Par La Rando

Tajine de souris d’agneau confites

Savourez cette tendre viande, pour une recette de 4 personnes.

Les ingrédients :

60grammes de pignons

2 oignons

4 carottes

4 gousses d’ail

1 bâton de cannelle

1 piment sec

4 souris d’agneau

Huile d’olive

50 grammes de raisins secs blonds

1 brin de thym

1 orange

1 grenade

Feuilles de coriandre

Tout d’abord, faites griller les 60grammes de pignons dans une poêle à sec,mettez-les ensuite de côté. Emincez 2 oignons, pelez et taillez 4 carottes en dés. Epluchez 4 gousses d’ail.Concassez 1 bâton de cannelle.Hachez grossièrement 1 piment sec et retirez les graines. Prenez une cocotte, à feu vif, faites colorer de tous côtés les 4 souris d’agneau dans deux cuillères à soupe d’huile d’olive . Ajoutez 50 grammes de raisins secs blonds, l’ail, lacanelle, lepiment, les oignons, les carottes et 1 brun de thym. Salez et poivrez .Mouillez avec le jus d’une orange et 15cl d’eau. Couvrez la cocotte et mijotez 2h00 à feu très doux. Avant de servir, ajoutez les pignons et les graines d’une grenade, puis parsemez de feuilles de coriandre. Vous n’avez plus qu’à accompagner le tout par de la semoule.

Par La Rando

Sheika Mozah, première dame du Qatar : “l‘éducation est la clé pour tout changement politique ou social”

Elle est élégante, sereine et très engagée en faveur de l‘éducation au Qatar. Sheikha Mozah bint Nasser Al-Missned est la première dame de ce petit pays richissime du Golfe. Avec son mari, elle a crée la Fondation (qatariote) pour l‘éducation, la science et le développement. Elle est ambassadrice de l’Unesco. Elle a fondé des écoles privées de haut standing à but non lucratif et des institutions d’apprentissage pour les enfants et les jeunes qatariotes. Lire la suite « Sheika Mozah, première dame du Qatar : “l‘éducation est la clé pour tout changement politique ou social” »

Par La Rando

Le Qatar mise sur l’éducation pour exister sur la scène mondiale

Du gaz, du pétrole et de la matière grise. Si les deux premières ressources ont procuré au Qatar un développement économique sans précédent depuis dix ans, ce petit pays du golfe persique fait aujourd’hui de l’éducation un nouveau secteur de prospection. Un millier d’experts et dirigeants internationaux, ainsi que cent vingt journalistes, sont réunis à Doha, du 16 au 18 novembre 2009, pour participer au WISE (World innovation summit for education). Lire la suite « Le Qatar mise sur l’éducation pour exister sur la scène mondiale »

Par La Rando

Les femmes, nouveau cerveaux des pays du Golfe

Encore souvent mineures politiquement et économiquement, les jeunes femmes sont parties à la conquête des diplômes, encouragées par le discours politique dominant en faveur de l’éducation et par le marché de l’emploi. Au point que le ratio s’établit désormais au Qatar, aux Emirats mais aussi au Koweït à trois étudiantes pour un étudiant ! Décrites comme « plus motivées » que leurs homologues masculins, les filles se sentent pousser des ailes. A Doha, sur les 2 500 étudiants répartis dans les six universités américaines rassemblées à Education City, un campus ultramoderne, les filles représentent actuellement 70 % de l’effectif. Elles sont également surreprésentées à l’université du Qatar (8 600 étudiants, 76 %) où les deux sexes étudient séparément. Dans les Emirats, 65 % des jeunes inscrits à l’université sont des étudiantes. Lire la suite « Les femmes, nouveau cerveaux des pays du Golfe »

