocantes et dépôts-vente pour une paire de bijoux vintage vraiment originaux. Que je pourrai ressortir dès que ma petite robe noire sera en manque d’un peu de piment. – 26 Une belle montre Si je n’aime pas les bijoux, elle peut être le moyen de m’essayer aux accessoires sans rompre avec mon style minimaliste. Et si je manque de moyens, je peux toujours suggérer à mes amis, à ma famille, à mes voisins, bref, à tout le monde, que ça ferait un bien meilleur cadeau pour mon prochain anniversaire qu’un robot-mixeur.
Les chaussures
– 27 Une paire de ballerines plates pour tous les jours Il n’y a pas de contre-indication à la ballerine noire. Tout comme la chemise blanche, elle va à tous les âges, à toutes les morphologies, à tous les styles. Il serait donc limite suicidaire de vouloir s’en priver. – 28 Une paire d’escarpins noirs à talons C’est certainement bête, mais parfois il n’y a rien qui fasse vraiment autant d’effet que quelques centimètres de talons. Ça n’a pas d’explication totalement logique. C’est plutôt une loi de la nature à ne pas ignorer. C’est donc une bonne idée si j’ai une paire d’escarpins classiques à portée de main, les meilleurs amis de la robe habillée ou du pantalon de smoking. – 29 Une paire de tongs Parce que, aussi, j’ai le droit de vouloir ignorer l’effet que produisent quelques centimètres de talons. Et de préférer me délecter du confort indubitable d’une jolie paire de tongs (qu’elle soit en plastique, en cuir ou en corde, peu importe) et de son talent inné pour aller avec une jupe corolle, un paréo ou même un jean. – 30 Une paire de bottes cavalières à porter sous une jupe ou pour rentrer dans son jean Les meilleures amies des paresseuses. Pourquoi ? Parce que rien ne les démode, rien ne les surpasse et que rien ne va aussi bien avec un jupon romantique ou un jean skinny. Avec elles, le fashion faux pas est quasiment impossible.
Le Nouvel An chinois commence lundi, alors que l’année du rat fera place à l’année du boeuf et pour fêter cela, DAF vous propose une recette du chou rouge à la chinoise pour 4 personnes (poêlé à l’ail et au gingembre). Les ingrédients _ 1/2 chou rouge _ 2 oignons nouveaux _ 2 cm de racine de gingembre _ 1 gousse d’ail _ 2 cuillères à soupe de sauce soja _ 1 cuillère à soupe d’huile de sésame _ Sel, poivre. Tout d’abord nettoyez le chou rouge, coupez-le en deux, éliminez son trognon puis taillez le chou en lanières. Emincez ensuite le blanc et le vert clair des oignons.Pour finir, hachez l’ail et râper le gingembre. Pour la seconde étape, chauffez l’huile dans une poêle puis ajoutez l’ail, le gingembre et le chou pour ensuite les saler, poivrer et mélanger. Mouillez le tout avec 5cl d’eau, puis faites cuire 10 minutes tout en remuant de temps en temps. La dernière étape, ajoutez les oignons et la sauce soja.Mélangez et cuisez encore 5 minutes. Faites en sorte que le chou reste croquantpuis servez bien chaud.
Cheikha Lubna Khalid Sultan al Qasimi est l’actuelle ministre de l’Economie des Émirats arabes unis (EAU) et présidente de l’autorité des marchés financiers d’Abu Dhabi et de Dubaï. Sheikh Lubna possède est la première femme à occuper un poste ministériel dans les Émirats arabes unis. Elle est membre de la famille régnante de Sharjah et nièce de Son Altesse Cheikh Dr. Sultan bin Mohammed Al Qassimi. Lubna est diplômée de la California State University, Chico et de l’Université américaine de Sharjah. Elle a pris le poste de gestionnaire principal de la Direction des Systèmes d’Information à l’Autorité Portuaire de Dubaï (DPA), le plus grand port du Moyen-Orient, et a travaillé à ce poste pendant sept ans. Lubna a remporté plusieurs prix avant de devenir Ministre de l’Economie aux UAE. Elle a également occupée différents postes: _ Conseil d’administration de Dubai Chamber of Commerce & Industry _ Conseil d’administration de Dubai University College _ Conseil d’administration électronique et de Total Quality Management College, Dubai _ Conseil d’administration pour Thunderbird School of Global Management, Glendale, Arizona, Etats-Unis _ Conseil d’administration de l’Université Zayed _ Conseil d’administration de la Dubai Autism Center _ Conseil d’administration de Simsari.com _ Conseil d’administration pour l’US-National arabe Chambre de commerce. Elle a remporté notamment: * Dubai Quality Group — for Support to Leadership, Quality, and Change, 2000 * ITP Best Personal Achievement Award, 2000 * Datamatix IT Woman of the Year 2001 * Business. Com Personal Contribution Award, 2001 * Datamatix Outstanding Contribution, 2002 * Commonwealth of Kentucky Honorary title — Kentucky Colonel, 2003 * World Summit Award for Tejari.com, 2003 Rappelons que Lubna, a passé quelques temps en France. Elle fait partie des 100 femmes les plus influentes dans le monde, selon le classement « Forbes ».
Avec des fruits, préparer une délicieuse foncette au chocolat et aux fruits pour 4 personnes! La préparation dure 5 minutes et la cuisson 10 minutes. Les ingrédients: _ 4 clémentines _ 4 tranches d’ananas au sirop _ Lait _ Crème liquide _ 200 grammes de chocolat noir _ du beurre _ 12 lanières d’écorces d’oranges confites Pelez les 4 clémentines et détachez les segments.Coupez en morceaux 4 tranches d’ananas au sirop égouttées.Portez ensuite à ébullition 10 cl de lait et 15 cl de crème liquide. Concassez 200 grammes de chocolat noir et faites-le fondre au bain-marie, puis incorporez doucement le lait et la crème chaude en fouettant, jusqu’à ce que la préparation soit homogène. Mélangez en dernier avec 30 grammes de beurre en parcelles. Versez dans un caquelon et apportez-le à table sur un réchaud. Servez avec les fruits coupés présentés dans des raviers et avec 12 lanières d’écorces d’oranges confites.Chacun trempera ses fruits dans la sauce chocolat avec une pique ou une petite fourchette à fondue.