Par La Rando

Comment poser ses congés payés sans s’étriper

Les congés payés ont plus de 70 ans ! Mais le moment de choisir ses dates peut  toujours rapidement virer à l’incident diplomatique. Entre mères qui demandent les vacances scolaires, les CDD à qui on refuse 2 jours de repos, les remplaçants qui voudraient se faire remplacer…
Il est bon de rappeler quelques règles de base:

5 questions à Marie, comptable « congés payés » dans un service paie

Comment savoir combien de jours de congé j’ai acquis ?
Chaque mois travaillé donne droit à 2,5 jours de congé payé. On calcule les congés dans la période qui va du 1er juin au 31 mai. Le congé maternité compte comme mois travaillés.

Dois-je attendre un an avant de les prendre ?
Non, contrairement à une idée reçue fermement ancrée chez les DRH comme les salariés, grâce à la loi Aubry, « Les congés peuvent être pris dès l’ouverture des droits, sans préjudice des articles L. 223-7 et L. 223-8. »

L’entreprise où je travaille ferme en décembre et en aout, et m’impose donc les dates de congé. En a-t-elle le droit ?
Oui, l’employeur peut fixer unilatéralement les dates de congés payés, sauf convention collective précisant le contraire.

Je suis au chômage, ai-je droit à des congés ?
Si vous êtes au chômage, vous avez vous aussi droit à des congés payés ! Il vous suffit d’avertir le Pôle Emploi par courrier au préalable.

Comment ça marche pour les CDD ?
Salarié en CDD, vous toucherez une indemnité à la fin de votre contrat, en général équivalente à environ 10% de votre salaire de référence. Si vous démissionnez avant d’avoir pris tous vos congés payés, ça marche de la même façon.
Pour que tout se passe au mieux avec vos collègues, posez vos dates de congés ensemble. Après en avoir parlé avec votre conjoint ou vos enfants, dès le lendemain, posez des options. Mais faites des compromis: vous ne pouvez pas exiger d’avoir Noël, le jour de l’an, le mois d’aout et les vacances de février… Veillez à ce qu’il y ait toujours une personne dans votre service, et s’il n’y a personne, alertez votre hiérarchie pour qu’ils trouvent un remplaçant.

Si vous travaillez dans une petite entreprise, avertissez vos clients ou vos dossiers en cours de votre absence. Si vos collègues et vous êtes en litige sur une date, n’abusez pas d’arguments trop directs (« Je suis ton supérieur », « Tu as été absent 2 mois pour dépression », « J’ai des enfants »…) Toutefois, si vous cédez, mettez les choses au clair en précisant que cet hiver, c’est vous qui prendrez 15 jours en pleine bourre !
Et vous, comment avez-vous posé vos congés ?

Par La Rando

La jalousie, un marché en pleine expansion?

Parmi la pléthore de défauts qui me caractérise je ne suis pas dotée de l’option « jalouse ». Pas que je me foute de mon compagnon du moment (je dis « du moment » car étant célibataire je n’ai pas rencontré LE mec, celui qu’on caractérise parfois d’homme de sa vie) mais disons que j’ai tendance à faire confiance et qu’au pire ce qui doit arriver arrive quoi qu’il en soit.

Quelle ne fut donc pas ma surprise lorsque je suis tombée sur cet article au détour du web (oui bon Dom me l’a un peu envoyé, préjugeant de ma réaction)

Alors déjà plus de 50% des français avouent contrôler les sms de leur conjoint(e) lorsque ce dernier est au toilette ou sous la douche.

Déjà, la classe !! Mais surtout quelqu’un qui trompe est-il assez stupide pour laisser des traces ? (je dis ça, je ne dis pas grand chose…)

Personnellement, je crois que si quelqu’un “s’amusait” à me faire les poches ou fouiller mon téléphone, ça me rendrait hystérique. Non pas d’avoir quelque chose à cacher mais par principe quoi !