Par La Rando

Les femmes des pays du Golfe, nouvelle matière grise

Encore souvent mineures politiquement et économiquement, les jeunes femmes sont parties à la conquête des diplômes, encouragées par le discours politique dominant en faveur de l’éducation et par le marché de l’emploi. Au point que le ratio s’établit désormais au Qatar, aux Emirats mais aussi au Koweït à trois étudiantes pour un étudiant ! Décrites comme « plus motivées » que leurs homologues masculins, les filles se sentent pousser des ailes. A Doha, sur les 2 500 étudiants répartis dans les six universités américaines rassemblées à Education City, un campus ultramoderne, les filles représentent actuellement 70 % de l’effectif. Elles sont également surreprésentées à l’université du Qatar (8 600 étudiants, 76 %) où les deux sexes étudient séparément. Dans les Emirats, 65 % des jeunes inscrits à l’université sont des étudiantes. Même la très conservatrice Arabie saoudite a ouvert, fin septembre, une université mixte. Quelques mois auparavant, le roi Abdadallah avait inauguré une université publique pour femmes. Au Bahrein, l’université du même nom ainsi que l’université du Golfe arabique, les deux institutions les plus importantes du pays, les jeunes femmes représentent respectivement 67 % et 72 % des étudiants. Cette envolée s’opère cependant dans des pays où le pourcentage des jeunes inscrits à l’université reste faible : 33 % au Bahrein, 19 % au Koweït, 18 % en Oman, 29 % en Arabie saoudite, 23 % aux Emirats, selon les chiffres fournis par l’Unesco. Plusieurs raisons expliquent cet engouement. L’offre a réellement suscité la demande. Les familles qui répugnaient, pour des raisons culturelles, à envoyer leurs filles faire des études à l’étranger, une démarche fréquente pour les garçons, ont trouvé dans ces universités de quoi les satisfaire. « Le gouvernement a créé un environnement favorable tel que les familles ont le sentiment que la démarche d’envoyer les jeunes femmes à l’université n’est pas en rupture avec les traditions », explique l’Emiratie Serra Kirdar qui a collaboré au rapport sur les droits des femmes au Moyen-Orient publié en février 2009 par l’ONG Freedomhouse. Aux possibilités d’études – gratuites – sur place s’ajoutent les opportunités d’emploi. A l’inverse des jeunes hommes, qui trouvent encore (mais de moins en moins) des postes dans l’armée et la police sans diplôme, les jeunes femmes voient dans les études un tremplin vers la vie sociale et une façon de s’émanciper du giron familial. C’est parce qu’elles savent que les options se multiplient pour elles qu’elles s’engagent avec autant de ferveur dans les études. Face à des gouvernements, comme au Qatar, soucieux de créer une élite, de « renverser la fuite des cerveaux », selon l’expression Abdulla Ben Ali Al-Thani, vice-président de la Qatar Foundation, c’est avec la volonté de prendre les commandes de leur propre pays que les filles s’engouffrent dans les études. « Les universités sont au coeur de ces processus de saoudisation, qatarisation, émiratisation, etc., confirme James Onley, professeur à l’Institut du monde arabe et islamique de l’université d’Exeter (Royaume-Uni). Les populations de ces pays – à l’exception de l’Arabie saoudite – étant numériquement faibles, ils ont besoin de la participation des femmes. » Au point d’ailleurs que les jeunes étrangers – non pas les Indiens ou Philippins, tout en bas de l’échelle, mais les enfants d’expatriés de longue date -, se sentent désormais exclus. « La fonction publique est réservée aux Qataris et le secteur privé exige souvent la nationalité locale », témoigne Amira Redissa, jeune diplômée tunisienne de 23 ans, dont la famille est au Qatar depuis plus de quinze ans. Les jeunes semblent avoir intériorisé l’ambition proclamée de cette région du monde de revenir un endroit « qui pense », à l’image de ce que furent Beyrouth et Le Caire du temps où ces villes représentaient des centres névralgiques de l’intelligentsia arabe. « Nous avons la volonté de devenir Le centre innovant de la production d’idées et de la formation conceptuelle dans le Moyen-Orient », explique Nada Mourtada, professeur de relations internationales et de droit public, vice-président de l’université de l’université américaine de Sharjah, un des sept émirats de la fédération et aussi une des rares Françaises à faire carrière dans le milieu universitaire local. Ouverte en 1997, l’université de Sharjah a été une des premières implantations d’une institution d’élite dans la région. Des places sont également à prendre dans le secteur privé, où les jeunes femmes se montrent plus timorées. « Pour les familles, le secteur public représente des postes plus sûrs, avec de bonnes rémunérations et des aménagements d’horaires », explique Me Kirdar, également à la tête de la Fondation Muthabara, qui travaille justement à l’ouverture des entreprises privées aux jeunes femmes. Ces conquêtes, qui peuvent sembler limitées aux Européennes, ont des effets boomerang dans les sociétés. Si les mariages se font moins précoces, les unions arrangées, qui restent la norme dans le Golfe, se nouent aussi plus difficilement qu’avant. Aux Emirats, on évoque ces « vieilles filles » qui n’arrivent plus à se marier. Au Qatar, la présidente de l’université, Sheikha Al-Misnad, réformatrice à la poigne énergique, s’inquiète du déséquilibre grandissant entre les sexes. « Beaucoup de jeunes filles ne peuvent pas se marier car nous n’avons pas suffisamment d’hommes éduqués », assure-t-elle. Le temps n’est plus où les jeunes femmes devaient interrompre leurs études pour une grossesse, commente Aisha Al-Fardan. Vice-présidente du Qatari Business Women Forum, cette pionnière d’une quarantaine d’années, mère de quatre enfants, estime avoir été « chanceuse » d’avoir pu faire des études après son mariage « grâce au soutien de son mari ». Aujourd’hui à la tête du groupe familial de 2 000 salariés, elle a le sentiment d’avoir « cassé les règles », par exemple en conduisant sans permis, car les femmes n’avaient pas le droit de conduire. C’était « il y a douze, treize ans ». Autant dire un siècle. Brigitte Perucca http://www.lemonde.fr