Mais à la lecture du billet de Juliette Speranza, je découvre que “ces fouilles” ne sont que la petite partie immergée de l’iceberg et que le jalousie est devenue un vrai créneau commercial : logiciels pour surveiller les sms, google lattitude pour suivre votre conjoint en temps réel, stylos caméra ou micro, logiciels espions etc etc La liste est longue et… déroutante !

Car « le pire » est que ça marche, les chiffres d’affaires des entreprises de gadgets d’espionnage en tout genre explosent ! Cqfd

Ou mieux encore si vous avez un peu d’argent de coté, les agences d’espionnage avec filatures et enregistrements vidéos à la clé !

Au delà de la conclusion de l’article source qui dit, je cite “Une chose est sûre : être jaloux, de nos jours, ça peut coûter très cher ! », je trouve surtout que cela donne froid dans le dos !

D’autant que l’homme (dans le sens humanité hein, pas le genre masculin) n’étant pas monogame de nature, ça fait beaucoup de stress et d’argent dépensé pour … Lire la suite sur LePost.fr

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Cancer du poumon : les femmes en meurent de plus en plus

Cette année, la Journée mondiale sans tabac – le 31 mai – ciblera assurément les fumeuses. Le constat est en effet accablant pour la gent féminine : selon une étude pilotée par l’Institut Gustave Roussy, la mortalité par cancer du poumon a été multipliée par quatre en quinze chez les femmes de 40 ans. A l’inverse, la mortalité a été divisée par deux chez les hommes du même àge.

 » Il y a toujours un décalage de 20 à 30 ans entre hommes et femmes d’où cette évolution contradictoire « , explique le professeur Gérard Dubois, président d’honneur d’Alliance contre le tabac, au micro de France Info.  » Alors que les hommes ont commencé à diminuer leur consommation avec la loi Veil (relative à la lutte contre le tabagisme, ndlr) en 1976, les femmes, elles, ont attendu la loi Evin (en 1991, ndlr). « 5,3 décès pour 100 000 femmesRésultat : la mortalité par cancer du poumon chez les femmes augmente depuis 1980 et s’est même  » accélérée dans les années récentes « , selon l’étude. En 1984, 1,4 femme sur 100 000, àgée de 35 à 44 ans, mourait d’un cancer du poumon. En 2007, on compte 5,3 décès pour 100 000 femmes. Détail frappant : sur la période 2000-2007, la mortalité par cancer du poumon chez les femmes de 35 à 54 ans  » est proche de la mortalité chez les hommes de même àge observée dans les années 50 « .

Augmenter le prix des cigarettesEt pour Catherine Hill, qui a dirigé l’étude, les choses ne vont pas aller en s’arrangeant.  » On peut prévoir que l’épidémie va continuer chez les femmes au fur et à mesure que vieilliront les générations qui ont beaucoup fumé « , analyse-t-elle. Seule solution, selon l’Institut national de veille sanitaire (Invs) : une augmentation importante du prix du tabac. Après une hausse sensible, les ventes de cigarettes avaient baissé de 27% entre 2003 et 2004. Or depuis 2007, le prix du tabac est resté stable. Autre levier : l’information du grand public.  » Les messages se brouillent. Certains pensent qu’en faisant du sport et en mangeant des légumes, ils peuvent fumer ! Or un consommateur régulier de tabac sur deux en meurt « , rappelle Catherine Hill.

Source

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Contre la stigmatisation du cancer du sein au Qatar

Le cancer du sein est le type de cancer qui affecte le plus les femmes et les malades ont peu de chances de survie.

Mais dans certains pays du Moyen-Orient, les femmes ne pratiquent pas toujours des contrôles réguliers, et parfois retardent même le traitement en raison de la stigmatisation entourant cette maladie.

Découvrez le reportage d’Al Jazeera  au Qatar.

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Mozah visite des projets Silatech au Yémen

SA Sheikha Mozah Nasser al-Misnad, président du conseil d’administration Silatech, a visité hier le site du projet Khadjia à Sanaa, au Yémen. Silatech uni leurs forces avec la Fondation Youth Leadership Development (YLDF) en 2009 pour développer une solution d’entreprise complète pour les jeunes entrepreneurs femmes.

«Son Altesse a rencontré Safa Rawiah,  directeur Jeunesse
Centre de développement économique et a été cité le slogan suivant «Derrière chaque femme qui réussit, il ya un grand homme,
«Ce projet fournira une formation en entrepreneuriat à 200 jeunes femmes entrepreneurs.  Avec près de 50 jeunes actuellement l’objet d’une formation en entrepreneuriat, est d’un grand intérêt dans le programme pour lui permettre de créer une dynamique.  »

Le secteur privé est également l’octroi de bourses de soutien pour aider les jeunes femmes et les hommes des communautés en dehors du programme Sanaa.
Les liens sont très forts entre Khadija et Silatech au Yémen, le Fonds de développement des petites entreprises (FDPE) et Al-Amal Microfinance Bank (AMB), aideront les futurs diplômés du programme de Khadija avec un financement.

Silatech est une initiative novatrice qui peut donner d’autres idées à ce pays qui souffre déjà tant!

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Votre billet d’avion Qatar Airways par téléphone !

Meilleur personnel de bord du Moyen-Orient pour la 6ème année consécutive Qatar Airways toujours dans le top 10 des dernières récompenses Skytrax

Qatar Airways, la compagnie aérienne nationale du Qatar, vient encore de gagner deux nouvelles récompenses internationales, confirmant sa position de leader dans le top 10 des compagnies aériennes au niveau mondial, ainsi que son statut de Meilleure compagnie du Moyen-Orient.

Pour ne pas manquer à sa réputation, Qatar Airways offre la possibilité d’acheter son billet d’avion par téléphone. Ce service débutera le 7 décembre et vous pourrez vous enregistrer sur le site internet de la compagnie ( www.qatarairways.com ). Vous aurez la possibilité d’imprimer votre carte d’embarquement et même de choisir votre siège.Vous pouvez également recevoir la carte d’embarquement sous forme de code barre sur votre mobile.

Notons que ce service propose aux clients toutes les destinations sauf New York et Washington.

Ce service est disponible 36 heures avant le vol et jusqu’à 2 heures avant le départ de votre avion.

A propos de Qatar Airways :

Qatar Airways dessert 83 destinations en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie, dans l’Océan Indien, dans le sous-continent Indien et aux Etats Unis.

Sa flotte, composée à ce jour de 62 appareils – Airbus et Boeing -, est l’une des plus modernes au monde. Au total, ce sont plus de 200 appareils qui sont en commande pour un montant de plus de 30 milliards de $ US. La flotte de Qatar Airways devrait atteindre 110 appareils à l’horizon 2015.

Pendant l’année financière 2007/2008, la compagnie a transporté plus de 10 millions de passagers.

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L’Union des femmes investisseurs arabes

Fondée le 27 Décembre 2004 au Caire, sous l’égide de Mme Suzanne Moubarak, l’Union des femmes investisseurs arabes est venu confirmer le rôle grandissant de la présence féminine dans le monde arabe, dans les processus de développement et de l’investissement. L’Union des Femmes Investisseurs Arabes travaille sous la bannière du Conseil de l’Union économique arabe. Seize pays arabes sont actuellement membres de l’Union, à savoir la Jordanie, Emirats arabes unis, Bahreïn, Tunisie, Algérie, Arabie saoudite, Soudan, Syrie, Qatar, Koweït, Liban, Libye, Egypte, Irak, Yémen et au Maroc. La République arabe d’Egypte accueille le siège de l’Union. Au Maroc, la représentation de l’Union des femmes investisseurs arabes a vu le jour au cours du printemps 2009 et elle est présidée par Mlle Asmae Mouhib, directrice générale de l’agence de communication Le Messager.Com. Asmae Mouhib est dotée d’un riche parcours professionnel caractérisé par plusieurs distinctions. En 2001, elle fut reçue par le Roi du Maroc à l’occasion de la création de la première Master Franchise au Maroc d’affichage mobile. En 2006, aux Etats-Unis d’Amérique, elle s’est également distinguée en représentant le Maroc au Forum des Young Leaders. En 2007, elle fut désignée au poste de trésorier du Fonds mondial de la santé.