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« Les Heures souterraines » de Delphine de Vigan»

Par Marie Chatelain Editeur : JC Lattès « Les heures souterraines » de Delphine de Vigan…….le témoignage de deux êtres englués dans la vie ! L’entreprise destructrice, la vie qui nous échappe et bascule, tels sont les lieux qu’a choisis Delphine de Vigan pour planter le décor de son roman. C’est l’histoire d’un effondrement, celui de Mathilde suite au harcèlement moral qu’elle endure ; c’est l’histoire d’un anéantissement, celui de Thibault confronté à sa pitoyable et solitaire existence que l’amour a délaissé. Deux vies, deux combats, deux êtres qui se croisent sans se voir au cœur de la ville tentaculaire. Delphine de Vigan se faufile et observe les couloirs, les bureaux, les toilettes de l’entreprise où travaille Mathilde. Cette multinationale y est décrite comme une machine à broyer les êtres. Ce n’est plus le lieu où peut s’épanouir la créativité de l’être humain, ce n’est plus un lieu où l’on débat, échange, partage, construit. C’est un lieu où on laisse la méchanceté et l’injustice déployer ses ailes en applaudissant les résultats qu’induit la pression destructrice de la compétitivité. Mathilde travaille dans cette entreprise depuis 7 ans, quand elle se voit confrontée au harcèlement moral. Elle décrit avec minutie la gangrène invisible qui sournoisement s’infiltre dans les chairs et l’âme, laissant sur son passage l’odeur putride du pire fléau du XXIème. Le harcèlement moral n’est pas que mise à l’écart, c’est un engrenage qui fait qu’un être décide d’en torturer un autre. Le prédateur se délecte, se pourlèche du désarroi qu’il insinue dans l’esprit de sa proie. Sans raison apparente, il décide l’anéantissement, l’annulation, la destruction, la disparition, l’effacement, l’extinction d’un malheureux souffre-douleur. La mise à mort devient l’ultime objectif. Thibault est un médecin généraliste amoureux d’une femme qui ne l’aime pas. Il a beau déployer ses plus grandioses stratégies pour amener la belle à lui donner son cœur, rien n’y fait. Il est désespérément seul dans son couple. Il subit un harcèlement consenti. Il observe son ennemie lui ronger les trippes, incapable d’objecter, paralysé par la lâcheté qui souvent entache le sentiment amoureux. S’il ne fuit pas, il assistera à sa propre mise à mort. Delphine de Vigan réalise ici une peinture au vitriol de notre société qui délaisse, qui ignore. La mortelle solitude revêt les somptueux habits d’une vie apparemment sans histoire. Tout va à peu près bien, rien ne va vraiment mal mais la perfide et mortelle solitude s’insinue dans la vie de Mathilde et de Thibault, deux protagonistes des temps modernes, de ceux que l’on croise chaque jour, sans voir, sans savoir. Les deux personnages se trouvent face à leur solitude et nous dévoile la nôtre, nous étale sans concession nos lâchetés, nos faiblesses, et la plus crasse de nos bassesses : la trahison de nos valeurs, le renoncement à la bravoure et à l’assistance aux plus fragiles pour préserver notre confort. Mais il affleure de ce roman, une terrible vérité : Nous pourrions devenir ces êtres seuls, ces laissés pour conte. « Tremblez braves gens  et ne vous reposer sur aucun laurier», la vie peut basculer, comme ça, dans un souffle ténue qui se transforme en ouragan et qui nous emporte dans sa spirale infernale. Si l’on n’y prend pas garde, alors viendra « notre jour d’effondrement ». . Delphine de Vigan Ecrivain française : Apparue discrètement sur la scène littéraire, Delphine de Vigan a su se faire une place de choix parmi les écrivains français. Directrice d’études dans un institut de sondages, la jeune femme écrit le soir, sans prétendre à la carrière de romancière qui sera la sienne, avant de pouvoir vivre de sa plume. Après la parution, en 2001, d’un premier récit d’inspiration autobiographique intitulé […] La bibliographie de Delphine de Vigan No et moi De Delphine de Vigan Lou, treize ans, intellectuellement précoce, est une élève brillante et isolée. Fille unique délaissée par une mère tombée en dépression après la mort d’un bébé et incomprise d’un père aimant mais prisonnier de son impuissance. En classe, […]