Cette manifestation économique qui concrétise en quelque sorte la féminisation des cercles de pouvoir économique dans le monde arabe, permettra en outre d’associer les femmes investisseurs membres de l’Union et des participantes de différentes spécialités à la mise en place de stratégies destinées, entre autres, à attirer de nouveaux capitaux dans le monde arabe et à réinstaller dans la région ceux qui ont délocalisé leurs activités sous la pression de la crise économique internationale.

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Les femmes du Moyen Orient, nouvelle matière grise

Encore souvent mineures politiquement et économiquement, les jeunes femmes sont parties à la conquête des diplômes, encouragées par le discours politique dominant en faveur de l’éducation et par le marché de l’emploi. Au point que le ratio s’établit désormais au Qatar, aux Emirats mais aussi au Koweït à trois étudiantes pour un étudiant !

Décrites comme « plus motivées » que leurs homologues masculins, les filles se sentent pousser des ailes. A Doha, sur les 2 500 étudiants répartis dans les six universités américaines rassemblées à Education City, un campus ultramoderne, les filles représentent actuellement 70 % de l’effectif. Elles sont également surreprésentées à l’université du Qatar (8 600 étudiants, 76 %) où les deux sexes étudient séparément. Dans les Emirats, 65 % des jeunes inscrits à l’université sont des étudiantes.

Même la très conservatrice Arabie saoudite a ouvert, fin septembre, une université mixte. Quelques mois auparavant, le roi Abdadallah avait inauguré une université publique pour femmes. Au Bahrein, l’université du même nom ainsi que l’université du Golfe arabique, les deux institutions les plus importantes du pays, les jeunes femmes représentent respectivement 67 % et 72 % des étudiants. Cette envolée s’opère cependant dans des pays où le pourcentage des jeunes inscrits à l’université reste faible : 33 % au Bahrein, 19 % au Koweït, 18 % en Oman, 29 % en Arabie saoudite, 23 % aux Emirats, selon les chiffres fournis par l’Unesco.

Plusieurs raisons expliquent cet engouement. L’offre a réellement suscité la demande. Les familles qui répugnaient, pour des raisons culturelles, à envoyer leurs filles faire des études à l’étranger, une démarche fréquente pour les garçons, ont trouvé dans ces universités de quoi les satisfaire.

« Le gouvernement a créé un environnement favorable tel que les familles ont le sentiment que la démarche d’envoyer les jeunes femmes à l’université n’est pas en rupture avec les traditions », explique l’Emiratie Serra Kirdar qui a collaboré au rapport sur les droits des femmes au Moyen-Orient publié en février 2009 par l’ONG Freedomhouse.

Aux possibilités d’études – gratuites – sur place s’ajoutent les opportunités d’emploi. A l’inverse des jeunes hommes, qui trouvent encore (mais de moins en moins) des postes dans l’armée et la police sans diplôme, les jeunes femmes voient dans les études un tremplin vers la vie sociale et une façon de s’émanciper du giron familial. C’est parce qu’elles savent que les options se multiplient pour elles qu’elles s’engagent avec autant de ferveur dans les études. Face à des gouvernements, comme au Qatar, soucieux de créer une élite, de « renverser la fuite des cerveaux », selon l’expression Abdulla Ben Ali Al-Thani, vice-président de la Qatar Foundation, c’est avec la volonté de prendre les commandes de leur propre pays que les filles s’engouffrent dans les études.

« Les universités sont au coeur de ces processus de saoudisation, qatarisation, émiratisation, etc., confirme James Onley, professeur à l’Institut du monde arabe et islamique de l’université d’Exeter (Royaume-Uni). Les populations de ces pays – à l’exception de l’Arabie saoudite – étant numériquement faibles, ils ont besoin de la participation des femmes. » Au point d’ailleurs que les jeunes étrangers – non pas les Indiens ou Philippins, tout en bas de l’échelle, mais les enfants d’expatriés de longue date -, se sentent désormais exclus. « La fonction publique est réservée aux Qataris et le secteur privé exige souvent la nationalité locale », témoigne Amira Redissa, jeune diplômée tunisienne de 23 ans, dont la famille est au Qatar depuis plus de quinze ans.