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Dubai Fashion Week 2009 [vidéo]

Le printemps / été édition 2009 était la quatrième saison de la Dubai Fashion Week, qui vise à établir la position de Dubaï dans la mode internationale et de promouvoir la mode régionale. Avec des créateurs qui débordent d’imagination, ces femmes ont impulsé une véritable mode et un engouement pour le style khaleeji jusque là sobre et spartiate. Découvrez en vidéo la Dubai Fashion Week 2009!

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Sondage : quels sont les mots préférés des enfants ?

Une étude réalisée par ABC+ pour Scabble et Mattel France met en lumière le « lien affectif des enfants avec les mots ». Et quels sont les mots préférés de nos chères petites têtes blondes ? En tête du classement, « maman » remporte 18 % juste avant deux ex-æquo : « papa » et « bonbon » qui rassemblent 12 % des votes chacun. Et quels sont les mots les plus détestés de nos chers bambins ? Le mot « école » se place en première position suivi de « méchant(e) » et « devoirs ». Ces résultats changent lorsque les enfants ont été assistés par leurs parents pour répondre. Les mots préférés deviennent alors « maman », « papa » et « Noël » alors que les détestés sont « punition », « fessée » et « gronder ». Les enfants ont-ils voulu faire passer un message à leurs parents ?Toutefois, le classement évolue avec lâge. Chez les 8-10 ans, les mots « maman » et « papa » sont détrônés par « copain » et « jouer ». Et, quand on leur demande quels sont les mots préférés de leurs parents, les enfants citent « amour », « enfant » et « famille ». A linverse, les mots détestés par leurs parents sont selon les enfants, « maladie », « mort » et « travail ». Cette étude a été réalisée auprès de 300 enfants. Les 4-5 ans et les 6-7 ans étaient assistés de leurs parents alors que les 8-10 ans ont répondu tous seuls. Source

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L’Union des femmes investisseurs arabes

Fondée le 27 Décembre 2004 au Caire, sous l’égide de Mme Suzanne Moubarak, l’Union des femmes investisseurs arabes est venu confirmer le rôle grandissant de la présence féminine dans le monde arabe, dans les processus de développement et de l’investissement. L’Union des Femmes Investisseurs Arabes travaille sous la bannière du Conseil de l’Union économique arabe. Seize pays arabes sont actuellement membres de l’Union, à savoir la Jordanie, Emirats arabes unis, Bahreïn, Tunisie, Algérie, Arabie saoudite, Soudan, Syrie, Qatar, Koweït, Liban, Libye, Egypte, Irak, Yémen et au Maroc. La République arabe d’Egypte accueille le siège de l’Union. Au Maroc, la représentation de l’Union des femmes investisseurs arabes a vu le jour au cours du printemps 2009 et elle est présidée par Mlle Asmae Mouhib, directrice générale de l’agence de communication Le Messager.Com. Asmae Mouhib est dotée d’un riche parcours professionnel caractérisé par plusieurs distinctions. En 2001, elle fut reçue par le Roi du Maroc à l’occasion de la création de la première Master Franchise au Maroc d’affichage mobile. En 2006, aux Etats-Unis d’Amérique, elle s’est également distinguée en représentant le Maroc au Forum des Young Leaders. En 2007, elle fut désignée au poste de trésorier du Fonds mondial de la santé. Cette manifestation économique qui concrétise en quelque sorte la féminisation des cercles de pouvoir économique dans le monde arabe, permettra en outre d’associer les femmes investisseurs membres de l’Union et des participantes de différentes spécialités à la mise en place de stratégies destinées, entre autres, à attirer de nouveaux capitaux dans le monde arabe et à réinstaller dans la région ceux qui ont délocalisé leurs activités sous la pression de la crise économique internationale.