Les jeunes semblent avoir intériorisé l’ambition proclamée de cette région du monde de revenir un endroit « qui pense », à l’image de ce que furent Beyrouth et Le Caire du temps où ces villes représentaient des centres névralgiques de l’intelligentsia arabe. « Nous avons la volonté de devenir Le centre innovant de la production d’idées et de la formation conceptuelle dans le Moyen-Orient », explique Nada Mourtada, professeur de relations internationales et de droit public, vice-président de l’université de l’université américaine de Sharjah, un des sept émirats de la fédération et aussi une des rares Françaises à faire carrière dans le milieu universitaire local. Ouverte en 1997, l’université de Sharjah a été une des premières implantations d’une institution d’élite dans la région.

Des places sont également à prendre dans le secteur privé, où les jeunes femmes se montrent plus timorées. « Pour les familles, le secteur public représente des postes plus sûrs, avec de bonnes rémunérations et des aménagements d’horaires », explique Me Kirdar, également à la tête de la Fondation Muthabara, qui travaille justement à l’ouverture des entreprises privées aux jeunes femmes.

Ces conquêtes, qui peuvent sembler limitées aux Européennes, ont des effets boomerang dans les sociétés. Si les mariages se font moins précoces, les unions arrangées, qui restent la norme dans le Golfe, se nouent aussi plus difficilement qu’avant. Aux Emirats, on évoque ces « vieilles filles » qui n’arrivent plus à se marier. Au Qatar, la présidente de l’université, Sheikha Al-Misnad, réformatrice à la poigne énergique, s’inquiète du déséquilibre grandissant entre les sexes. « Beaucoup de jeunes filles ne peuvent pas se marier car nous n’avons pas suffisamment d’hommes éduqués », assure-t-elle.

Le temps n’est plus où les jeunes femmes devaient interrompre leurs études pour une grossesse, commente Aisha Al-Fardan. Vice-présidente du Qatari Business Women Forum, cette pionnière d’une quarantaine d’années, mère de quatre enfants, estime avoir été « chanceuse » d’avoir pu faire des études après son mariage « grâce au soutien de son mari ». Aujourd’hui à la tête du groupe familial de 2 000 salariés, elle a le sentiment d’avoir « cassé les règles », par exemple en conduisant sans permis, car les femmes n’avaient pas le droit de conduire. C’était « il y a douze, treize ans ». Autant dire un siècle.

Brigitte Perucca

http://www.lemonde.fr

Par La Rando

Qatar: Les femmes entrepreneurs

Le Ministre d’État à l’énergie Dr Mohamed Saleh Al-Sada a salué le rôle joué par les femmes entrepreneurs du Qatar dans la promotion des entreprises commerciales dans le pays a déclaré le ministre lors de l’inauguration  du Qatar International Business Women Forum hier au Sheraton à Doha Resort & Convention Hôtel.
Des prix ont été remis aux représentantes au forum, il y avait également la Sheikha Hessah bint Khalifa al-Thani et la vice-présidente Aisha Alfardan.

La Sheikha Mozah Nasser al-Misnad, épouse de Son Altesse l’Emir Cheikh Hamad bin Khalifa al-Thani,  encourage les femmes à prendre des initiatives dans le business.

Les principaux thèmes et questions abordés :

  • Le rôle des femmes dans les affaires et l’investissement dans le monde arabe et l’Occident.
  • Comparaison des histoires de réussite des femmes d’affaires dans le monde arabe et l’Occident.
  • avantages préférentiels pour les femmes leaders dans les petites et moyennes entreprises.
  • Les femmes subissent elles des discriminations dans la vie de l’entreprise?
  • Le rôle croissant de jeunes femmes dans la gestion des entreprises familiales.
  • L’importance et la méthodologie de l’entraînement de leadership pour le renforcement des capacités de leadership chez les femmes d’affaires.
  • La réalité des organisations et des réseaux d’affaires dans le monde arabe et l’Occident
  • La contribution des femmes au financement de projets sociaux.